Ma prof : prologue

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Je n'aurais jamais cru ça possible.
Peut-être que toi, cher lecteur, tu me croiras pas. Personne ne me croit. On dit que je délire. On dit que ce n'est pas possible.

C'est une histoire vrai,
pourtant.

Mais je vais tenter quand même. J'ai que ça à faire après tout. Il faut que je raconte mon récit.
Il le faut.

C'est pas permis de garder ça pour moi. Et puis, j'arrive pas à l'oublier. 

Alors autant la ressusciter maintenant, tant que j ai encore son odeur en tête, l'image de sa bouche , de ses lèvres. Tant que je goûte encore le plaisir de lui palper les fesses. Des fesses rebondis tels des ballons de caoutchouc.  Et des seins laiteux, parsemées de tâches de rousseur, le goût fraise de sa langue... oh ! Calme toi.
Je n'y arrive pas.

Ses lourds melons dans mes mains. La salle de classe fermé, moi et ma prof en sueur. Et je vous rassure, nous ne faisions pas de sport. Pas au sens courant du terme en tout cas.

Elle me disait toujours: « oh Kevin, je ne savais pas que tu étais capable de tant de fougue. Même mon mari ne me baise pas comme ça... a seize ans, bonté divine .»
Je lui mettais un doigt sur la bouche. Silence , ma chérie, ma prof.
Nous réalisons une œuvre d'art.
J'accomplis mon destin. Et toi tu accomplis ton fantasme.

L'amour donne de l'audace même pour un gamin de seize ans. Et pendant que je pressais doucement mon doigts sur sa bouche aux lèvres pulpeuses et pourpres, je m'actionnais comme un diable.
Je la pénétrais.
Profondément.Goulûment. Avec un appétit jamais rassasié.

Puis je lui disais: « C'est normal, ma chérie. Ton mari n'est rien. Ton mari ne t'aimes pas autant que je t'aimes.
Ton mari ne te désire pas autant que je te désire. »

Je me libérais en elle, libérais toute ma colère, ma tristesse, mes pulsions.
Et nous finissions, fatigués de sexe. L'un sur l'autre. L'un dans l'autre. Plein d'une jouissance paradisiaque d'un autre monde.

Un monde où le mal n'existais pas, ou je ne me faisais  pas harceler par plus forts et plus beaux que moi. Un monde qui m'accueillait et ne me jugeait pas.

Les cuisses de ma prof ne me jugeait pas, eux. Son entrejambe m'accueillait sans répulsion, sans émettre un avis quelconque. Il m'accueillait avec une joie et une voracité exquise. Et je le remerciais en retour. Je donnais tout ce que j'avais pour le satisfaire.
Cette entrejambe le méritait.

J'avais aussi l'impression que la petite fleur délicate de ma prof, le petit trou mielleux et parfumé, duquel l'humidité inondait une mince forêt, était la même faille par lequel s'engouffrait Alice pour le pays des merveilles.

Après le rêve. Malheureusement la réalité me rattrapait.
J'étais toujours moche, faible et étudiant.
Mais j'avais tiré mon coup avec une sirène.
Je me sentais comme Poséidon. Un mythe parmi les homme.
Superman devait m'envier, quelque part. Pour lui, c'est facile de tirer un coup, avec sa parfaite tête de demi-dieu.
Moi j'ai dû batailler. J'ai perdu plus que je n'ai gagné. Mais cette victoire, cette victoire vaut assurément toute les défaites.

Parce que personne, je dis bien personne, n'aurais mis une pièce sur ma gueule.

J'étais un cheval perdant. Un cheval disqualifié dans la course.

Ma prof, tu m'as redonné la dignité que ma laideur m'a confisqué. Et rien que pour ça, elle mérite cette histoire.
Elle méritera chaque mot. Ma reine. Tu mérites des royaumes. Mais je ne suis pas roi et je n'ai que ça à t'offrir.

Quand nous avions fini de faire l'amour , je remontais  mon caleçon, remettais mon pantalon, fermais ma ceinture.
Elle remettais son soutient gorge, se redressait, enfilait sa culotte à l'endroit où j'avais fait ma percé violente et tendre à la fois.

Ensuite, On ne se disait plus rien. Elle sortait par une porte de secours. Je sortais par la porte principale du lycée.

Le lendemain, je passais ma journée à la regarder amoureusement. Mais elle faisait semblant de ne pas me remarquer.

Était ce une stratégie, ma chérie, ma prof ? Qui aurait pu se douter que le boutonneux de la classe se tape une bombe pareille ? Personne. Pas même moi.

Je suis tout excité à son évocation. Sa chatte humide m'a laissé groggy, accro. Il suffit que j'y repense une fois et c'est terminé pour moi.
Je replonge dans mes rêves, dans mes fantasmes.

Respires. Respires profondément, Kevin.

Tu est en train de devenir fou.
Respires. Inspires.  Ne pense pas elle.
Mais comment le pourrais je ? Est ce même concevable ?

On ne revient pas en arrière après avoir goûté un bout de paradis. Un jour d'éternité.

Quand je l'enlaçais, et qu'elle me regardait avec ses yeux de biche, presque suppliante, presque soumise totalement à ma volonté, moi qu'on appelait le boutonneux, - c'était dans ces moments là que je pardonnais au monde d'être née moche et sans grâce.

Je me surprenais à aimer et à me croire aimer.
Oh ! Ma prof, mon ciel, mon délire.
Oh ! Ma sainte, mon démon mon élixir.

Tu descendais tout droit d'une fée et ton âme était si pur pour pour m'accepter tel que je suis. Un étudiant, un misérable, un presque que rien.

Et dans tes moments d'abandon, lorsque je déboutonnais ta chemise blanche de fille sage, j'aimais à penser que tu serais à moi pour l'éternité.

Parce qu' il y a quelque chose que j'ai oublié de te dire: tu es la première femme. Ma première femme.

Mon premier baiser. Et mes premiers va et vient entre tes reins.
Ta chaleur cupide, n'éteignais en rien ton innocence.
Tu es un ange à ma prof. Mon ange à moi.
Un ange imparfait, qui aime la baise et la littérature.

Tu m'appartenais.
Je t'appartenais, complètement, irrémédiablement.
Tu le savais et tu me souriais.
Et je te souriais à mon tour, mais j'ignorais encore beaucoup de chose.

Ce n'est que maintenant. A cet instant, à cette dernière phrase, que je sais que tu m'as offert un don, une reconnaissance, une bénédiction, - tu m'as donné le don inestimable de l'amour et du Sexe.

Alors commençons.

Merde ! par où commencer maintenant ? Ah oui, je sais.

Débutons par la rentrée de l'année passé ou toute cette histoire passionnelle et saugrenue, est née.

Je m'appelle Kevin, j'ai des boutons, je suis moche. Mais voici le bout d'un diamant.
Ou plutôt de mon diamant.

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Bonjour les amis, si vous avez aimé, n'hésiter surtout pas à like pour donner de la force.
Ne vous inquiétez pas la suite arrive très bientôt.
PS: j'ai écris sur mon iPhone donc il se peut qu'il y ait des fautes. Sorry 🙃

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⏰ Dernière mise à jour : May 22, 2020 ⏰

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