Chapitre 7 Mon coma éthylique

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 On n'était en été, et je traînais avec des potes de ma ville.

Un jour je vais chez Fabrice, un gars que je connais, vu qu'il faisais beau et chaud, on a décidez de bouger en ville, on n'a pris une bouteille de Vodka, du jus d'orange, et deux grandes Smirnoff. Je lui et demander s'il voulais bien qu'on n'aille dans un parc tranquille, que je connaissait dans le quartier ou traînait Stevve ( c'était au cas ou je le croiserai... j'étais encore amoureuse de lui malgré qu'on n'était plus ensemble). Donc on c'est diriger vers là bas en tram.

Arriver la bas, on a commencez  à Picoler, et il faisais pire que chaud, on prenez des photos, puis j'avais un coup de chauffe, donc on à décider de marcher, en bas du quartier, la ou traîne toujours Steeve et sa clic. Arriver la ba, il y avait personne, mais je me sentais vraiment bizarre, à l'ouest, je comma-ter, je calculer plus rien.

J'étais assise sur une rambarde en fer, j'avais des vertiges. Je vois un groupe d'une dizaine de personnes se diriger vers moi, il y' avait Djenna, et Stevve dans le lot. Mais j'arrivais plus à parler, Je calculer rien. Djenna m'a donner des baffes pour me réveiller, mais je me suis écrouler par terre, j'ai vomi. j'ai vu Stevve donner un coup de chasser à Fabrice, puis j'ai perdu connaissance. J'entendais des voix lointaines. 

Ma mère qui parler, et les pompiers qui essayer de me réveiller puis TROUE NOiR.

Je me suis réveiller aux Urgences le lendemain, je me demandé ce que je foutais là. Le docteur m'a dit que j'avais fais un commas éthylique, car j'avais bus trop d'alcool. Ma mère était là, mais elle et repartis. Il y' avait une éducatrice de mon foyer avec le docteur, ils ont décidé qu'il fallait que je voie le psychiatre de l'hôpital.

L'éducatrice m'a dit qu'ils avaient pris la décision de m'interner en psychiatrie, pour les jeunes qui sont mal dans leur peaux, qui se mettent en dangers. Mais moi je voulais pas. Le Psy disais que j'étais trop fragile, et que je faisais une dépression. Car parfois, je faisais des crises d'hystérie, je me mutiler mes bras, et que j'avais une sorte de dépendance à l'alcool à cause de mes problèmes. Donc javais pas le choix .

Arrivé à l'unité, je suis accueilli par une infirmière qui fait mon admission, elle fait l'inventaire de mes affaires ( au cas ou j'ai des choses dangereuses). J'ai une chambre seul avec salle de bain et WC. Elle m'explique que pendant quarante huit heurs, j'ai pas le droit d'avoir un seul contact avec l'extérieur, j'ai pas le droit d'aller dehors, même pas dans leurs parc. De là elle me prend mon téléphone. (Pour les fumeurs, ils  avaient pas le droit de fumer pendant les quarante huit heurs, mais ils fumer dans les toilette.

Quel chance pour moi j'avais de pas fumer à cette époque là. Les quarante huit heurs servent apparemment à nous reposer, penser qu'à nous, et les médecins observent notre comportement. Je commençais à pété les plomb, et à pleurer, en me disant  "mais je suis ou là, Putain qu'es-que je fais dans se truc pour les fous?".

Les quarante huit heurs passe, et j'en pouvez vraiment plus, je faisais que de penser, lire, écrire, dormir,pleurer, je manger peu, je parler avec les autres patients, et les rendez-vous avec le psy,je penser à mon Steeve, que j'aimer. Ils nous shootez aux médicaments pour calmer nos angoisses, moi personnellement, j'aimais bien j'avais l'impression d'être défoncer (Tercian, xanax.)

Enfin les quarante huit heurs fini, je pouvais prendre l'air dans le parc, ma famille venaient me voir. Djenna est venu à l'hôpital avec six personnes, que je connaissais même pas, mais qui était là à mon commas, donc je savais bien qu'il se sont foutu de moi.

J'étais dégoûté mais j'avais demander une permission de sortie qu'ils ont accepter, de treize à dix huit heurs , ça ma fais bizarre de retrouver l'extérieur j'étais perdu.

Donc avec Djenna et ces potes. on ses dirigez vers la ville, et je voulais pas rester avec eux donc j'ai dit à Djenna "vient on passe l'après-midi que toutes les deux stp" Elle me dit qu'elle est d'accord. Donc on part toutes les deux dans notre ancien quartier, ou on n'habitait quand on n'était petite, et on se remémora notre enfance. 

Là elle reçois l'appel d'un mec que je ne connais pas. elle me dit qu'elle le keaf et qu'il veux la voir donc je lui dit "okay va-si on va le voir." Donc on prend le tram, et il était à l'arrêt. On parler, puis j'essayais d'arranger le coup entre elle et lui. mais il était chelou, il s'en taper de Djenna. Il était vers dix-sept heurs trente, et là je dit à Djenna" qu'il faut qu'on parte car je dois rentrer à l'unité."

 le mec dit à Djenna" vient faut que je te parle" Elle y va,  Elle me sort "je reviens dans cinq minute, on marche à l'autre arrêt de tram et on revient" 

" okay bah grouille".  deux minute après, je vois personne marcher à l'arrêt de tram. Je trouve ça bizarre, Cinq minute pour elle ça veux dire trente minute. Puis là je sais pas d'où elle sort mais je voyais quelle avais fait quelque chose de grave, donc j'ai commencé à péter un câble, car déjà par ça faute, j'allais être en retard et en plus de ça, la meuf elle fait quoi Svp ?

Elle me dit "Célia je suis désolé" en baissant les yeux, j'ai capter direct se quelle avais fait, elle m'avais laisser en plan et j'allais être en retard pour ça gueule, pour la simple raison quelle était parti sucer un mec !

Mais là j'hallucinais, j'étais dans un cauchemar, même sur une autre planète. Le mec je suis allée le voir en lui crachant à la gueule, il a pas eu le temps de sortir qu'il était déjà dans le tram et moi je faisais la gueule à Djenna.

Je suis rentrer, j'étais encore sous le choc de se que Djenna m'a encore fait, mais passons.

Le séjour à l'hôpital c'était bien passer, je suis rester huit jours là bas, je me sentais légère, et j'avais rencontrer de merveilleuses personnes, à qui je me suis beaucoup attacher.

Sombre Vie ( TERMINÉ) Histoire Vrais. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant