discussion bouleversante

635 16 52
                                    

PDV-TAO:

Nous venons de sortir de la cité que nous rejoignons les chaldis pendant la traversée Malik on a profité pour nous raconter ce qui c'était passé pendant que nous étions chez Jabar ,vu le visage de Hakim quand il croise le visage de l'européen, et les bédouins avait remarqué notre silence qui se faisait sentir, sans compter que Mendoza avait continuellement la visage attristée , alors qu'au fond de moi je Bouillonner de rage et dire qu'il a préférer cette ennemi à nous .je n'osais encore rien dire à ce propos malgré que ce sujet me Bruler les lèvres je remarqué bien que notre capitaine passer de plus en plus de temps seul dans son coin alors que Zia parler de ces pouvoir à moi et Esteban ce sentant bizarre.
Enfin arrivé au condor Pedro et Sancho espéraient enfin en savoir plus sur ce qui c'était passé à Kùmlar.
Et c'est là que Pedro osa engagé la conversation :

_Ben alors les amis non seulement vous êtes de plus en plus silencieux , vous ne nous avez toujours pas dis ce qui c'était passé sans compter Mendoza qui est devenu du genre introverti ??!. Dis Pedro

_Eh Bien.... disons que c'est compliqué très compliqué ..réponda Zia gênée

Je voyais bien Mendoza sur le côté adossé au mur du condor en train de légèrement tourner la tête et se serrer en train de rougir .
Ainsi que Sancho ayant l'aire perplexe face à la réaction de son capitaine.

Pedro mourant d'impatience clama : Mais vous avez perdu votre langue ou quoi?!!

Il se tourna alors vers Esteban qui faisait semblant de ne pas l'avoir vu en arborant un aire déconcerté.

Et Mendoza qui admirer d'un œil innocents les sourcils légèrement levé

Comment pouvait-il nous faire cela :une telle trahison
Pour moi c'était la goutte d'eau qui fait déborder le vase . Je me lève de mon siège et cri donc :

_Bon moi je vais vous la dire moi la vérité : MENDOZA ET LAGUERRA SE SONT EMBRASSER PENDANT QUE MOI ET NOS CHÈRES ÉLUS ÉTAIENT À DEUX DOIX D'UNE MORT CERTAINES

pendant que je continuer mes reproche je  pu distinguer les visages des deux marin abasourdis et le visage de Mendoza qui me suppli de me taire d'une allure désespérée du genre à me dire non tao je t'empris mais je ne fit guerre plus grande attention

POURQUOI L'ONT IL FAIT ALORS DEMANDAIS À NOTRE "ALLIÉ" EN FIN À CE DEMANDER SI IL N'EST PAS DU CÔTÉ DE SON GRAND AMOUR PROBABLEMENT VAT IL LA REJOINDRE en ajoutant un rire sarcastique ....

Esteban qui en avait sans ras la casserole me coupa en se servant du coucher de soleil comme excuse en poussant un souffle de soulagement.

Alors que nous nous sommes arrêtés près d'une Oasis pour y passer la nuit et se rémunérer Mendoza resta dans son coin le visage rouge ,je ne sais si c'est pour avoir parler de ces sentiments en public ou par simple honte , tandis que ses deux compères même après ses longues minutes rester bouche bée.

Pendant cette senne à la nef:

PDV-GASPARD:

Nous étions de retour à la nef et je remarquer le visage de Laguerra s'assombrir sans pour autant montrer plus d'émotions. Je vois Ambrosius approcher en colère, mais mon esprit était largement bien préoccuper à penser à ce que j'ai vu dans la cité d'or, au départ je croyais avoir rêvé comment la senorita Laguerra aurait-elle pu embrassé ce chien que j'ai pour ennemi.mais Ambrosius Vena vite me sortir de ces mémoires.

_Bein alors à quoi vaut ce retard ??!! dit-il avec un pincement de colère noir incontrôlable.

Mais je ne fis que bafouiller et lui se douter bien que quelque chose n'allait pas. Mais trop occupé sur ces recherches concernant la 5 ème cité d'or, se contenta de nous dire de retourner dans nos chambres sois prétexte de nous rappeler plus tard.

Je voyais Laguerra s'éloigner rentrant des sa chambre en s'assurant avoir bien fermer la porte

PDV-ISABELLA:

Je rentrais dans ma chambre pour finir par m'écrouler sur mon lit en larme tellement de questions se bousculer dans ma tête :

Pourquoi fallait il que tous s'arrête , je croyais à cette amour et le voilà ruinée à néant :tous cela à cause de ce c*n comme si il croyais honnêtement que je pourrais un jour l'aimer par tous les moyens pour une fois que je sache l'aimer ,je n'ai même pas eu le temps de lui dire pourquoi je faisais ce que je fait sans compter qu'au début je l'ai traité de lâche .

Je l'installe donc sur mon bureau ,ma main sur mon front coude sur la table ,je me remorer tous ce qui c'était passé entre nous en me disant qu'il auriez pu y avoir bien plus.

PDV-AMBROSIUS:

Une question me trouble : pourquoi venait elle à peine d'arriver ? J'aurais jurer qu'elle était en train de me suivre .bon je poserai la question à cette empoté de Gaspard plus tard .tous ce qui compte à présent est que j'ai le double-médaillon en ma possession ; enfin tous le savoir de Mû à moi .et cette fois même Mendoza ne pourra pas m'arrêter.
Je me suis mis à scruter ma carte de plus près me disant que les prochains indice ce trouve au Caire.
Après avoir installé des tas de piège afin d'être sûr que personne ne pourra me les voler .hmm on est jamais assez prudent.

Je rappella Gaspard en lui faisant signe de venir:

_Gaspard !! criait-je

_ou..oui messire . Me réponda til en se dirigeant dans ma direction maladroitement .

_puis je savoir ce qui vous aurez pris autant de temps ??lui demandais je en me frottant le menton .

Il se mit à bafouiller et me dit
_eh ben c'est que.....

_c'est que quoi !? Lui répétais je en perdant l'impatience.

_Bon en fait c'est que Laguerra a embrasser Mendoza .dit il timide en se tapant les bouts des doigts l'un contre l'autre.

_QUOI ?!! Hurlais je
Et je dicida d'appeler Laguerra ,elle sortait avec un air froid et distinct.

_Oui mettre ? Répliqua t elle

_dis-moi.. Gaspard m'as dit que tu aurais embrasser  ce chien de Mendoza.

_eh bien sachez "Zarès" que vous m'aviez donner l'ordre d'avoir la confiance de vos chères ennemis et puisque rien ne sembler marcher je décida de l'embrasser .

_Peu convaincu mais certes ,tu peux disposer..

PDV-ISABELLA :

J'eus un pincement au cœur en disant cela , mais que puis je faire,il se douterait de quelque chose,et de toute façon :

                            Il est Mort....

Juan : Une Histoire Impossible Où les histoires vivent. Découvrez maintenant