Auteur : William Oyewa
Excuse-moi chérie, c'est la fatigue d'hier. Tu m'a soustrais toute mon énergie.
J'étais plutôt aux anges malgré que ce soit pour la première fois et que tout était difficile.
Elle se retourna bloquer la porte et se jeta sur moi puis ont s'est aventuré à nouveau au paradis du plaisir. Une quarantaine de minute après ont se dirigea tous deux en même temps sous la douche.
Trente minutes après, une fois à table pour le déjeuner, mes parents étaient déjà là pour nous féliciter et nous prodiguer des conseils pour notre vie de couple. Ensemble nous mangeons, nous buvons et nous nous réjouissons.
Le soir complètement j'étais au salon, assis sur le divan et mon portable posé sur le guéridon. Je suivais l'actualité quand le rideau du couloir fut levé sans que personne ne le soulève puis le rideau se redresse après quelques secondes sans que je ne puisse toujours voir quelqu'un. Pour moi ce que je voyais était risible mais en même temps raide. J'étais hors de moi-même puisque je ne savais plus quoi penser. Voir des choses bouger sans voir vraiment ce qui les fait bouger.
J'étais là à toiser ce qui se passait devant moi quand subitement mon portable qui était éteint s'alluma. Je m'attendais à un message ou un appel mais ce n'était pas le cas. Mon schéma sur l'écran fut déverrouillé devant moi sans que je ne touche au portable.
Apeuré ; j'ai failli m'évanouir mais je me retirai nonchalamment tout en fixant le portable. Ne comprenant plus rien je me mis à crier.
Stella ! Stella ! Où es-tu ? Viens voir avec moi.
Je n'ai eu une réponse qu'après deux minutes.
Oui me voici chérie, il y a quoi ? Pourquoi es-tu dans cet état ?
Tout en tremblent je lui raconte ce qui venait de se passer.
Es-tu sur que tout va bien ? Me demandait-elle.
Mais oui, t'ai-je une fois racontée une telle blague ?
Mais non peut-être que ce ne sont que des hallucinations.
Hallucination mon œil !
Mais Yves, que ce passe-t-il ? Depuis le matin tu ne constate que des choses que j'ai du mal à saisir. Tu déraille là.
Je voulais lui répondre mais je fus interrompu
Te coller la paix tu veux dire ?
Mais comment a-t-elle su que c'est ce que je voulais dire puisque exactement s'était ce qui allait sortir de ma bouche ? J'allais lui dire de me coller la paix à présent puisqu'elle me prenait déjà pour quelqu'un qui devient malade mentalement. Mais comment a-t-elle su que c'est ce que je voulais dire sans même ouvrir la bouche ?
Ai-je prononcé cette phrase ici ?
Quelle phrase ? Me demande-t-elle.
Celle-ci « colle moi la paix ».
Non tu me la pas prononcer mais tu y étais proche.
Et comment as-tu su que j'allais le dire puisque je ne l'ai pas encore fait.
C'était juste un pressentiment. Tout se voyait dans tes yeux.
Yves arrête ça s'il te plaît. On vient juste hier, juste hier hein de se marier et tu me fais peur avec tes histoires là ?
Tu ne peux pas comprendre Stella, si seulement tu étais à ma place...
Trois semaines fut passé sans que je ne fasse un autre constat, sans inquiétude. Notre couple avait repris son humeur comme quand nous étions pas marié mais un matin alors que j'ai repris le boulot après trois semaines de congé à cause de mon mariage, j'étais dans mon bureau quand subitement la porte s'ouvre et se referme d'elle-même. J'étais très surbooké pour que cet évènement puisse retenir mon attention. Je m'arcboutai sur mon fauteuil pour juste observer, mais quelle panade !!! : me murmurais-je à l'intérieur de moi.
Subitement la télévision qui était éteint s'alluma, une chaine choisie au hasard où je n'ai entendu que cette phrase : « ces petits esprits de la terre vous ont assaillit, abusé par toutes sortes de fantasmagories, séduit par mille mensonges, et finalement poussé à fuir ma maison » et elle fut éteinte à nouveau. Ce spectacle ma paraissait de plus en plus fantasmagorique. Tout ceci me rendait encore plus dans un état de quelqu'un qui présente dysphorie.
Ma bouteille de vin posée sur ma table se glissa toute seule puis se brisa en suite au sol. Je n'étais plus loin d'être attaqué par une diarrhée causée par la peur. Je voulais bien sortir mais une fois ma main sur le poignet de la porte, je pouvais constater qu'elle était bloquée. Ma climatisation fut arrêté puis la chaleur envahie mon bureau. Les lampes furent ensuite éteintes. Je n'arrivais plus à respirer par les narines mais plutôt par l'anus.
Mais qui a commis un forfait pour que je sois son fidéjusseur ?
Je voyais les ombres se déplacer à la vitesse d'un éclair dans les quatre coints de mon bureau. Je m'imaginais dans un film de science-fiction ou de fantôme. Rien n'était plus ordinaire pour moi, plus rien n'étais normal.
Malgré ma sociophobie, je n'avais plus d'autre choix que de rester tranquille et voir la suite, voir ce que la nature me veut vraiment. Je ne pouvais qu'attendre, attendre et attendre encore qu'on m'ôte la vie. Mais environ quinze minutes après, tout fut rétabli en un clin d'œil. Les lampes s'allumèrent, la climatisation fut rétablie et la porte fut ouverte d'elle-même. Les débris de bouteille de vin qui s'était brisée au sol était dans la poubelle et le contenu de la bouteille était copieusement nettoyé et aussi se retrouvait dans la poubelle. Quel drame ? Je ne comprenais plus rien.Coucou😍 mes amours. n'oubliez pas de voter et commenter. Je vous adore
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Ma femme n'est qu'une revenante
SpiritualHistoire parlant de la spiritualité.je vais pas trop parler lisez et vous allez aimer à la fin vous serez surpris de la leçon de cette histoire.merci!