Le temps s'enroule sur lui-même
Suspendue entre sommeil et lemme
Je me voue à la solitude
Tout en moi m'abandonne avec la même habitude
Remuant mes pensés encore et encore en changeant les paramètres
Il y a une infinité de choses qui auraient pu être
Le destin n'avait pas prévu qu'accablement et amour
Se rencontrent un jour
Esprit-indomptable responsable de son propre chagrin
Étranger à moi même, pilier effondrés, sans soutien
Il y avait des choses que je croyait éternelles
Mais l'obscurité qui règne à détruit tout référentiel
Mes peurs gagnant le combat contre mon mental
Mais comment gagner ce combat qui semble si déloyal
Elles sont perdu chez Dédale
Tel des fractales
J'ai beau les affronter, elles brisent mes maigres remparts
Elles reviennent toujours aussi complexe qu'au départ
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Le code d'un zèbre
PoetryQuelque vers suivant le cours de mes pensées et de mes états d'âmes.