Chapitre 36

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Jordanne

-mais avant qu'il n'arrive, j'aurais eu le temps de bien m'amuser avec toi.

J'ai vu rouge quand sa main arriva sur mon ventre.

-enlève tes mains crade de moi !

Je siffle entre mes dents en lui tapant la main avec mon pied.

Mon geste le mit un peut plus sur les nerfs, puisqu'il ferma les yeux, avant de joindre ses deux mains sur sa bouche comme s'il s'apprêtait a prier.

-Jordanne, Jordanne, Jordanne, fit-il en secouant la tête de droite a gauche.

-il faut que tu sache une chose.
Je suis quelqu'un de très irritable alors évite de me pousser à bout !

Plantant mes iris dans les siens je lui crache :

-espèce de psychopathe ! Touche moi en...

Et avant que je ne finisse de lui cracher mon venin, sa main vient s'abattre avec violence sur ma joue.
Je n'es pas le temps de reprendre mes esprits, qu'il se mit à me frapper avec ses poinds, sur le visage et la tête.
Je hurlais de douleur et me retournais sur le ventre pour me protéger le visage.

-salle pute ! Je t'es dis de ne pas me parler comme ça ! Personne ne me parle comme ça ! Salle chienne !

Il était devenu comme fou. Pendant qu'il hurlait ses insultes il se mit debout avant de me roué de coup à nouveau mais cette fois avec ses pieds.
J'avais la respiration qui se coupait à chacun de ses coups.
Et quand il m'attrapa par les cheveux avant de venir congné ma tête contre le sol, ma vision se troubla juste une seconde, avant que je ne perdis connaissance.

Bradley

La nuit était déjà tombé sur New-York quand le jete atterrir enfin. Dans la poche de ma veste, mon téléphone se mit à vibrer.
C'était à nouveau Tony.

-vous les avez trouvés ?

-non mr pas encore.

-OK, retrouve moi au restaurant de mon cousin.

-bien monsieur.

Je renchais l'appareil avant de rejoindre George qui m'attendais près de la voiture.

30 mn plus tard, je deboulais dans l'établissement d'Antoine les nerfs à vif.
Sans frappé, j'enttrais à l'intérieur de son bureau.

-est-ce qu'elle est là ?!

Surprit, Antoine me dévisage .

-qui ça ?

-Jordanne bien sûr ! Est ce qu'elle est venue travailler ?

-ah, justement ! Je me demandais bien où elle était passé. Elle n'a pas pris son service aujourd'hui, et à cause d'elle j'ai....

-PUTAIN !

Je hurle en fesant valser la chaise devant moi.

-woh ! Tu peut me dire ce qui te prend ?

Je passait une main nerveuse dans les cheveux et les tiraient au passage,quand un fait me vient à l'esprit.

-tous ça c'est à cause de toi ! Je t'avais dis de ne pas le laissé l'approcher et comme toujours, tu as voulu me prouver je ne sais quoi !

-attend, de qui tu parle.

-je te parle de ce taré d'ivanov. Il l'a emmener ce matin et depuis elle est introuvable.

Comprenant enfin la situation, son visage se mit à blêmi.

-tu crois qu'il lui a fait quoi.

-j'en sais rien justement !

Comme moi, il se mit à arpenter nerveusement la pièce.

-OK, on va, commencé par prévenir la police.

-fait ça. Moi je vais rendre une petite visite à quelqu'un lançais-je en saisissant le poignée de la porte.

-attend. Tu vas aller voir cette femme c'est ça ? Dit-il d'une voix inquièt.

Je le regardais par dessus mon épaule.

- je n'es pas le choix. Elle sait sûrement où il a pu l'emmener.

Je sens cette colère qui ne m'avait pas quitté depuis ce matin, s'intensifier quand j'arrivais face à cette maison que je n'avais pas revue depuis près de 6ans maintenant.
Le visage plus froid que jamais, je m'approche de l'entrer Tony derrière moi.

J'appuyais une seul fois sur l'interphone, avant qu'une voix féminine ne réponds. Une voix que j'aurais préféré ne plus entendre de toute ma vie.

-oui ?

-Bradley Wayne. Je lance impatient.

Sans un mot de plus la porte s'ouvre.
À penne ai-je posé les pieds dans le haule que je sentis un corps frêle au cheveux blond venir me percuté.
Mon corps se tend. Je serre la mâchoire.
Je ferme les yeux, refoulant une forte envie de la projeté par terre afin de l'éloigner de moi.
A la place, je la saisie par les épaules pour l'écarter.

-Bradley ! Oh mon Bradley ! Tu ne peut pas savoir combien tu...

-Sacha !

Mon ton est sec et dure ce qui coupe court à ses jérémiades incessant.

-je ne suis pas ici pour ça ! Il faut qu'on parle de ton fils.

La femme d'une quarantaine d'année en face de moi en robe de chambre et baignoire en soie, se met à me regarder avec incompréhension avant de souffler.

-suis moi. Dans mon bureau.

Dès la porte du bureau refermer, je la voix se diriger vers son mini bar se servit un verre de vin.
Une photo de mon père sur le mûre derrière son bureau me fit détourné le regard.

-qu'est-ce qu'il a encore fait ?

-je ne sais pas encore. Il a emmener une ami à moi et depuis, elle est introuvable. Je veux que tu me dise où est ce que je peut le trouvé.

Son verre de vin en main, elle s'avança, son souri belliqueux aux coin des lèvres.

-une amie hein ? Dit plutôt une de tes amantes !
Et il faudrait qu'elle soit sacrément bonne pour que tu soit obligé de venir jusqu'ici après tous ces années .

Je serre la mâchoire, priant tous les saints pour qu'il m'aide à garder mon calme.
Cette femme me sort par les pores !

-cela ne te regarde en rien ! Où est-ce qu'il est !

Je la vois tressaillir à l'intonation de ma voix avant qu'elle ne se resaisisse, depose son verre sur son bureau, avant de resserrer un peut plus la ceinture de son paignoir autour de sa taille.
Une main sur la hanche, elle me lance :

-après la mort de ta fiancée , j'ai cru que tu allais me revenir.
Mais au lieu de cela tu as couru entre les cuisses d'une autre ! Et maintenant tu viens me demander de t'aider ?
Pourquoi je ferais ça ?!

A grand pas, je me rapprochais d'elle avant de lui saisir le bras.

-tu te moque de moi là ?
Tu crois que c'est un jeu ? Ne me pousse pas à bout Sacha !
Tu vas me dire où est-ce que je peut trouver ton cinglé de fils sinon...

-sinon quoi ! Elle crache en me défiant...et avant que ne le voit venir, ses lèvres viennent s'écraser sur les miennes. S'accrochant de toute ses forces aux cols de ma chemise, elle essaie de me fourer sa langue.
je parvient à la repousser avant de reculer de deux pas.

A suivre...
















Waynes :mon diamant noir TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant