Chapitre 21 : Le Kohen Gadol

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⚠ Chapitres qui contient des scènes violentes. ⚠ 

En raison des retours de certain(e)s d'entres vous concernant des passages de l'histoire sur ce chapitre, j'ai pris la peine de le modifier.

Je rappelle que cette histoire est classé dans la catégorie mature, ce qui veut dire que, oui, effectivement, il y certains passages qui ne sont pas adaptés à tous. Merci de respecter mon choix et de ne plus me signaler à Wattpad. Cependant si cette histoire ne vous convient pas, ne lisez pas ! Merci. 

Egalement, je tiens à m'excuser de mon absence. En ce moment, je suis assez occupé et j'ai perdu un de mes proches il y a quelques jours, donc je suis très bouleversée. 

A bientôt.

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PDVAliwer.

Tiana me jette comme un vieux sac dans une cellule qui sent l'humidité, au sol tout poussiéreux.

Elle ferme une sorte de porte avec des barreaux noirs et reste devant, dos à moi comme une geôlière.

Je m'appuie contre le mur au fond de la pièce et soulève mon t-shirt,qui colle à cause de ma blessure suintante de liquide noir: le cruoré, le sang des immortels.

J'observela pièce. À ma gauche un lit simple est disposé. Dessus des drapsblancs pliés et un coussin mou sont posés.

En face de moi, à gauche de la porte, il y a un lavabo étincelant et propre où trône des affaires de toilette et un petit miroir rond contre le mur.

Je comprends tout de suite que c'est un éternel qui a créé ces choses qui contrastent avec cet endroit si dégueulasse.

Je lève la tête. Au plafond, un faible néon grésille.

Je me lève docilement et m'approche des portes en métal pour parler àTiana.

— Hé ! Tu peux me dire ce que je fous là ?

Elle se retourne et me prévient :

— Ne t'approches pas de la porte.

Comme pour la contredire, je touche un des barreaux. A mon contact un arc électrique me propulse en arrière.

— Je t'avais prévenu, ironise-t-elle. Maintenant, reste là et tais-toi. Tu vas rencontrer notre Seigneur.

— Je ne te permets pas de me donner des ordres ! Je suis le plus âgé !J'ai...

— Cinq cent ans, je sais... Mais tu sauras vite qu'ici ce ne sont pas tes années d'immortalités qui importent, mais la façon dont tu asmarqué l'histoire, explique Tiana.

— "Marqué l'histoire" ?

Kof-kof.

Un toussotement attire mon attention. Je tourne ma tête à l'endroit le plus sombre et tends le cou pour distinguer plus loin.

Mes yeux d'immortel s'habituent très vite et en un quart de seconde, j'aperçois un corps étendu au sol.

Je me remets sur mes pieds en quatrième vitesse, ignorant la douleur dans mon dos et cours vers la personne.

Nos Âmes ÉternellesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant