chapitre 12 : le cour de sport

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pdv cheryl :

le moment fatidique était arrivé, le vestiaire. Ils y avait deux tournure différente qui pouvait arrivé :
la première, que personne ne prête attention à moi et me laisse dans mon coins
la deuxième, que tout le monde prête attention à moi et mon corps
Sans vous le cachez, on sais tous que je préférais la première, alors quand je rentra, je me mis dans un angle du vestiaire, allez savoir pourquoi, je me sentais un peu plus cacher, et Toni était à quelque mètres plus loin.
Si j'étais assez rapide, j'arriverais à me changer sans trop me faire remarquer...

c'était sans compter sur le groupe de petite fouineuses de ma classe, qui, dès que je retira mon t-shirt, de misent à chuchoter autour de moi

pdv toni :

J'observais cheryl dû coins de l'œil quand je me rendit compte que tout le monde chuchotais autour d'elle.
elle du s'en rendre compte car elle se retourna vers toute les filles qui l'observais, un groupe de fille s'avança et cheryl se cacha le haut du corps derrière son t-shirt qui était dans ses mains

*j'ai inventé ce petit groupe de fille alors faite pas gaffe au prénoms c'est au pif*

eléonore : alors cheryl, tu veux pas nous montrer la raison pour laquelle tu ne venais plus dans les vestiaires avec nous ?
madison : ça doit être compliqué de vivre avec ça tout les jours tu trouve pas ?

leur voix mielleuse était insupportable, elles provoquaient carrément cheryl

D'un coup, une troisième fille retira le t-shirt des mains de cheryl, qui n'avait plus rien pour se cacher

lindsay : oups !

cheryl voulu reprendre son t-shirt mais cette lindsay le lui empêcha, je décida d'intervenir au moment où cheryl commençait à avoir les larmes aux yeux .

Je me mis devant elle en essayant de la cacher le plus possible avec mes bras

toni : vous êtes vraiment des malade, rendez lui son t-shirt !

eléonore : vous entendez les filles ? Je crois que la pouilleuse est en train de nous parler

madison : ça craint !

toni : tu m'a appeler comment ?

eléonore : tu as très bien entendu la pouilleuse

ça en était trop pour moi, mon poing parti s'écraser sur sa joue et je profita de la surprise des filles pour re prendre le t-shirt de cheryl et le lui tendre

toni : je suis peut être pas née avec une cuillère en or dans la bouche mais au moins je sais me battre moi, si vous avez du culot, frappez moi, mais entre nous, vous me faire un peu pitié avec vos airs de petasse

madison essaya de me tirer les cheveux, mais je retourna son coude dans son dos pendant qu'elle poussa un cri de surprise

toni : sérieusement ? me tirer les cheveux ? vous êtes trop mignonnes

je remis un coup dans le ventre de madison

cheryl : toni arrête ...

elle pleurais vraiment désormais

toni : nan cheryl je vais pas m'arrêter tu sais pourquoi ? parce qu'elle sont horrible ! Elle se prennent pour je sais pas qui et font chier tout le monde juste parce que leur vies sont affreusement ennuyante. Alors vous savez quoi les petasses, pour vous inventez une vie un peu, vous irez dirent à tout le lycée que la « pouilleuse » comme vous dites, vous a sauvagement attaqué, mais bon, si j'étais vous, je dirai rien parce que vous vous êtes vachement ridiculiser là

leave me alone Où les histoires vivent. Découvrez maintenant