Note : Bonjour !
Ce texte est un petit Soukoku que je dédie à Ahriall-Sann de FFnet si tu passes dans le coin o/. Il traite de la relation de Chuuya et Dazaï de manière un peu déstructurée, à l'image de la relation qu'ils ont dans cette histoire. J'ai utilisé un mode de narration fragmenté, et fractionné, donc pour certaines choses c'est subtiles, pour d'autres, c'est sous-entendu, j'espère que ce sera réussi en tout cas, c'est un essai sans prétention :3.
Globalement, c'est à la fois chou et... drama, je suppose ? Au passage, TW : allusion à un alcoolisme, mais rien d'explicite ou de larmoyant là-dessus. Bien que ça ne reste pas très jouasse... !
Un petit smut est présent mais il est pas bien méchant.
Sans en dire plus, je vous laisse lire ~
Enjoy o/
« Chuuya, laisse-toi aller. »
Éprouvant toutes ses barrières, les dernières, Chuuya gémit alors que Dazaï caressait son téton entre deux doigts, son autre main serpentant le long de son corps. Il avait chaud. Si chaud. Et il en mourrait d'envie, qu'il le touche, qu'il le prenne, qu'il le fasse réellement sien. Il ne put que gémir quand la main du plus grand se referma sur son entrejambe, la prenant en coupe, sans brusquerie pour autant. Dazaï serra un peu, Chuuya fermant les yeux. Il l'embrassait dans le cou, et continuait de martyriser son foutu téton. Il était complètement à sa merci.
Et Chuuya aimait ça.
Doucement, la main de Dazaï massa son entrejambe, le rouquin se tendant considérablement. Les baisers pleuvaient dans sa nuque. Il lâcha un soupir de bien-être, se mordant la lèvre aussitôt.
« Ne te retiens pas. J'aime t'entendre.
—La ferme, enfoiré ! Gâche pas tout. »
Un rire éclot, proche de son lobe, le faisant sursauter. Adroitement, Dazaï déboutonna son pantalon et glissa sa main à l'intérieur de son caleçon. Il ne mit que peu de temps à empoigner son érection, Chuuya rougissant jusqu'aux oreilles. Il donna un rude mouvement de pompe. Chuuya se mordit violemment la lèvre, sa tête ruant vers l'arrière.
« Eh bien, je vois que tu apprécies.
—Dazaï... »
Il riait encore.
Chuuya voulait bien avouer qu'il l'appréciait. Peut-être même plus. Mais c'était un sacré trou du cul, ce gars. Y avait pas à tortiller.
« À quoi tu penses, mon chéri ? »
Cette fois, la colère saisit Chuuya.
« M'appelle pas comme ça !
—Et pourquoi pas ? »
Sa main continuait à le caresser. Le rouquin eut du mal à avaler sa salive, les vagues successives de plaisir le traversant depuis cet endroit si intime. Merde, Dazaï avait un putain de bon mouvement de poignet. Il avait déjà l'impression d'être sur le point de jouir. Même lui ne se maniait pas aussi bien en se paluchant, alors que c'était son propre corps. C'en était limite vexant. Doucement, Dazaï le branlait, sa paume étrangement douce, le jeune homme se tendant. Il ferma les yeux, retenant un autre gémissement. Dans son cou, d'autres baisers. C'était vraiment bon. Il ne comprenait pas pourquoi c'était si bon.
« Je veux être en toi, Chuuya. Est-ce que tu en as envie, toi aussi ? »
Cette main qui le caressait pressa le bout de son sexe, lui envoyant une décharge électrique dans le bas ventre. Il en mourrait d'envie, putain.
VOUS LISEZ
When The Party's Over || Bungou Stray Dogs
FanfictionTrois moments où Chuuya fut énervé à cause de Dazaï. Trois moments de joie mêlée à la peine. Parce que la fête est finie.