Chapitre 3

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Pour quoi il est là, lui ? Je recule d'un pas, choqué qu'il soit devant moi.Après tout ce qu'il ma fait subir, il ose se repointer en face demoi, sans m'appeler au préalable. Il s'avance vers moi avec un sac ala main, certainement un cadeau pour moi. il peut se le mettre ou jepense son cadeau! je m'avance d'un pas décidé vers lui, je lepousse et je sors de la chambre. Je marche d'un pas rapide vers lebureau de mon médecin. je toque et entre sans attendre. elle estdéjà en rendez-vous avec un couple.

-Excusez-moi, j'en ai pourdeux secondes, dis-je en me retournant vers Cassy habillée de sablouse blanche je peux sortir dans la cours de l'hôpital ?

- Oui, bien sûr mais...

Je ferme la porte aussitôt que j'aieu ma raiponce. je prend l'ascenseur et en quelques minutes je meretrouve dehors. l'air frais me fait du bien, une larme coulesur ma joue que j'efface d'un revers de la main. le parc de l'hôpitalpossède une petite fontaine et une balançoire sous un sole pleureuren feuille où un chemin gravillonné y mène. Je prends une pierrede celui si et la jette dans les branche de l'arbre. Ma tête tourneà force de m'énerver, je me dirige vers la balançoire pour m'yreposer. Il croit réellement que j'allais bien le prendre ? Ilm'a fait passer pour une traîné auprès de tout le lycée et ilvient me souhaiter mon anniversaire comme si rien ne s'étaitpassé. Il se prend pour qui ce Gabriel ? Des bruits de pas se faitentendre dans le gravier suivie d'un bruit de frottement des feuillesde l'arbre.

- Enfin je te trouve...

- A parce que tu me cherchais ? Et tu t'inquiétais pour moi ? Dis-je avec sidération.

- Tu venais plus en cours alors je suis aller voir ta grand-mère.

Et tu te réveilles maintenant ? Tu te pointes comme une fleure après trois mois et tu viens me faire croire que tu t'inquiétais ? Ne te fou pas de ma gueule ! Pendant tout ce temps tu ne pouvais pas m'appeler et venir me voir ? A mais non c'est vrai, tu préférais rester avec tes poufs et rigoler de moi dans mon dos.

- Je sais et j'en suis désolé, j'ai été con.

- Oh ! Ça tu peux le dire !

- Si tu m'avais dis pourquoi tu m'as plaqué, ça ne se serait pas passer comme ça.

- Ah ! Parce que c'est une raison ? De raconter n'importe quoi pour le plaisir, c'est une raison ? Si les rôles étaient inversés, tu crois que ça te plairais d'être dans ma situation ? Franchement ça m'est égale ce que les gens pensent, c'est le fait que tu es dis tout ses mensonges qui ... me mets en rogne contre toi !

- Je sais que ce n'est pas une raison d'avoir agit comme je l'ai fait mais tu veux que je face quoi maintenant ? Dis le moi je suis tout ouï. Alors aujourd'hui, je suis la que tu ne le veuilles ou non. Je suis quand même ton ami, ne l'oublie pas ! Et aujourd'hui c'est ta journée alors prend le paquet. Dit-il tristement en me tendant le saque blanc.

Je lui prend des mains et le jettesur le coté.

- Tu crois réellement te racheter avec ça ? Tu m'as prise pour qui ? Les pestes qui traînent autour de toi juste pour ton argent ? Tu es ridicule mon pauvre. Lancé-je un sourie amère aux lèvres.

Je me lève de la balançoire etmarche en direction de ma chambre où ma grand-mère doit m'attendre.« Qu'elle tête de mule quand elle s'y met, faut dire que jel'ai bien chercher. Je ne l'ai jamais vu aussi énervé »chuchote Gabriel un sourire au lèvre en m'attrapant le bras.

- lâche moi.

- Je me suis comporté comme un con , je le reconnais, mais qu'est-ce qu'il te faut de plus que des excuses ?

- Oh ! Je sais pas... ça c'est ton problème. Maintenant si tu veux bien me lâcher, ça me ferais plaisir, j'ai autre chose à faire.

Arrivé devant ma chambre, je retrouve ma grand-mère allongée, inconscience sur mon lit. Je cours vers elle en panique et prend son pou. Je ne sens rien ! Je ne perd pas de temps et appuis sur le bouton pour appeler les infirmiers. Quelques minutes plus tard, trois infirmiers accourent et me remplacent dans le massage cardiaque que j'étais en train d'effectuer. Je suis épuisé, j'ai du mal à respirer et réinstalle bob sur mon nez quand ma tête commence à me tournée.

- Léa ! Vous allez bien ? Est-ce que tu m'entend ? Reste avec moi... cris l'infirmière

- Oui ça va ! Occupez-vous d'elle ! Dis-je avant de m'évanouir devant les yeux ronds et surpris de Gabriel.

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