Chapitre 1

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Aujourd'hui, j'ai eu mes 18 ans mais je ne veux pas le fêter comme chaque année. Je reste dans mon coin d'ombre à l'école ou chez moi.

Mais...

-mon cœur descend s'il te plait.

- j'arrive.

Tout ce qu'il me vient en tête c'est qu'ils vont m'offrir encore un cadeau pourri. Arriver en bas, je vois ma mère qu'y a un air triste. Ce que je trouve bizarre quelle fasse une tête pareille le jour de mon anniversaire.

-qu'y a-t-il ? Est-ce que ça va, mère ?

- oui enfin non. Moi et ton père, on doit te dire que...

Il y a eu un silence pesant. Père le décida de le rompre.

- ma chérie, on doit te dire quelque chose d'important. Je regardais mère incrédule.

- Qu'y a-t-il, mère ? Me dire quoi ? Qu'y a-t-il d'important ?

Mon père m'interrompt avant que je leur fasse une liste de questions.

- Julia neige Kokoro, tu as été adopté

Père utilisa mon nom entier c'est qu'il était sérieux.

- Attend quoi ? Maman ! ce n'est pas vrai, hein ?

- Si ma chérie, on ta trouvé.

Ma mère s'arrêta en plein milieu de ses pleurs. Alors père continua la phrase qu'elle a laissé en plan.

-on ta trouvé abandonner dans le bois interdit.

- mais qu'est-ce que je faisais là-bas et vous alors ?

Je ne comprends plus rien. Je ne savais pas si je devais en rire ou en pleurer.

-on ta entend pleurer, alors on est venu. A répondu père.

Voilà je sens les larmes en coin de l'œil. C'est pire que l'enfer. Maman voyant que s'allait dégénérer et essaya de change de discussion.

- Oh ! j'oubliais, on a deux cadeaux pour toi chérie, peut-on le lui donner ?

- Oui, bien sûr.

Papa chercha dans une boite en carton dans l'armoire du bas au salon. Il revenait la boite dans les bras et déposa sur la table de-là cuisine.

- Ceci a été laissé par ta vrai mère je suppose, un peu plus loin où on ta trouvé

- Qu'Est-ce que c'est ?

- Le petit livre, répondis père, est un carnet pour y inscrire tes notes je suppose avec le collier qui va avec qui fait office de clé. Il y aura surement certaine chose que celle qui ta donnée naissance a déjà écrit certaines choses, à toi de le découvrir. On ne la pas encore ouvert. Et ce gros livre est....

Il me montra du doigt le titre sur le bouquin mais je ne voyais rien avec toute cette poussière.

- C'est le livre des légendes. Dis père.

- Le livre des légendes, surtout prends en soin. Car il peut t'aider. Répondit mère.

- Et m'aider à quoi ?

Mes parents prirent un air plus sombre. Père déposa sa main sur mon épaule.

- A toi de le découvrir.

A ce moment-là, le téléphone sonna. Mère partit répondre et mon père me demanda de sortir, j'obéi, pris mon téléphone et mes écouteurs.

Quelques minutes de marches, je me retrouvais devant le bois interdit. Je vis alors le collier du carnet s'illuminé. J'essaie de comprendre pourquoi mais un mal de tête me submergea et m'empêcha de bien réfléchir à tout ça.

C'était comme si le bois m'inviter, m'obliger à y aller. Au moment où je fis un pas, j'entendis un bruit de boisson non loin. Quand soudain surgit un loup. Mais qu'est-ce que faisait un loup par ici ? J'étais figée, mes jambes ne m'obéissant plus. Il y a eu un gros coup de vent près de moi. Je regarder à ma droite un jeune homme dont j'estimé avoir 18 ans ou peut être même 19, il était blond, assez mince et costaud. Il me regarda un instant, il avait des yeux bleu gris. A ma gauche, un homme dont j'ai estimée qu'il devait avoir la vingtaine, il était un peu bronzé et beaucoup plus grand et musclé par rapport à l'autre. Il avait de cheveux d'un noir magnifique et des yeux violets éclairci. Ils avaient tous les deux une allure de félin. Le blondinet dit d'une voix assez douce ais forte.

- Dégage sale bête sauvage.

En réponse le loup grogna et ne vis rien arriver. Il avait sauté mais le mec bronzé l'arrêta et eu une bagarre assez féroce entre eux. Je commençais a paniquée, c'était quoi ce bordel ?

Je couru jusque chez moi et alla dans ma chambre, tout en essayant d'oublier ce qui s'est passé un peu plus tôt.

Le lendemain, je déjeunais, me maquiller, me préparer pour l'école quand ma mère m'arrête devant la porte quand j'allais sortir.

- Chérie, tient de l'argent de poche et en rentrant on devra parler avec ton père.

- D'accord. Répondis-je.

Je me dépêchai où sinon j'allais être en retard pour les cours. Entrant dans la cours de l'école sa sonna. Tout juste.

- Et Julia !! Ça fait longtemps !

Je me retourne et vit carole.

- Oh salut.

- Dis donc, ça n'a pas l'air d'aller. Faut sourire fifille.

Cette fille, c'est carole ma meilleure amie. Elle est assez petite et brune avec ses yeux noisette sans ses taches de rousseur. On se ressemble, enfin si on peut le dire et d'une certaine manière. Je suis grande et blonde et des yeux que personnes ne sait définir. Elle est joyeuse et moi ben...un peu dépressive.

Enfin bref, le prof prend les présences et encore une fois on oublie de me citer. Je lève donc la main.

- Oui qu'y a-t-il ?

- Monsieur, vous avez oublié de me citer.

- A bon ?

Le prof vérifia et...

- Effectivement, pardonnez-moi mademoiselle Julia.

Il y a eu un rire général excepté ma meilleure amie qui faisait le moral à tout le monde et un mec, maxime. Il est assez sérieux et silencieux. C'est même très rare de l'entendre. Il fait plus d'un mètre quatre-vingts, blond, sa peau pale et ses yeux vert.

Les cours se fait très long, heureusement que carole était là. Bien sûr je lui ai dit que j'étais adoptée et ma dis que si je ne l'avais pas été on se serait surement jamais rencontré.

A la fin des cours, je passais devant le bois interdit. Quand soudain mon mal de tête revint et le même loup de la dernière fois surgit, tout comme les deux autres garçons. Sauf que là c'était diffèrent le loup montrait les crocs et les deux gars avaient de longues canines.

Pas loin de là, il y avait Maxime, qui se dépêcha de me rejoindre d'un coup de vent. Et dis aux deux autres.

- On dirait que j'arrive juste attend.

- Ta gueule Max. répondis le bronzé.

- Je prends ça comme de l'amour pour moi.

- Tu ne devrais pas le chercher. Répondis le blond.

- Ok, ok, je rigolais vous savez. Pff vous n'êtes pas drôle.

Moi restant bouche bée devant la discussion sans rien comprendre. Je reçu un appel et même si ce n'était pas le bon moment je répondis. Le loup qui assistait à la dispute sans rien faire me regarda cette fois répondre au tel et les trois autres se taisent pour faire de même, je n'étais pas à l'aise. Surtout qu'ils me regardaient comme si j'étais folle de répondre alors que je pourrais tout à fait être en danger et se qui étonna eux et moi-même c'est le ton calme que j'ai pris.

- Oui, allo ?

- ......

l'enfant du démonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant