"Jiguéne ak Koor"

Inspiré par "Soxna Ndeye Diakhér Ndiaye" sur facebook après une discussion, je tenais à remercier, à encourager et à féliciter nos femmes musulmanes pour tout ce qu'elles font avec amour et obéissance envers les hommes...
Ramadan, ce mois béni, est le neuvième mois du calendrier hégirien. Ramadan est pour nous les musulmans le mois le plus saint par excellence car il constitue le mois du jeûne et contient Laylat al-Qadr.
Durant ce mois, avec tous les efforts que nous faisons dans les bureaux, dans les champs, dans les chantiers..., il est hors de question d'oublier la bravoure de nos femmes qui, se lèvent tôt le matin pour préparer la pratique musulmane recommandée par le prophète Mouhamed "Kheude" aussi appelé petit déjeuner de l'aube en cette période. Après celà, elles ne vont plus dormir, elles vont enchaîner avec le ménage mach'Allah avant même notre réveil. Avec toute cette sacrifice, aucune des cinq prières ne leurres échappent mach'Allah. Vers midi, elles s'occupent encore des enfants pour leurs nourrir. Aux environs de 16h, elles sont déjà dans la cuisine pour préparer le "Ndogou", repas de rupture du jeûne. Trop de sacrifices juste pour nous satisfaire mach'Allah, tout homme doit penser à nos braves femmes musulmanes. À l'heure de la rupture du jeûne, elles sont tellement occupées à cause de nous encore, elles distribuent le "Ndogou", préparent le dîner et même nous prennent en charge dans le bol. Sur ce, je peux prendre l'exemple de mes femmes chéries "Awa Ndaw Ba et Fatou Diel Ba" qui ne se soucient pas de leurs ventres mais plutôt des nôtres mach'Allah. Après leurs délicieux plats, elles se chargent encore des jus comme le "Bissap" pour faire référence à "Pape Abdoukarim Diop", Messi et "Babacar Atoumane Ndiaye" qui ne font que boire du "Bissap" en ce mois. Vraiment être femme en cette période de Ramadan n'est pas facile.
"Motax yélo nguén nioulén di ndjioukél, dilén niaanal té dilén diapalé". "Jiguéne, bilahi amouniou sa fay yalna Yalla fayla"
Hommage aux femmes musulmanes, si douces et si belles, qui, se sacrifient jour et nuit et même parfois avec une chaleur accablante.

La suite de l'histoire est réservée à celles qui nous donnent les "bollou dofs"...

Plume: Cheikh Ba, Le Prince