une histoire innatendu- pnl [ademo]

chapitre 22

Le pire dans tout ca c'est qu'il ne répondais pas. Seule mon ventre se faisais la conversation.
Je ne savais même plus ou l'on allais, je ne faisais que le suivre dans les passage piétons et intersections. J'en avais donc conclu que j'avais perdu et qu'on se dirigeais au kebab.

Moi: Tarik?

Tarik: hm?

Moi: c'était qui la fille devant votre porte tout à l'heure?

Tarik: chep, j'la connais pas.

Ça m'avance beaucoup. Mais j'aurais du poser la question a Nabil, elle avait prononcer son nom.
Je sentais enfin la bonne odeur du kebab. Un sourire arpenta mon visage ce qui forma de petites pommet au extrémité, j'en été fier car je trouvais ça magnifique.
Je m'imaginais enfin avoir entre mes mains ce que j'avais voulu pendant ces 4 mois de torture.
On entra, et apparemment Tarik était plutot "connu".

Tarik: chef! Dit il joyeusement avant de le check.

Le chef: Tarik! Comme d'habitudes je suppose. Tiens, une nouvelle demoiselle cette fois ci.

Tarik: elle prendra la même chose que moi.

Moi: comment ca une "nouvelle demoiselle"?

Le chef: chaque jour c'est une différente et crois moi j'en ai vu passé des belles filles.

Moi: je sais pas comment le prendre. Di- je en regardant Tarik, qui souriait amusé par la situation.

Le chef: tu sais, tu n'en sera une parmi à tant d'autre donc bon le prend pas mal.

Je le remercia faussement avec un sourire exagéré avant de lancé un regard de dégoût vers Tarik. Son sourir c'était évanouie et ne me regardais plus. Son regard était devenu fermé.
Je sortis dehors en attendant la commande.
Quelques minutes plus tard, il arriva avec les commandes en main.
Il me tendit ma commande d'une main ferme. Je voulu prendre mon repas mais il n'avait pas l'air déterminé a me la donner.

Moi: merci. Tentai-je, malheureusement ce mot sortie plus sec que je ne l'aurais voulu.

Tarik: le prend pas pour toi.

Moi: merci je l'avais compris, mais excuse moi de ne pas vouloir faire partis de tes nombreux joués.

Il prit enfin la décision de me laisser manger mon menus. Nous continuons de manger en silence en espérant que quelque chose se passe.
En attendant, je pris la lourde responsabilité de répondre au millions de message sur mon tel.
Je l'ouvrir et dirigea mon doigt sur l'application: message, on se trouvait un petit: 50 nouveaux  message.
Ça allait être long.
J'avais ouvert celle ou se trouvais le plus de notif et c'était bien entendu, ma meilleure amie, Manon.
Elle s'était mise à faire la conversation toute seule a la fin. Sur le coup j'ais rit mais la pauvre elle n'a pa...

...: Wesh Tarik, bien?

Tarik: tranquille et toi?

...: putain tu fait pas les choses a moitié toi, encore une. Tu te déchaîne en ce moment. J'imagine même pas au lit.

...putain c'est qui ce clochard? Je vais le démonter y verra c'est qui le soumis.

Moi: on ta demande d'ouvrir ta gueule?

...: oh mais c'est qu'elle se defend! Ta bien choisit ton coup. Disait-il en regardant son amie.

Tarik: ferme la Karim, j'ai pas couché avec elle.

Karim: oh mais si tu la veux pas je la prend  moi.

Moi: ferme ta gueule ou tu vas en subire les conséquences. Je l'avais dit froidement et clairement pour qu'il comprenne qu'il fallait qu'il se taise.

Karim: doucement ma belle, c'est pas un langage pour une aussi belle fille.

Au moment où j'avais entendu cette phrase j'était en train de manger une frite qui a finalement atterie dans mon nez.

Moi: la belle fille elle te dit tageule.

Karim:c'est bon je me tais.

Je souffla exaspérée par ce pervers beauf, je releva ma tête et distinguait un visage qui m'étais familier. Je décida de ne rien faire même si ca me pertubais et j'en aurais eu pour ma dignité si jamais je me serais tromper de personne.

Moi: et ducoup, par rapport a mon frere et mon numéro? T'avais dit que tu m'expliquerai.

Tarik: hm disait-il la bouche pleine , c'est vrai. Il m'a passé ton num au cas ou d'un problème.

Moi: quel type de problème?

Tarik: chepa trop mais il sait que tu peux t'attirer tout type d'emmerde.

Moi: naan, tranquille.

Tarik me regarda, les sourcils levé, l'air de dire "tu tout fout de ma gueule j'espère".

Moi: quoi? Souriai-je, interloquée?

Tarik: putain, sa risque d'être compliqué si je dois te surveiller. Il souffla, et passa sa main delicatement sur sa barbe naissante,et tres bien rasée au passage,comme si la situation été désespéré.

Moi: j'ai pas besoin que l'on me surveille je te l'ai déjà dit.

Tarik: t'a pas le choix.

Moi: bien sur que si, tout le monde a la choix. Je ne faisais que le chercher, juste pour voir si il allait continuait et effectivement il continuait.

Tarik: je changerais pas d'avis.

Moi: t'es sur?

Tarik: oui.

Moi: okay.

Je fit exprès de prononcerce mot avec le maximum de sous entendus possible car je ne comptais pas m'arrêtais, oh non! Je vais lui menait la vie dure et peut etre qu'il allait enfin arreter de le surveiler. Et j'ai déjà quelque idées.
Il ne disait plus rien et moi non plus. On continuais de mangeais comme des affamés.
Je regardais les personnes autour de moi, cela ne faisais même pas un jour que j'étais sortis de prison pourtant cela me paraissait si loin. J'allais retrouver mes vielles habitudes même si beaucoup d'entre elles allaient changés  comme le fait que je devais me trouver un nouveau travaille.
Ca risque d'être compliqué mais j'ai encore un peu de temps devant moi donc je compte bien en profiter.
J'entendais une voix crier mon nom et par prudence je regardais discrètement autour de moi  au cas où que ce ne soit pas moi. Je trouva enfin le personne qui criai mon nom, elle était assez loin et agité les bras en l'air pour que je la remarque car elle me regardais.
C'était le même visage qui me rappelais quelqu'un et je ne m'étais pas tromper: c'était bien Manon.
Je resta bouché bée et déposa l'on grec sur le banc a côté de celui qui m'accompagnait, et couru jusqu'à elle. Elle me prit dans ses bras avant de me tchek comme des bonhommes.

Manon: putain tu m'entend enfin! Elle souriait jusqu'aux oreille et moi aussi.

Moi: excuse j'étais avec quelqu'un.

Manon: tu parle du beau mec musclé a côté de toi? Tu la baissé? Elle le relooka avec la plus grande des indiscrétions, même lui l'avais remarqué.

Moi: euh c'est compliquée. Sinon comment tu vas ?

Manon: bien mais et toi, la prison c'était pas trop compliqué?

Moi: tranquille, ça aurait pu être pire.

Manon: tes sur? Tu le dit si ta un problème.

Moi: t'inquiète je vais bien. J'étais avec lui en prison donc ne t'en fait pas.

Manon: oh je comprend. Elle fit un clin d'oeil grossier.

Moi: tagueule.

Manon: en parlant du bg, il arrive. 

Moi: hein?

  ✌