confrontation entre milliardaires ( Terminé )

chapitre 34

- Cali ?

- oui...

- tu m'expliques se qui se passe ?

- heuu rien !!!

- hier tu t'es couchée immédiatement dès notre retour, tu es renfermée.

- je suis juste fatiguée, aussi un peu dépaysé.  Rien de bien grave. Heu a quelle heure irons nous a la villa ?

Il consulta sa montre.

- a peu près une heure.

- heu... Je peu sortir de table ? J'aimerais régler quelques dossiers avant.

- bien-sûr

- merci.

Zahir l'observa s'en allé. Là il avait en face de lui non pas sa douce et tendre Cali mais plutôt la femme d'affaires. Fière, renfermée, secrète... Comme si elle cherchait a se protéger !

S'il doutais maintenant il en était sur. Quelques choses n'allait pas. Et peinait a trouver la cause.

Cali c'était réfugiés dans la bibliothèque. Faisant mine de travailler. Les mots de cette femme lui revient en tête.

« jeune fille.... Distraction...»

- disais elle vrai ? En même temps tout confirme c'est dire!... Pensais Cali ! ... Faut que je me rende a l'évidence....il finira..

- mademoiselle Haros ?

- heu... Oui madame nazira.

- je vous en prie appelé moi simplement nazira...

- ... D'accord merci

- monsieur Al-Madjid vous attend dans le salon pour votre départ.

- déjà...! Oh je n'ai pas vu le temps passer... Merci je descends dans une minute.

- bien.

« tu vois sa a déjà commencé... Il a déjà il ne t'appelle plus directement» fit son subconscient

Elle respira un bon coup et descendit.

Elle le vit dans le hall vêtu de sa djellaba beige. Il était tout simplement majestueux.

«Cette femme avait raison qu'est-ce qu'un tel homme pourrait bien faire avec elle...»pensa tristement Cali

Le trajet dura une quarantaine de minutes, minutes pendant laquelle chacun d'eux les avaient passé au téléphone. Elle avait sentir le regard de Zahir pesé sur elle mais avait tout fait pour ne pas le croisé.

La berline entra dans un magnifique domaine a la décoration féerique.. il roulait quelques minutes avant de se garer devant la façade principale.. ce qu'elle vit lui coupa le souffle c'était tout simplement un chef d'œuvre architectural.

- je te présente la maison de mon enfance Habiba... Chuchota Zahir a son oreille...

-'akh 'akbar!!!!

Elle vit une jeune fille lui sauter dans les bras.

- Nour !! Comment tu va !?

- par Allah !!! 'umi ni croira pas... Fit elle en regardant Cali.... 'umi ???!!! 'akh 'akbar.... Fit elle en embrassant son frère.... Allez entré

- du calme nous tu va finir par l'étouffée a être surexcité ainsi.

Cali ne s'attendait pas su tout a un tel accueil, la supprise l'envoya se réfugier au bras de Zahir... Elle était tellement occupée a pensée a son altercation de la veille qu'elle ne s'était pas préparer psychologiquement et maintenant elle appréhendait énormément.

Comme s'il avait remarqué son trouble il lui fit une bise sûre le front pour la rassurer avant de suivre sa sœur a l'intérieur qui les avait devancé.

Cali le suivi jusqu'à la cuisine qui était tout aussi vaste que magnifique. Elle s'était littéralement cacher derrière lui.

- oh mon fils comme je suis heureuse de te voir !! Ta sœur aussi apparemment...

- j'en suis ravie.

Sa mère vin lui caresser la joue.

- tu va bien qu'Allah soit loué.

- ami ... 'umi je voudrais te présenter ... Il regarda de chacun de ces côté mais la vit que derrière lui , il l'attira légèrement de sorte a la mettre en face de sa mère.... Cali... C'est.. on n'est proche. Termina t'il..

- oh mon enfant !! Viens par là !!

La merci de Zahir l'attira dans ces bras pour la câliné...

- je suis enchantée de te rencontrée ! Puis-je te tutoyer ?

- heu... Oui madame Al-Madjid

- non non non!!! Pas de madame je te prie ! Juste'umi comme tout le monde..

Cali fut agréablement surprise par la réaction de la mère de Zahir.
Elle l'avait proposé de l'aider à la cuisine et elle accepta avec joie. Zahir les avaient laissé lorsqu'elle fut rejoindre par les sœurs et cousines de la maison..

Tous avaient été très agréable en vers elle comme s'il attendait son arrivée depuis longtemps.

Effet une bonne partie des femmes de leur famille résident au Koweït étaient réunis pour le choix des cadeaux de la marié.

Il lui avait posé quelques questions l'avait même vêtu selon leurs coutumes... Et les enfants lui avaient fait des tresses..

- ils sont façonnés par la couleur de tes cheveux... Ils sont très beaux

- oh ... Merci.. pourtant je les est longtemps détester étant petite.. dit telle dans un rire gêné

La journée se déroulera pour le mieux, elle avait fait des jeux , mit du henné , racconté quelques histoires de son enfance, aucun de ces rires n'étais forcé, bien qu'elle ait a peine vue Zahir elle se sentait bien et a l'aise comme si elle les avait toujours connu.

- et bien 'umi semble avoir adoptée Miss Haros. Dit son Yassine

Les deux s'était éloignés des hommes qui était dans la pièce...

Zahir était passéé plusieurs fois devant la pièce adjacentes mais il l'avait appercu que brièvement. Elle semblait très occupé.

- mon frère tu la emmené ici ! Voir 'umi.

- je sais! Je n'ai pas la présenté face a elle. Je ne n'aimerais pas que 'umi se donne de faut espoir.

- elle a compris que c'était ta compagne. Et elle c'est des idées dès l'instant où tu l'ai a présentées.

Zahir savais que son frère avait raison.. sauf ces idées a lui n'étais pas clair. Et il se posait bien trop de questions.

- excusez moi !!!

La fine voie de la jeune femme se fit entendre et il se retournait tous a l'unisson

Zahir fut subjugué de la voir aussi magnifique dans cette tenue traditionnelle. Elle était parfait telle une sheïka... Sa sheïka

- oui ma fille !! Dit le père de Yassine

- le repas est servi. 'umi demande a se que vous nous rejoignez a la salle a manger.

- bien merci ma fille. Pourrai-tu débarrasser derrière nous s'il te plaît ?! Dit le père de Yassine en regardant Zahir le sourire en coin.

Une fois qu'il était tous sortis, elle se retrouvait seule face au grand et tout puissant Zahir Al-Madjid qui trônait majestueusement dans la pièce.

Elle se sentir complètement a lui .. telle une soumise à son maître. Et c'était un sentiment plutôt agréable.

Il dadait sur elle un regard possessif et brûlant qui en disais long sur ses idées actuelle.

Si Cali s'était vêtue de son armure de glace plutôt en journée là il venait tout simplement de la faire fondre d'un simple regard.

Il déposa son verre sûre le guerridon et s'assit royalement dans le bourré .
Il l'a regarda intensément et lui dit d'une voix bestialement rauque.

- approche !