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chapter one : grande nouvelle

Vendredi 26 Juin 2020

Tu te réveille au doux son de ton réveil. Tu le pousse d'un coup de bras et il tombe par terre... Su-per. Il est 7:28, tu commence les cours dans 45min. Tu vas dans la salle de bain et commence a prendre ta douche. Dans la salle de bain tu te dis que c'est enfin le dernier jour et que par miracle pour ne verra jamais les gens de ton lycée... Tu sors de la douche à moitié endormie avec la flem et une boule au ventre a cause du lycée... Tu regarde tes bras une dernière fois en te disant que c'est du passé et qu'elle a souffert plus que toi avant d'enfiler un gros sweat. Tu n'avais pas faim, donc tu t'es brossé les dents et t'a dis au revoir à tes parents.

Papa : D'ailleurs *tn* ! Oublie pas tes affaires dans ton casier ou quoi hein ?

Toi : Oui oui...

Il avait l'air content aujourd'hui. Pour je ne sais qu'elle raison. Tu sors de chez toi range tes clés dans ton sac et te dirige vers ton arrêt de bus. Tu prends tes Air pods et ecoute les musiques dans ton apple musique. Jusqu'à ce que tu reçoives un appel qui te donne le sourire. Avani, te demandant si tu allais bien. Tu lui réponds que tout roule et qu'elle devrait dormir parce que chez elle il est a peu près 1h du matin. Elle t'envoie un emoji qui rigole et tu éteins ton téléphone. Le bus arrive quelques minutes plus tard tu monte dedans avec beaucoup d'appréhension. Tu n'aimes pas beaucoup les gens de ton lycée et sa semble réciproque. Le bus arrive vers Lille, tu envoies un message a tes parents pour leur dire que tu es dans la bus. Tu descends a Portes des postes pour prendre la ligne de métro. Ce matin il n'y avait personne, c'est pas normal.... Mais tu n'y fais pas vraiment attention c'est pas sa qui importe, c'est la fin de cette journée qui ne vient que de commencer. Tu n'aimes pas ce lycée, personnes ne t'acceptaient, et la plus « populaire » ne faisait que de t'insulter à longueur de journée. Et tu détestes encore plus le vendredi car tu as deux heures de maths suivie de deux heures de français le matin. Tu te baladais sur instagram ce matin. Tu avais quelques followers, 1307, mais tu ne sais pas vraiment pourquoi. Tu n'as rien d'exceptionnel d'après les gens de ton lycée et tu n'es pas « belle » apparemment. Mais au départ tu t'en foutais, jusqu'au milieu d'année ou tu commençais a y croire a force de l'entendre... Eh merde, le métro approche l'arrêt de plus en plus. Tu descends en traînant des pieds. Tu marches, tu marches jusqu'à arriver devant ton pire cauchemar. Le lycée Montebello. Il était bien en soi, les professeurs sont super gentils ect... mais les élèves 🙄... Devant Montebello la « popu » t'attendait, tu passe en faisant comme si tu ne l'avais pas vu mais elle agrippa une languette de ton sac kanken.

popu : Alors *tn*, c'est le dernier jour...
tu as prévu quelques chose ce soir ? participer a la soirée ? Ah oui merde tu n'est pas invitée....

Sa bande rigole mais tu passes ton chemin pour te diriger vers les toilettes des filles. Tu pense a la journée que tu vas passer en te disant que tu fini par Latin et deux heures d'anglais. Tu adores l'anglais, d'ailleurs tes presque bilingue... tu aimerais tant aller en Amérique, visiter New York, Los Angeles, Californie, le Texas.... Tu repense a ce qui, déjà toute petite, t'a donné envie d'y aller. C'était une série qui avant était diffusée sur « Planète A&E » elle s'appelle « Ghost adventures » présentée par Zak Bagans. Cela parle comme son nom l'indique, de fantômes. Parce que tu trouve sa impressionnant et que bah woaw... La sonnerie retentit, les dernières heures de ma vie je pense... D'un pas lourd je sors des toilettes pour me diriger vers ma salle de classe...

Le soir...

Rien d'exceptionnel c'est passé aujourd'hui, les cours étaient banals, les élèves chiants, et ton retour chez toi énervant. Je sortais du bus, Avani m'avait envoyé un message comme quoi elle ce n'était pas son dernier jour. Un sourire se forme sur mon visage en voyant que toute sa bande n'en n'ont rien a foutre de ce que dit le prof. J'enfonce la clé de chez moi dans la serrure et ouvre la porte. Mais j'étais plongé dans mon téléphone. Mon père me toucha l'épaule et je sursauta.