Chapitre 10 Mon indépendance

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Après mon retour d'Espagne, les éducateurs m'avaient promit que je partirais du foyer pour que je prenne mon autonomie, car je ne supportais plus. Je suis partie du foyer pour vivre dans un appartement en colocation avec deux autres filles.

c'était dans un quartier chaud de la ville. J'avais des éducateurs derrière moi quand même car le logement faisait partie d'un foyer mais rien avoir avec se que j'ai pu avoir dans mon enfance. Je suis rentrer dans cet appart j'avais dix-sept ans.
Quelque jours plus tard, je suis aller en soirée avec une meuf avec qui je traînais avant. C'était le genre de meuf avec qui ont tapait toujours les gens dans la rue, on les ra-quettait, en gros ont faisait notre lois. Des vraies fouteuses de merde, quand on traînait ensemble. 

On n'était partit toutes les deux chez un pote à nous, on n'avais bus de la tise jusqu'à se défoncer la tête. On partez avec nos bouteilles de rhums à la main on prenez le tram, ont avais  commençais à gueuler dans la ville, vive l'affiche.

Puis arrive le moment ou fallait que j'aille au toilette. On et allée dans un bar, je  suis arriver au toilette, et là je me sens partir, j'entendais Cécilia crier mon prénom, je n'arrivais pas à répondre, j'essayais d'ouvrir la porte, mais j'étaie trop faible, donc je  suis tombe par terre.  Puis TROU NOIR. 

Les pompiers sont venu, ils m'ont emmener à l'hôpital. Je me suis réveiller là bas. Pour la deuxième fois de ma vie j'avais fais un commas éthylique, celui ci aurait pu être fatal, car j'avais fait un arrêt cardiaque, et j'avais vu la mort dans mon sommeil. 

J'avais remarquer en m'habillant qu'il me manquer mon sac à main. Cécilia me l'avait voler, et depuis se temps là je ne lui adresse plus la parole car elle n'a pas était là à mon réveille et j'ai appris qu'elle c'étaie bien foutu de ma gueule. Les médecins font leurs rituelles habituelle donc j'ai du voir un Psy puis retour en hôpital psychiatrique, dans la même unité que le séjour précédent.

Arriver là bas, c'était toujours la même chose avec les quarante huit heurs, sauf que je fumais dans les toilette, et que j'avais cacher mon paquet de clope. je me suis fais de nouveaux potes. Il y avais une lesbienne elle s'appelle Canellia qui me regardait toujours, elle était en love sur moi.

J'ai tellement perdu mon temps avec les mec  ils mon fait tellement souffrir, que j'ai testé de sortir avec. Mais ça à durer trois jour. Car j'avais fait la connaissance de Charlotte et franchement que dire d'elle c'était une fille génial. On n'a jouer à un jeu dangereux, celui de la séduction, mais pour rigoler car on n'étais toutes les deux hétéro de base.

Mais je sais pas ce qui c'est passer, on n'est tomber love l'une de l'autre, on n'était toutes les deux perdu et moi je voulais faire chier Canellia, car elle voulais Charlotte et je lui et montrer que c'était moi qui pouvais l'avoir.

Quand on sortais en permission ensemble ont buvait, fumait, mais un jour on c'est fait choper par les infirmières, car on n'était défoncer, du coup pendant vingt quatre heures on pouvait pas sortir. 

Mon séjour c'est terminer au bout de huit jours, et je suis rester en contact avec Canellia sur facebook et Charlotte on se voyais tout le temps.

Avec Charlotte on faisais des soirée de fou ensemble, on n'allait dans des soirée, car c'est une teufeuse et une toxico de drogues dure. On faisait pleins de sorti. Parfois je me sentait pas dans mon élément. On faisait des tas soirée avec des gens. On sortait ensemble en cachette, mais on n'avais chacun un copains. C'est avec elle que j'ai sniffer de la cocaïne pour première fois.

Mais j'en ai jamais repris c'était pas mon délire. Elle dormais souvent chez moi. C'étais la seule avec qui je suis sorti puis j'ai remarqué que les filles c'était pas mon délire enfin de compte.

Au fil du temps, j'ai rechercher un apprentissage avec l'aide de mon éducatrice référents, puis j'ai trouver un patron, j'étais super contente. J'ai refais ma première année de CAP toujours en Serveuse restauration. Ça se passé ni quel.

En cour, j'avais fait de nouvelles connaissances, j'avais fait la connaissance d'un gars de ma classe, on traînait ensemble c'était un dealer, mais on n'a juste flirter on n'est jamais sorti ensemble. 

J'étais dans la même classe que le pote à Steeve, sa me faisais trop chier car j'étais sortie avec pour rendre jaloux Steeve, mais ça n'avait pas fonctionné. Mais quand même j'étais gentille je le défendait toujours. Je me rappelle le jours de la rentrée j'avais fait sniffer du Popurse ( normalement c'est pour dilaté le cul des PD) à toute ma classe, ça fait un effet ou tu rigole pendant 30 sec et ton cœur bat hyper vite c'était un énorme délire .

J'ai fait la rencontre d'une super fille de ma classe elle s'appelle Malorie et on c'est rapprocher, elle était toujours là pour moi. On s'adorer, on n'était devenu inséparable, ensemble on ne faisais qu'une, mais pourtant ont n'était trop différente, elle étais plus zen, en mode  ( peace and love). Et moi j'étaie tous le contraire en mode jogging, style racaille et fouteuse de merde à l'époque.

Je sais pas comment on n'a pu devenir amie, mais c'était la seule qui à toujours était là dans les bons et mauvais moment. Elle ne m'a jamais laisser tomber, me comprenais et pourtant on n'avais pas la même vie n'y le même passer. Elle ne ma jamais juger. Elle dormais presque toujours chez moi, me motiver pour aller en cour, car des fois je n'y aller pas, presque tout le temps en faite. On fumer des pètes tous les jours, même avant d'aller en cour et à chaque pause. 

On n'était trop dans nos délires, on faisait des soirées de fou, on picoler nos bouteilles de mousseux c'était se qui pète le plus et qui monte bien à la tête plus vite grâce au bulles. On n'était devenues des meilleures amies, et on traînais beaucoup avec des gens de notre classe. elle en a vue de toutes les couleurs la pauvre car vraiment je l'ai fait galérer.

Entre temps j'avais déménagé dans un autres appart, j'étais toujours en colocation avec deux autres filles. Le quartier ou je vivais ils y avais de gens bizarres, avec qui je m'étaie pris la tête et j'aimais pas leur mentalité, c'était des branleurs qui se croyais tout permis ça m'avais soûler, et je suis donc j'ai déménager une foi de plus.

Sombre Vie ( TERMINÉ) Histoire Vrais. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant