Un nouveau départ

Chapitre 1

Salut tous le monde, je vous présente une fan fiction, encore une fois l'imaginaire n'ai pas de moi si vous désirer voir la version Anglaise aller voir le profile de Tina4evaxxx sur FanFiction.net. Je vais sûrement crée mes propre fan fiction par la suite mais je vais d'abord faire un essaie comme cela.  En tout cas j'attend beaucoup de vos retour et dite moi si cela vous plaît pour savoir si je continue.

ps: ne faite pas attention au faute d'orthographe j'ai fait de mon mieux :)

Elle était assise dans son bureau, ce fut dans son bureau, de tous les endroits où elle aurait pu découvrir la nouvelle ce fut dans son putain de bureau, sur son lieu de travail avec son équipe. Sa position dégageait son mal-être, assise sur sa chaise, dos à la porte, elle était recroquevillée en boule, la tête sur ses genoux et ses mains était placé derrière sa tête tel une sorte de coquons pour se protégé son petit corp maigrichon du monde extérieur. Des larmes incontrôlables coulaient le long de son visage, et avec un geste de désinvolture et de colère elle les repoussait. Ces larmes que l'on pouvait voir sur son visage n'était pas habituelle, cela faisait très longtemps qu'elle n'avait pas pleurer, pour elle ce fut un signe de faiblesse mais comment pouvait-on ne pas être faible à cet instant ? Dans son habitude elle enfermait ses moments de chagrins dans une bouteille de verre qu'elle jetait à la mer, mais là sa bouteille ne fut pas assez grande pour contenir toute la tristesse, la colère et la peur qu'elle avait en elle. Le paradoxe fut que la dernière fois qu'elle pleura fut lors de l'anniversaire du décès de mère il y a 8 mois.

Sa fierté fut le fait qu'elle soit forte et dure, elle eut tellement de chose à faire face dans sa vie, toutes ces choses que la vie lui avait jeté en pleine face, toutes ces choses effroyables qui lui sont arrivée sur ses épaules alors qu'elle n'était qu'une jeune fille voire une même enfant. Toutes ces choses qu'il lui sont arrivé, l'ont battis, construite, élevé et là la grande Teresa Lisbon s'effondrer face a ce petit instrument qui peut faire pleurer tant de personne et qui peut être source de joie comme de malheur. Ces deux petits bâtons la firent pleurer alors que le torrent de merde qui lui était arrivé quand elle fut plus jeune ne fut pas aussi violent que cela.

Toute ces choses qu'elle dû traversé dans vie, elle les a vaincus et supportés d'une manière ou d'une autre sans même tressaillir ou être horrifier. Même lorsque sa vie fut en danger dans son travail elle n'était pas autant terrifiée qu'à cet instant précis. Pris de panique elle se rendis compte que sa respiration fut saccadée et eut l'impression d'être prise dans un piège qui n'en fut pas contournable. Son seul moyen de sortir de son piège fut qu'elle devait relever sa tête et avancer, être encore plus forte qu'elle ne l'avait jamais était. Mais ce fut plus facile a dire qu'à faire comme si on vous demander de vous relever alors que vous venait d'être frappé par la foudre ou percuté par un convoi exceptionnel.

Pour elle cette chose fut une simple erreur, certes tout le monde fait des erreurs mais normalement elles sont réparables mais là ce ne fut pas le cas, enfin si, il y avait une solution mais elle ne l'envisageait pas. Toutes ses femmes qui font se choix ont un énorme courage mais encore on ne peut pas se mettre à la place de toute ses femmes sans être passer par là. Si elle faisait se choix elle s'en voudrait toute sa vie bien que cela ne soit pas une mauvaise chose mais pour Teresa Lisbon se fut bien plus compliqué. Mais le fait est qu'elle se détester de voir sa comme une erreur mais à cet instant précis elle ne voyait pas d'autre mot pour décrire ce qui se passait à part le mot erreur.

« Hey Lisbon », merde voilà Jane, il était encore une fois rentré dans son bureau sans frapper, à d'autre moment cela ne la déranger pas même quand cela lui déranger, cela ne l'a jamais autant dérangé que ce jour-ci. Pourquoi fallait-il qu'il fasse toujours cela ? Elle se dépêcha de cachait l'objet maudit qu'elle avait dans ses mains mais ne trouvant pas de cachette discrète elle décida donc dans un acte désespéré de s'assoir dessus. Certes ce ne fut pas la meilleure cachette mais elle n'avait rien trouvé de mieux. Elle essuya rapidement ses larmes qu'elle avait un peu oublié et tourna sa chaise pour faire face à Jane.

« Que veux-tu Jane ? » dit-elle en soupirant en regardant ses yeux bleu azur qui exprimaient une certaine confusion et douleur de voir sa Lisbon dans cet état. Elle détestait voir Jane avec se regard car elle en était la cause et elle ne voulait pas qu'il connaisse ses émotions. En le regardant droit dans les yeux, elle lui supplia un « je suis désolée ». Elle détourna alors ses yeux car elle ne voulait pas que ses larmes reviennent aussi vite qu'elles ont disparues.

« Qu'est ce qui ne va pas ? » s'inquiéta-t-il, il l'eu dit avec tellement de douceur que sa lui brisa le cœur.

« Pourquoi tu ne peux pas commencé par dire quelque chose du type tu vas bien quelque chose comme ça comme toute personnes normales ? Pourquoi faut-il forcément que quelque chose n'aille pas ? » quand elle dit cela sa voix était beaucoup plus forte que d'habitude mais elle se trahissait par la pression que l'on pouvait percevoir dans sa voix. Jane pensa immédiatement à quelque chose de mauvais, quelque chose de grave venait de se passer, Teresa n'était pas du tout du genre à se comporter de cette façon et surtout à pleurer.

« d'accord, est-ce que tu vas bien ? » dit-il en s'approchant doucement d'elle, tout en l'observant attentivement.

« NON ! » hurla-t-elle intérieurement, mais ne pouvant pas dire cela elle se contenta d'ironiser « Quoi ? pas de remarque habituelle Jane ? »

Jane s'inquiétant de plus en plus lui souffla « Réponds juste à la question Teresa », le fait qu'il emploie son nom la fit frissonner mais ne pouvant pas admettre ce qui se passer elle lui répondit simplement en reniflant « je vais bien Jane » et s'efforça de faire un faux sourire pour le convaincre même si cela était vain.

« Tu mens », déclara-t-il en se mettant face à elle « Maintenant, dis-moi ce qui ne vas pas ? je pensais qu'on pouvait parler sincèrement ensemble ? » Il se baissa pour regarder dans ses yeux afin de l'aider à dire ce qui n'allait pas, ses yeux était si vert que cela en devenait envoûtant, « Pourquoi as-tu pleuré ? »

Elle détourna son regard en tournant un peu sa chaise pour la mettre face à son bureau, mais il s'accroupit et pivota la chaise pour qu'elle soit de nouveau face à lui. Mais Teresa ne voulait toujours pas le regarder donc il mit sa main sous son menton et il guida sa tête vers lui et vit ses yeux vert émeraude brillant beaucoup plus et quelques larmes coulait le long de son visage. il enleva les quelques larmes qui coulait en caressant tendrement sa joue.

Comment diable allait-elle lui dire ? Vas-y fais le. Maintenant. Cette petite voix dans sa tête l'encouragea et une grande partie d'elle voulait lui dire pour se soulager. Cependant elle ne voulait pas le blesser à nouveau, elle l'avait déjà tellement blessé quand elle avait dit que leur relation ne mènerait à rien et qu'il ne fallait pas que cela se reproduise, non pas qu'elle ne le veut pas mais c'était le règlement. Elle ne voulait vraiment pas le blesser, mais elle n'avait plus le choix elle devait lui dire, elle ne pouvait pas mettre ce problème dans une bouteille et le jeter à la mer. Ce n'étais pas possible elle devait lui dire ! elle qui avait l'habitude de tout contrôlait se voyait démunis de pouvoir et ses larmes de remirent à tomber, cette situation l'effrayait tellement mais elle n'avait pas le choix elle devait lui dire.

« Jane...Patrick, » elle le regarda dans le fond de ses yeux, elle avait l'impression de se noyer dans son bleu océanique mais les larmes qu'elle avait dans les yeux ne l'aider pas. Sa petite voix dans sa tête l'encouragea -Allez Teresa, c'est maintenant que tu dois lui dire, allez dit lui- « Je suis enceinte », sanglota-t-elle, le fait de lui dire fit partir un gros poids mais en regardant Jane elle comprit l'incompréhension dans son regard et lui dit alors les yeux qui ne retenait plus une seule larme « il est de toi ».