Le « fou » de Sevyl

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Je suis un enchanteur, cette nuit, je suis un enchanteur.
Je n'enchante pas les enfants, mais moi meme.
Essayant de me faire croire à une vie merveilleuse, juste et rose bonbon.
Mais l'enchanteur n'arrive pas à atteindre son but, il a beau jouer la mélodie encore et encore, sa conscience reste la et ne veux pas s'élargir pour laisser l'illusion prendre le dessus,
Il joue plus fort,
Il joue plus vite
Encore et encore
La mélodie n'a plus rien de beau et le son qui sort de la flûte est criant, les notes de musiques semble ne plus supporte la violence, elle hurlent, tout en essayent de s'enfuirent..

Tout a coup, l'enchanteur brise la flûte , désespérer, les notes sont libres mais lui, n'a pas réussit à atteindre son but.

Sa, c'est les pensée de William, 27 ans.
William, plus communément appeler "Willy", ou encore plus communément appeler "le fou de Sevyl"

C'est le fou de la ville, Sevyl, tout le monde le connaît ici. faut dire que c'est une p'tite ville aussi..
Il était l'objet d'étude principale des plus grand scientifique du pays, son cerveaux tel une énigme, c'est lui qu'on étudier.
Allant passer jusqu'à des des semaines dans une chambres froide.
On laisser tous faire les plus haut placer, pas parce que on avait pas notre mots à dire, mais parce que c'était Willy, juste Willy.
C'est que d'après les érudits, sa folie était bien plus intéressante que n'importe qui, car sa façon de penser, de voir les choses, de ressentir les choses, se qu'ils voulait, se qu'ils envier... Tous chez lui étais trop différents de tous chez nous.

C'est se qui le rendez si spécial

William ouvre les yeux, les deux bras attacher en croix.

- 476, Et ce ne sera pas cette nuit la non plus. A croire que je n'y arriverais jamais.

Il voulait juste se laisser envahir par les rêves et illusions, que les barrières de l'imagination s'arrachent pour être un peu plus libre,
Un peu plus heureux.
Il essayait tout les jours, toutes les heures mais la corde attaché à son cou le retenait,
Il étais esclave. De lui même, il réfléchissais tellement qu'il en avait mal à la tête, au point de hurler a la lune pendant des jours et des nuits.

Comme si il voulait cracher ses démons.
Comme si il voulait que grâce à ses cris, la cage dans laquelle il était enfermer se brise,
Il étais si frustrer de ne pas pouvoir libérer son esprit, qu'il hurlait à la lune en attendant que quelque chose se passe, que quelqu'un intervienne, une divinité ou le déclic dont il avait besoins.

Tous ce dont William rêver c'était d'être aussi libre physiquement que dans sa tête, dans ses pensée. Mais il lui manquer une force.
Une force inconnue qu'il chercha pendant 27 ans, sans relâche.
Les plus sensibles habitant de Sevyl avait mal au cœur en entendant ses hurlements.
Les plus cruel le battait, essayant de le faire taire, en vain.
Bien qu'il étais à bout de force, exténuer de hurler c'était plus fort que lui, comme une marionnette, il n'avait le contrôle sur presque rien.

Pour se faire taire il se cogner le crâne contre un mur frénétiquement et ça pendant des heures - c'était un fou on vous dit.

Finalement, à force de thérapie forcer, de lavage de cerveaux, de tous se que tous le monde faisait pour le rendre plus « normale » et moins « fou »,
il réussit, ce fut un miracle, une vrai gloire pour lui et les médecins.
Un vrai événement, on en parlait dans le pays entier, sa inonder les journaux et les information.

« On a réussit à guérir William de Sevyl, atteins de la plus grande démence jamais vus »

Il on fait taire William , comme si ces paroles passait à la trappe dans une partie inconnue de son cerveau.
La première semaine les visites à l'hosto se furent bien moins récurrentes qu'avant.
Plus que quelques crises d'angoisse, les sautes d'humeur n'était plus aussi surprenante qu'avant.
Plus de crises..
Les colères, les caprices, toutes ces fois où il semblait sortir de l'enfer n'eurent plus lieu.

La deuxième semaine c'était une autre personne, tous se qui avait fait partit de sa vie durant 27 ans disparut totalement .
C'était 27 ans disparut en deux semaines..
Rien que deux.

Il avait enfin presque toute sa tête disait les autres.

Dans la rue  on ne le reconnut plus, les habitants de Sevyl ne s'attendait pas à un tel changement, et surtout il penser qu'il irait mieux, qu'il serait heureux et normale une fois « guérit »
qui c'est ?
qui est ce ?
C'était devenut un inconnue, toujours impassible, et sans aucune émotion apparente.
Il était tellement expressif avant ! Il pleurer, crier, ou sauter de joies sans cesse, passant d'une humeur à une autres toutes les demie - heures.

Alors que nous l'avions connut dans ce que l'on croyez être sa pire phase, nous n'avions encore rien vu.

Tellement dés-habituer a se que l'on avait devant nous,

Nous étions même plus sûr qu'il soit fait de chaires et de sang, se que refléter ces yeux faisait encore plus peur qu'auparavant, car ils ne reflétaient rien, le vide intersidéral, mais sans aucune nuance, ni expression, tellement intensément rien que l'on ne pouvait le décrire.
L'ange avait perdus ses mots, et toute la souffrance, la folie avait disparue, pour laisser place à
....que dalle

Sa vie était devenue inutile, triste et déserte.
Si terne.
Il n'avait plus rien d'humain on regretta même ses crises, on le préféra fou et on essaya de garder son ancien lui en nous, comme si peut être il allait réapparaître un jour.
Willy...
Ce fut tellement égoïste de notre part, alors qu'on l'avait détester, qu'on avait traiter sa folie comme quelque chose de « mal » , on l'a regretta.
On osait la regretter a vrai dire, c'était tellement déplacer de notre part, mais plus fort que nous.
Sa vie était veine, mais jamais ils n'aurait eu l'idée d'y mettre fin. Il n'avait pas assez de conscience pour sa, ses pensée même les plus enfuis se résumer à « se lever » « bonjour »... et bien d'autre choses trop banale et sans vie.
Sa nous faisaient tous drôle, à nous tous.
Mais on n'en parler pas trop, on savait pas trop quoi faire, que dire, même les potins et commérage n'avait plus leurs place.

On se poser de nombreuses question bien que jamais à voix haute : « est ce qu'il est mieux comme sa ou comme avant ? »
On ne pouvait alors pas savoir quand est ce qu'il souffrait le plus, il ne pouvait ni nous le dire, ni nous le montrer.

X - On aurait due le laisser comme il était, aussi fou soit t'il
J'ai toujours aucune idée de pourquoi on a voulue le changer, il ne nous faisait pas de mal.
C'était peut être juste le fait de voir une personne folle totalement libre, sa nous sembler dérangeant, étrange...
maintenant je sais que si je me regardais a travers ses yeux c'est nous tous qui aurait l'air de fous.

Y - on la tuer, détruit et toutes la ville par la même occasion, on a causer notre propre perte, et maintenant on se sent tellement coupable que sa nous tue.

A - vous savez quoi ? C'est le fait de me sentir coupable qui me fait le plus me détester et me sentir coupable, c'est de ressentir ce sentiment de culpabilité. Pourquoi je regrette ?
Je voudrais n'avoir aucune âme et conscience pour ne rien ressentir.

Z - N'avoir aucune âme et conscience.. ne rien ressentir.. comme lui enfaite ?

A - ... Non.

On a voulue guérir quelque chose qui n'était pas nocifs, et qui n'étais même pas potentiellement guérissable, a trop vouloir forcer les choses, à toujours avoir peur de se qui nous ressemble pas,
on a créé un monstre.









W -
J'ai souvent le sentiment d'être mon propre étranger, de me voir à travers un film.
Ce que je voit c'est un monstre.
sans formes, sans compassion, sans cœur ni rien d'humain.
Enfermé dans un corps.
Le monstre essai de s'échapper en vain,
alors il observe sa propre vie, et revoilà l'étranger.

William, le fou Où les histoires vivent. Découvrez maintenant