Abandon

21 0 0
                                    

Sa fait maintenant deux semaines que tu es partit, tu as déménager loin d’ici et pourtant je continue à espérer te revoir. Depuis que tu n’es plus là je reste seul dans mon coin, à lire et à imaginer ma vie si tu étais encore là dans ce collège où tout le monde ne pense qu’a son apparence, plutôt que penser à la beauté de leur cœur. Moi comme tu la toujours su mon cœur est sombre et remplis de tristesse tandis que le tient est fait de lumière et remplis de bonheur, grâce toi j’avais réussis à être heureux et être en parfaite harmonie avec moi-même, mais ce bonheur n’étais qu’éphémère, depuis deux semaines je me suis renfermer sur moi-même et je n’arrive pas m’ouvrir à quelqu’un d’autre que toi, je souffre intérieurement, tu ne peux plus m’apporter tes précieux conseil, c’est à moi de me débrouiller par mes propre moyens dans ce collège où tout n’est que superficiel, peut être que je devrais devenir comme eux, que me dirais tu si tu étais encore là et surtout qu’elle choix me conseillerais tu de faire ?
Comme chaque matin je me réveille au dernier moment pour aller en cour, je prend pas la peine de déjeuner n’y de dire bonjour à ma mère, ce serais une perte de temps. Je file donc directement à ma douche, me brosse les dents, me coiffe, m’habille tout en imaginant comment se passera cette journée, comment vont se passer les cours, va-t-on encore faire l’appel et m’oublier. Personne ne me remarque des fois je me demande si la vie de ma mère des profs où de d’autre personne changerai si je n’étais ici ou ailleurs.
Après mettre habillé je prépare mon sac très vite, il va s’en doute manquer quelque cahiers et même quelque feuille mais ce n’est pas grave, du moment que je n’oublie pas mon livre. Lire est la seul chose que je peux faire pendant les pauses, et ces livres m’aident a travaillé mon imagination et à imaginé ma vie si j’avais fait des choix différents, si j’étais différents.
Je suis enfin prêt pour passer une journée banale. Aujourd’hui c’est mardi, on commence par les cours de maths où le profs nous rend les control de la semaines passer, le professeur ne m’a pas vu, il m’a encore oublier, pourtant je suis le meilleur de ma classe, les cours c’est tellement simple, j’ai arrêté de les écouter depuis longtemps je n’arrive pas à comprendre ces élève qui ont en dessous de la moyenne. Enfin bref je me dirige vers le bureaux de mon profs pour lui demander ma copie qu’il a oublié de me rendre.
-Euh… excusez-moi monsieur mais je crois que vous avez oubliez de me rendre ma copie.
-Tu pourrais me rappeler ton prénom je n’arrive jamais à m’en souvenir. Me demandas-t-il ?
-Je…
J’ai pris ma copie avec mon 18 et je suis partit sans dire un mot.
L’heure du repas est arrivé, je me concentre sur mon livre et j’oublie les autres, je reste dans ma bulle.
Mais alors que sa faisais que 10 minutes que je lisais je vis un groupe de 3 personnes arrivé vers moi, je me suis demander comment ils avaient réussis à me remarquer. Dans ce groupe de personne il y avait Antoine un collégien typique avec bouton sur le front, et ce prend pour beau gosse, ce croit intelligent alors qu’il n’arrête
Pas de poser des question idiotes aux profs, mais en même temps il parle tout le temps en cours, il est bien obligé de demander pour ne pas passer plus bête qu’il ne l’est déjà. Ensuite il y a Quentin un Italien aux cheveux court il a redoublé 2 fois, il est le plus de la classe et se prend pour monsieur je sais tout alors qu’il ne sait rien du tout il passe son temps à tout critiquer appart lui-même, il doit avoir quelque chose à compenser avec son ego sur dimensionner. Et pour terminer il y à celui que tout le monde déteste dans cette classe, Mathéo rien que entendre sa voix me donne envie de le frapper, il parle tout le temps, raconte sa vie aux profs et on dirais qu’il n’a même pas conscience que ça énerve la classe, il se croit adorer de tous alors que c’est l’inverse. C’est trois-là ont vraiment une très mauvaise images auprès de pas mal de monde. Ils se reprochaient de plus en plus mais je faisais mine de ne pas les voir et continuais à lire mon livre.
Antoine commença à parler :
-Wesh bien ou quoi ?
Je ne répondis pas.
-Tu pourrais lui répondre au moins c’est la moindre des choses. Répliqua Quentin.
Je sentit qu’ils n’allaient pas me lâcher et répondis :
-Oui ça va, mais pourquoi vous venez me parler ?
-On voulait te demander si sa te disais un ciné après le repas . proposa Antoine.
-Je te rappelle qu’on a cour de français juste après, tu devrais plutôt y aller au lieu de jamais écouter en cours.
-Tu n’as pas à lui parler comme ça. Rétorqua Mathéo avec un air énerver.
-Je vais aller continuer mon livre ailleurs si c’est tout ce que vous aviez à me dire, salut.
Je pris mon sac sur les épaules et partit mon livre à la main en prenant soin de ne pas perdre ma page.
Le cour de français est un cour que j’aime bien on peut lire, analysez, écrire et imaginer. Même si je participe pas et ne partage pas mes points de vues, c’est le cours que j’écoute le plus et le cour où je travail le plus, aujourd’hui on travail sur Voltaire et son livre l’Ingénu que j’ai adoré, mais je trouve qu’il en a fait des meilleurs comme le livre Zadig ou la Destinée qui est un de mes roman préférer.
Le cours de français est déjà terminer, je passe la grille du collège et me dirige vers chez moi, je n’ai qu’un seul chemin pour y aller, je n’habite pas tout près de l’établissement. Il est 18h, il fait nuit et je dois passer dans des ruelles sombre et étroites pour retourner à la maison mais dans une de ces allées étroites j’aperçoit 3 silhouette qui m’ont l’air familière, plus je me rapproche et plus je reconnais leur visage c’était les 3 personnes qui mon proposé d’aller au cinéma avec eux.
-Qu’est-ce qu’ils me veulent ? Me disais-je, que font-ils ici ?
Et Antoine engagea la conversation :
-Tu nous a laisser en plan tout à l’heure, je n’ai pas vraiment apprécier ce que tu nous a dit tout à l’heure.
Je voulais retourner chez moi en essayant de passer mais il s’interposa en mettant sa main entre la sortit de la ruelle et moi.
-Tu veux quoi ? Lui demandais-je.
-Je veux juste qu’on s’explique toi et moi ne t’inquiète pas ça ne sera pas long. Répondit Antoine.
Et sans que je m’en rendent compte je fit encercler par les 3 collégiens. Et deux secondes après Antoine à essayer de frapper au visage. Mais, grâce à une bon réflexe de ma part je réussis à esquiver son coup, cependant je baissa ma garde une fraction de seconde et les deux autres mon frappé dans le dos sans que je puissent réagir. Je tombas au sol et n’arrivas pas à me lever à cause des multitudes de coup pieds que je reçus d’eux. Quand ils en ont eu assez il m’ont laisser au-sol en me disant « bien fait pour toi tu la bien mérité. ». Je me releva doucement pour essayer de ne pas trop forcer sur mes blessure avec un sourire sur le visage, en même j’avais de quoi être heureux, pendant qu’il me donner des coups j’avais réussi à prendre leur portable sans qu’ils ne s’en rendent compte, après tout eux aussi l’avez bien mériter, je vais pouvoir les vendre et gagner un peu d’argent pour pouvoir aider ma mère.
Quand je partit de la ruelle, il pleuvait abondamment le sol glisser et je continua à marcher jusqu’à rentrer chez moi. En arrivant je vis ma mère en colère qui me demanda.
-Pourquoi rentre tu aussi tard ?
-Pour rien je me suis juste arrêter pour continuer mon livre et je n’ai pas vu le temps passer.
Oui je lui mentais parce-que sa ne changerais rien elle n’a même pas remarquer que mes habille était sale et déchirer.
Je voulais aller jeter ce qu’il reste de mes vêtement mais ma mère m’arrêta.
-Qu’a tu dans tes poches ? Elles sont plus grosse que d’habitude.
Et sans attendre la réponse elle prit les portables que j’avais voler aux 3 garçons. Ma mère ce mit en colère et me frappa en visage et me dit.
C’est 3 trois portables ne sont pas à toi, tu les as voler, tu n’est pas mieux que ton père, tu te souviens que c’est a cause de ça que je l’ai quitté et que c’est aussi pour ça qu’on est venu en France, pour plus que tu penses à lui et fasses les même erreurs que lui !
Je ne savais pas quoi lui répondre.
Elle me remit une claque sur l’autre joue, quelle sensation bizarre de ce faire frapper par sa mère. Elle se mit a pleurer et me dit :
Fait tes affaires et pars de la maison, je ne veux plus jamais revoir un voleur comme toi, tu es un pickpocket plus mauvais que ton père, si la police t’attrape et que tu va en prison compte pas sur moi pour venir te chercher !
Suite à ces mots je décida de me taire, de préparer mes affaire. Et lui disait ces derniers mots.
-Aurevoir mère.

La Panthère de l'ombre et le Tigre de lumière Où les histoires vivent. Découvrez maintenant