Calista est une jeune européenne qui s'est faite enlevé et vendre à une riche famille en Inde ...
La patronne la chouchoute jusqu'à que son fils revienne dans son domaine .
Le fils deviens obsédé par notre jeune européenne.
Que va t'il se passer...
Je me promène lentement dans le jardin avec quelques servantes à mes côtés. La surveillance qui m'est accordé est encore trop rigide, j'ai appris que shakher babu rentrait aujourd'hui. Il faut que je lui montre une certaine réticence mais un adoucissement pour pas qu'il ne se rende compte de mon changement soudain. Je dois y aller en douceur, c'est comme marcher sur des œufs. Ma position est inconfortable et je ne sais pas trop comment me comporter. Depuis l'annonce du mariage qui est censé avoir lieu les gens avec qui j'étais proche ont instaurés une tension palpable. Je ressens comme une relation de supérieur et employé, j'imagine que l'annonce du mariage fais de moi quelqu'un d'important entre ses murs. Je chantonne doucement un air calme, en caressant des fleurs du bout des doigts. Je suis plutôt tranquille pour l'instant, je n'ai pas eu vent de son retour. Le soleil tape sur ma peau et mon visage, j'y fais face et respire un bon coup avant de rentrer et de me préparer pour l'arrivé de cette ordure.
La couleur de mon sari est vert, j'ai cru comprendre que le vert était une couleur associée aux festivités. Pour cette raison, une veuve ne portera pas de vêtement de couleur verte. Dans l’Etat du Maharashtra, le vert symbolise la vie et la joie. Qui a dit que je voulais porter du vert ? Ça commence à me taper sur le système.
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Quelques bijoux tel que bracelet, collier, boucle d'oreille et bijoux de tête viennent s'ajouter à ma tenue. On me parfum et me maquille un peu, je me contente de mes regarder faire. C'est vrai après tout ce n'est pas comme si je pouvais y faire quoi que ce soit.
Ma colère bouillonne au fond de mes tripes, je ne comprends pas pourquoi je dois me faire belle pour le retour de ce bâtard. M'enfin bon... Jouons le jeu !
Les gens crient dans la demeure, il doit sûrement être arrivé. Je me positionne à l'entrée et le regarde serrer dans ses bras les domestiques, il me remarque et ose un petit sourire, je lui rend son sourire mais avec un semblant de gêne qui traduit plus mon inconfort que ma timidité. S'il croit que parcequ'il s'est auto proclamé mon fiancé je vais me soumettre à ses attentes il se four le doigt dans l'œil. Ses cheveux ont un peu poussé et je vois qu'il a prit un peu de muscle, à son poignet une jolie montre y est accroché, il a sûrement fait un saut dans la capitale. C'est parfait je pourrais lui poser quelques questions en restant bien entendu discrète.
Je me pose sous un arbre fruitier dans le jardin pour me reposer un peu quand quelqu'un met un collier magnifique devant mes yeux.
