Mes sentiments sont des centimes,
Je n'aime plus jusquaux cimes,
Car l'amour, le vrai, n'existe pas
Autant, et s'il existe il mène au trépas.
Mes sentiments
Sont sans ciments
Et peu brillants...
Et les notes trillant
De mon cœur émettent
Des cris aux silhouettes
Morne et insatiables...
Et ce même battement qui écrit,
Ce même battement qui crie,
Ce même cœur qui prie,
C'est ce même sentiment qui apprit
Tant, que face à la douleur d'hier,
Il se tient debout et fier !