ENTER.

Chapitre 1

"Heu, ça vous embête si je regarde mes messages ?" au bord d'une des fenêtres qui donné sur la cour de son grand manoir situé au nord de soul-river, Lapis.70 un trentenaire au visage potelé assis comme un patron des année 50, costard cravate une clope entre ces deux doigt dévisage mon corps comme un gain de cause comme la recette de la soirée. 

En fin de journée il ma raconté en de bref détailles sur ça journée au bureau juste avant de me demandé si je pouvais me déshabiller et m'allongé sur son lit, ça devais sans doute l'excité de m'imaginé nu sur son lit pendent que madame était en voyage d'affaire.

"Fait comme bon te semble tu n'es pas mon prisonnier" juste derrière lui ce tenais un cendrier déjà bien remplis, je me demandé combien de cigarette allait y passé ce soir la.

"60 euro l'heur monsieur, je n'ai pas envie de vous faire perdre votre temp si vous voyez ce que je veux dire..." je sais pas ce qui m'a pris de dire ça mais j'étais un peu stresser,  je me pose sans doute trop de question...

"Raconte pas n'importe quoi tu veux ! " il tire tout juste ça dernière bouffer.

En se levant, les mains dans les poche avec un regard accusateur, je m'attendais au pire, maintenant plus rien ne pouvais me faire reculer jetait prés a tout.

Il s'avance doucement jusqu'au bureau situé devant le lit tout en me dévisageant d'un oeil il ouvrit sont écrans et l'alluma, L'image d'une blonde en porte-jarretelles à califourchon sur un canapé s'affiche puit une autre apparait et plusieurs même, je n'osais pas posé de question.

"Tu vois ces filles ?" sans dire un mot, je me redresse et il pris naturellement mon silence pour acquis. 

"Elles sont a moi " en l'espace d'une seconde je me suis dit que c'est fini, je suis un homme mort. Il continua "mais ce que je préfère par dessus touts ces les jeunes hommes comme toi dans le genre fils à papa si tu vois ce que je veux dire..." 

Je voyais bien ce qu'il voulait dire. Que j'allais prendre tarif tout en silence je le regardais mes, lévres c'étais ouvertes d'elles même je savais plus comment agir, des menace, des parole en l'aire ou bien une blague ? je savais pas si je pouvais endurée ça mais il fallait absolument que je lui réponde, que je détourne le sujet peut être?

"Comment ça elles son a vous ?" mon coeur battait fort mes organe était en feu j'avais l'impression que même si je voulais je ne pourrais même pas courir. 

Il ce leva son regard qui devenais de plus en plus anxiogène mon souffle ce fit court, ces doigt sur mes pied il a commencé à les faire monté tout au long de mes jambe pour arrivé a mes anches, il s'approche de mon visage qu'il effleures de ces deux doigt, nos yeux toujours en contacte.

Je senti son souffle sur mon coup, j'essayer de resté calme il me fait peur et ça ce voyais je commence a tremblé je ne le lâche pas du regard, je savais plus ou j'étais comme un enfant perdu dans la foule oublié par ces horrible parents.

"Tu es un sale gosse arrogant tu le sait ça ? " j'ai à peine eu le temp de répondre qu'il me tourna le dos brusquement, je repris mon souffle, un peut dérouté par ces mots qui mon glacé le sang, je regarde prendre une autre clope sur son bureau en direction de la fenêtre qui donné sur sa cours tout en gardent le dos tourner face au paysage noir éclairé par la lune qui ce soir brillais de mille feu.

" As tu a un père ?" cette question je me lavais posé toute ma vie, était il en train de me posé une question piège ? voulait il savoir si des gens prendrais la peine de me chercher si un malade venait à m'enlevé ? une réponse bref et simple s'impose n'en dit pas trop !

"Non" de cette réponse surgis de mon esprit quelque flash du passé qui me fit oublié que j'étais perdu a ce moment la ou même depuis toujours. 

"Alors tu n'a personne sur qui compté, je me trompe?"  si j'ai une amie sur qui je pouvais conté, une amie qui pouvais m'aidé quand j'en es le plus besoin mais je n'en parlerais pas et surtout pas a ce type

"Si bien sur ! j'ai des amies un peux partout comme tout le monde" il souris, ça à l'air de marché.

"Moi aussi j'ai des amies un peux partout, je pense qu'ils aimerais bien te rencontré eux aussi" il se tourne vers moi et me demande...

"Demain je te les présente, ici même, dans cette chambre" je le regarde fixement et lui répond 

"Demain j'ai des chose de prévus avec des amies mais un autre jours peut être..." je n'étais pas assez convaincu par ma prestation de ce soir je n'allait surement pas revenir, il en étais hors de question en tout cas, pas ici...

"Alors reviens quand tu veux " son regard me quitte, je ne savais plus quoi faire, quoi dire, je voulais lui posé un tas de questions mais je vais en resté la je décide de regardé l'heur sur mon portable, 1h50  son passais je n'osais pas lui réclamé quoi que ce soit mais d'un côté je voulais partir au plus vite.

"J'ai vraiment envie de te revoir mon garçon" de ces mots ma tête a commencé a devenir chaude mes mains étais devenir toute moite je savais pas ce qui me prenais, quoi répondre ? 

"ça vous fera 120 euro monsieur" je n'osai pas le regardé, il viens tout juste d'écrasé son mégot, je décide de m'assoir sur le bord du lit en tout en prenant soin de prendre mes affaire, je n'avais plus cette impression d'être observais, bien que cela était une habitude.

Je lui tourna le dos, je peine a remettre mon pantalon quand je sentis des mains autour de moi soulevant le jean trop serré que j'avais acheté pour l'occasion et que j'allais sans doute rendre au magasin dés demain, une fois enfilé je sens ces bras m'enlacé le corps entier je sentais sur tout mon dos son poids, pour ce dégager aussi l'entement qu'il c'étais posé, je me retourne aussi vite que possible et je me retrouve face a ces long et gros bras, faut dire qu'il fait 1m92 face a moi qui n'en fait que 70, je n'étais pas petit mais lui étais grand. 

"Ho attend !" je fus surpris par ça ponctuation et sa joie, je ne savais pas ce qu'il me mijoté d'aussi incroyable pour me faire cette honneur d'humanité qui m'avais autant bien caché...