Ce matin, je me réveilla avec une seul chose qui à changer depuis hier car, à ce jour j'ai un ans de plus. En effet avant aujourd'hui j'avais 24 ans et maintenant je suis rendue à 25 l'âge où toute responsabilité s'impose. Mon père n'as qu'une seul envie depuis toujours il attendais ce jour où je pourrais enfin reprendre les rennes de la compagnies afin qu'il puisse prendre sa retraite. J'ai toujours grandis dans le luxe avec un sentiment de vide en moi et je me suis toujours posé des questions à propos de la division de notre ville. J'ai tant posé des questions à mon père qui ne s'est pas gêné de tous les ignorés. Je ne suis qu'une simple bourgeoise permis tant d'autre selon lui et se serais un compliment que dit mon père. Ma réalité est que l'ont me sert tout sur un plateau d'argent depuis toute petite alors qu'eux il doivent se battre pour avoir juste un bout de pain. J'entend ma mère qui me crie de venir de la cuisine, je me tire de mon lit contre mon envie et choisis parmi tout ces robe de ma penderie. Je choisis la plus simple qui est de couleur noir et je descendis après m'avoir brosser les cheveux et mis un peu de maquillage parce que selon mon rang dans la société nous nous devons d'être toujours présentable même le matin et même en présence de sa famille. C'est une règle non écrite que nous nous devons de respecter c'est mal vu de ne pas être à son meilleur et c'est pratiquement perçu comme une insulte à la personne. Je descend pour apercevoir ma mère en compagnie de mon père qui m'attendais.
- Père, vous n'êtes pas au travaille?
- Je m'y rendais, mais tu devrais m'accompagner puisque je me suis dit que vu que tu as 25ans aujourd'hui je pourrais te cédé ma place. Je commence à me faire vieux et tu es la meilleure candidate à ce poste.
- Bien sur, j'arrive
Je le suivis jusque dans notre voiture de luxe où l'ont se rendis jusqu'au bureau. Tous me regardais avec respect car il savais que j'étais pour être leur future patronne c'étais écrit depuis le début. C'étais une évidence pour tout le monde déjà petite mon père me montrais à tous et imposais le vouvoiement malgré que je n'étais qu'une enfant. Je n'avais que 8 ans lorsque j'ai assisté à ma première conférence dirigé par mon père. Je me souviens ne vouloir qu'une seul chose ce jour là que sa ce finisse et vite. Il étais si fière de moi, seulement il ne savais pas que j'étais resté calme sous les menaces de son assistant qui étais que si je m'agitais ou que je gâchais cette conférence il demanderais à mon père de me ramener à la prochaine. Ce monde ne m'as jamais intéressez tous ce que j'ai toujours voulus est de comprendre, comprendre comment qu'on as put en arrivé là. Je ne comprend pas en quoi je devrais être supérieur à eux pourquoi eux et pas nous. Cela me perturbe l'esprit depuis toujours comment as t'on divisé la ville sur quelle réalité somme nous t'on basé pour une décision si importante. Assise à mon bureau je jouais du bout de mes doigts le stylo parcourant ma main ainsi. Je regardais par la fenêtre la section défavorisé et je me demandais l'effet que sa ferais d'être là-bas. Cela doit être invivable d'être toujours sous pression et énorme stresse jour et nuit. Par contre je me demande si ils sont aussi libre que moi dans cette prison doré. La journée tira finalement à sa fin, je repartis donc chez moi. Ma mère avais fait à manger et mon père s'étais précipité sur sont journal. Pendant que ma mère m'étais la table mon père avais baisser sont journal et me regardais étrangement.
- Qui y'as t'il père?
- Assied toi Lexa, il faut que l'ont parle
- ok et de quoi?
- Lexa, tu as maintenant 25 ans! tu ne crois pas qu'il serais temps de te trouver un mari avec qui tu vas pouvoir bâtir une famille.
- Voyons papa, j'ai le temps pour ça
- On aimerais ça avoir des petits enfants
- Je vienne d'hérité de la compagnie familial ont pourrais prendre le temp de fêter ça
Il ne répondis plus rien et repris juste sont journal.
- Bien sur chérie me dit ma mère tout en se servant des betteraves
Je repoussa mon assiette et me rendis dans ma chambre où je me défait de mon maquillage afin de pouvoir mettre mon pyjamas par la suite. Avant d'aller me coucher j'alluma la radio de ma chambre il annonça un échappé venant du mauvais côté il se serait faufiler jusque dans notre ville et essayerais de ce faire passer pour l'un d'entre nous. Il ce serais fait attraper ce matin alors qu'il étais en compagnie d'une femme de la haute société selon le gars de la radio il n'y a plus rien à craindre. Il as été attraper et exécuté le matin même, selon moi c'est inhumain de faire cela, mais pour mes semblables il ne voit rien d'anormal là-dedans. J'en suis sidéré d'être la seul avec une conscience. J'éteignis ma radio avec une pointe de colère en moi et alla me couvrir de ma couette avant de rejoindre le monde des rêves.
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Une fille du Ghetto qui aime une fille de riche (Clexa)
FanfictionLa ville est divisé en deux camps, les survivants et les riches. Ceux qui doit ce battre pour resté en vie et ceux qui sont née pour vivre dans le luxe. La nouvelle chef du camp survivaliste suite à la subite mort de sont père vas s'infiltré dans le...