Acte 4 – scène 4 :
(Ai et Ming)
Ai : Mon fils ! Mon sauveur ! Tu es un ange tombé du ciel ! Détache moi les mains mon ange.
Ming : Mère, tu oublies qu’il ne faut pas se fier aux apparences, le plus sage des anges, le plus sages des dragons peut démolir une ville, créer un tsunami. Je ne suis pas là pour te rendre heureuse. Je t’ai rapporté ceci.
Ming jette le cœur de Chang, le visage de Ai est taché de ce sang.
Ming : Regarde ton fils. Il n’es plus qu’un videur désormais et cela peut résumer tout ce qu’il a fait pour toi. Il a travaillé jour et nuit pour te combler de bonheur, il t’a obéis et a agit comme une ombre. Il ne souhaitait que son trône qui de plus lui revient de droit ! Ce trône n’est pas à toi, ton trône a toi est taché de sang, c’est une pile d’os et de cadavres odorants en putréfactions, rancis, sépulcraux, décrépits, pestilents. Ils sont dévorés par les larves et les
parasites, et meurs âmes crient pour que tu les libèrent !.Ai : Mon fils voyons ! Retrouve la raison, je n’ai jamais fait de mal à personne ! Tout cela c’est la faute de Nu Wa ! Elle a déversé le malheur et la haine sur notre famille ! C’est un ange noir ! Elle ne veut que notre malheur et nous détruire ! Tu es mon fils. Le miens ! Jai encore du pouvoir sur
toi en tant que mère. Tu me dois la vie et ton ventre rempli de mon lait. Alors j’exige que tu me détaches.Ming : Vous êtes naïve, Nu Wa ta offert une punition juste, elle te juge instable et pleine de vice, tu as eu une relation incestueuse, de plus tu ne fais qu’utiliser le mensonge pour te protéger. Mais tu as perdu. Je vais venger la déesse que tu as offensé. Mère je vais te torturer mentalement puis ce sera à mon tour de te tuer, de te couper les mains et de voir ton sang impur, gluant couler. Ton sang va couler lentement et je vais me délecter de la vue de ton cadavre qui va moisir et que je vais donner aux rats.
Ming attrape les cheveux de sa mère pour la trainer comme un sac de légume vers leur domicile. Ai bouillonne de rage, elle menace d’exploser colle une bombe a tout moment. Elle est désormais couverte de terre, elle avale sur son chemin de l’herbe, de la terre et des cailloux.
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Le Lilas des Indes
ParanormalRésumé : « Je voudrais être un poignard pour faire couler ton sang comme tu as fait couler mes larmes, n'est-ce pas de ta faute très chère mère ? » C'est ainsi que s'adresse Ming à sa mère Ai. En effet celle-ci alors qu'il vient de naître va l'aband...