Des ennemis ? Pas Si Sûr... (CR7/Messi )(Sergio Ramos/Gérard Pique)

Epilogue

PDV Sergio :

Nous y étions, c'était le grand jour, la finale de la ligue des champions. La tension était palpable dans le vestiaire. Nous étions tous concentrer, nous repassant dans la tête les vidéos de match de Liverpool. Ce match était crucial et si symbolique pour Cris et moi.

Alors qu'il nous restait un quart d'heure avant l'entrée sur le terrain, on toqua à la porte. On put ainsi voir la tête de Gérard et de Lionel.

- On peut vous emprunter vos deux vedettes ? Demanda mon amour. Ce n'était pas pour me vanter mais je lui trouvais un truc en plus vêtu de mon maillot.

- Putain les gars, vous abusez nous on ne peut pas avoir de visite ! Se lamenta Karim.

- T'as qu'à être gay ! Rigola Cris, avant de se lever et d'aller embrasser son futur mari.

Je me levais à mon tour, pressé d'avoir mon bisou d'encouragement. Surtout que celui était encore meilleur puisque physique et non pas par vidéo comme nous en avions prit l'habitude a cause de la distance.

- Quelle belle surprise... Lui susurrais-je à l'oreille.

- Je... Je voulais te donner ça. Il me tendit une enveloppe en kraft et je me doutais de ce qu'elle contenait avant même d'aviser le sceau. La délibération du juge pour enfants.

Dans cette enveloppe, toute notre vie pouvait basculer en bien ou en mal. Soit on pouvait recommencer notre vie ailleurs, loin de l'Espagne ou un nouveau départ sans pleurs ni peurs nous attendait et surtout nous pourrions officiellement être une famille grâce à l'adoption. Ou alors il faudrait qu'on se batte pour récupérer Milan et Sasha des griffes de Madame blondasse qui ne les mériter pas et les mettait en danger.

- On l'ouvre ? Demandais-je, j'étais déjà stresser par la rencontre mais j'avais l'impression que mon rythme cardiaque venait encore d'augmenter.

- Oui, sauf si ça te déconcentre, je voulais juste te prévenir. Il joua avec le zip de ma veste. Nous partagions la même anxiété et d'un autre côté cela m'apaisa. Quoique renfermer cette lettre nous nous bâterions ensemble.

- Je préfère savoir avant. Si c'est positif, je serais euphorique et je donnerai tout et si c'est négatif, j'aurai une telle hargne sur le terrain que je ne laisserais pas un attaquant franchir les sept mètres. Comment vont les garçons ?

- Les garçons sont extatiques dans la loge, ils ne doutent pas une seule minute que tu vas gagner ! Tu les verrais, ils sont tous fier avec leurs maillots et leurs écharpes. J'ai fait plein de photos, je te les enverrais.

- Je n'en doute pas, je vous promets de vous ramener la victoire. Bon ! Je respirais à fond, de toute manière notre destin était déjà scellé. On ouvre ?

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Putain ! On n'a pas été foutu d'ouvrir le score dans cette première mi-temps, pourtant ce n'était pas l'intensité qui manquer. En prouve mes muscles endoloris.

- Les gars, on se ressaisit, il nous reste 45 minutes pour faire la différence. Alors on y va et on ne les lâche pas compris ! Nous motiva Zidane.

- Je vous préviens, il faut qu'on gagne, l'équipe telle qu'on la connaît maintenant sera... putain les gars, c'est la dernière fois qu'on joue ensemble alors on va la gagner cette finale. J'vous aime les mecs alors on y va ! Encouragea Cris sous les cris de tous nos coéquipiers qui lui répondirent. Il avait finalement pris sa décision et il avait prévu de l'annoncer ce soir à Lio.

Il partait à la Juventus, recommencer une vie dans un autre pays. Lio avait décidé de rester à la maison pour s'occuper de tous leurs enfants, sa décision avait été approuvé par le FC après de nombreuses palabres. Mais il ne savait pas encore que Cris avait acheté une magnifique villa à Turin et avait accepter un contrat avec la Juventus.