Agápi

Chapitre 1

Une nuit en été dans une petite maison a Saint-Etienne. Un jeune couple y vit heureux grâce à ce sentiment qui leur a enflammer le cœur et ce sentiment s'appelle : l'amour. Ils n'ont jamais ressenti ça auparavant comme-ci ils n'avaient jamais connu d'autres relations.Jessica est une femme avec des cheveux bruns, un corps semblable à une déesse, des yeux brûlant de gaieté et d'amour pour Anas qui est un homme d'un charisme a l'image de ça musculature, c'est-à-dire hors norme. La beauté des deux touches les cieux. Ils sont là assis sur leur lit à parler, a rire. Quand Jessica, guidée par le désir,commence à caresser doucement son visage et elle descend jusqu'à ces lèvres et les caresses de haut en bas, de gauche a droite. Anas avance son visage vers elle pour l'embrassée pendant 1 minute, 1 heure, 1 jour peut importe la durée le plaisir est beaucoup trop intense pour qu'il y est un temps limité. On peut y entendre les battements de leurs cœurs a des kilomètres comme-ci ils voulaient sortir de leurs cages pour s'assembler et que leurs amours ne fassent qu'un. Toujours guidé par l'envie de l'autre leurs vêtements se mette peu a peut à tomber et ils se retrouvent tous les deux entièrement nus et avec délicatesse vers sa poitrine tout en expirant pour évacuer des sensations et des émotions très forte.Il s'approche de l'oreille de Jessica pour lui dire en chuchotant «Je t'aime ». Puis tout s'accélère Jessica se retrouve a caresser sont entre jambes et Anas fait la même chose. Ils y mettent tout leurs cœur et leurs forces, à faire plaisir à l'autre et le seul mot d'ordre est le partage. Doucement, Anas se lève et se mit surelle et commence à faire quelque va et viens. Des cris de joie commencent à se faire entendre et le corps d'Anas se mit à brûler et une force arrivent et il va de plus en plus vite, leurs corps ne faisaient qu'un, une symbiose parfaite entre deux êtres humains. Les cris deviennent de plus en fort. On peut y voir deux personnes heureuses respirer corps contre corps. Quand soudain Anas se retire le corps tremblant, les pupilles de ses yeux disparaissent derrière ces paupières, sont corps à s'écrouler, prêt à faire une épectase une overdose de plaisir et d'amour envers elle. Il jouit le fruit de leurs travails de cette nuit. Et ils se couchèrent sur lit vidé, vider de ces émotions, fatigué, fatigué d'y avoir mis tellement de concentration et d'amour, heureux, heureux d'avoir accompli quelque chose de beau voir divin. Et ils s'endorment le corps humide de transpiration avec le sourire.