Le prix du sang

Chap. 7 : Confrontation

- Désolé Drago mais je pense que tu peu comprendre que nous avons besoin de prendre certaines précautions pour notre sécurité. Dit Ginny.

- Votre Sécurité ? N'est ce pas moi qui devrais dire ça ? Je suis je ne sais où, désarmé, avec un membre de l'ordre. De nous deux celui qui n'est pas en sécurité c'est moi !

- Calme toi s'il te plaît. Je t'assure que l'on te fera absolument rien.

- Quel garantie j'ai hein !? Finalement t'es bien comme tout les autres on ne peut pas te faire confiance! Hurlait je en m'approchant d'elle avant d'être repoussé et de tombé à terre.

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Cela faisait un semaine que Ginny n'était pas revenu me voir aussi je commençait a me dire que l'ordre avait décidé de ne pas m'aider. Finalement je m'en doutais et bizarrement je ne leurs en voulais pas. Après tout si j'avais été à leur place je ne les aurais pas aider non plus du moin j'essaie de m'en convaincre. Je rentra dans le pub et m'installa au comptoir en attendant Jim.

- Salut Gamin.

- Salut Jim

- Des nouvelles ?

-Je n'ai pas eu de nouvelles instructions depuis hier.

- Et de notre amie commune ?

- Non je n'ai rien reçu. Je crois bien qu'elle ne reviendra pas.

Mais je fut surpris quand Jim m'apprit qu'elle était revenu pendant mon absence et avait laissé un message. Il devait me le remettre que si je n'avais pas de nouvelles missions de la part du Seigneur. Il pris alors un parchemin qu'il me tendit, je le lu et il me demanda.

- Alors cela dit quoi ?

- Elle me demande de la retrouver à l'angle de Whitehall Road et de Walford Road a 2h du matin dans la nuit de demain à jeudi.

- Bien au moins ce n'est pas une mauvaise nouvelle.

- Ce n'en est pas une bonne non plus. Peut-être qu'ils on réussit à la convaincre de me capturé finalement.

- Tu crois vraiment qu'elle ferait ça ?

Je regarde Jim tout en réfléchissant pendant une bonne minute avant de lui répondre.

- Honnêtement je n'en sais rien. Je ne l'as connais pas vraiment. Mais...
Malgré tout je ne pense pas que cela soit son genre. Tu es bien sûr que c'était elle?

- Ouais elle m'as demandé si tu étais revenue de ta dernière mission et à part elle personne était au courant. Du moins pas de ma part. Tu pense que c'était quelqu'un d'autre qui aurait pris sa forme ?

- C'est une possibilité. Arg je ne sais pas quoi faire. Si c'est un piège je condamne mère mais si cela n'en est pas un et que je n'y vais pas je gâche ma seule chance de l'aider. dit je en m'empoignant les cheveux et baissant la tête vers le comptoir

-Drago, pour le peu que je l'ai vu et des conversations que tu m'as dit je ne pense pas que cela soit un piège.
Me rassura Jim en posant sa main droite sur mon épaule gauche.
- Comme tu l'as dit tout à l'heure si cela n'était négatif elle ne serait sans doute pas revenue.

Je resta pour boire un coup, plusieurs en vérité. Mais au bout d'un moment Jim m'obligea à aller me coucher. Il est le seul à savoir me raisonné et me rassurer c'est dernier temps mais je ne pouvait qu'appréhender cette rencontre. Aussi je ne ferma que très peu l'œil de la nuit.

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Finalement après encore plusieurs discussions et prise de tête, je me retrouve au point de rendez vous donné par Miss Weasley. Je ne peut pas dire que je n'appréhende pas. Après tout la vie de ma mère, ainsi que la mienne soit dis en passant, ce joue sur cette rencontre. Le temps passe il est maintenant 2h30 et toujours pas âme qui vive en vu. Je déteste les gens en retard. Tout à ma colère je ne sentie pas la présence derrière moi. Ce ne fut que quand un bras me ligota et une baguette sous mon nez que je compris mon erreur.

- Laisse toi faire Malefoy. Me dit une voix féminine.

Deux secondes plus tard je sentis que l'on transplanai.

L'arriver fut brutal pour moi. J'essaie de reprendre ma respiration avec difficulté mes mains sur les genoux. Je suis seul dans une pièce complètement noir dont je ne vois absolument rien. Je prend ma baguette pour m'éclairer mais je n'ai même pas le temps de la lever qu'elle s'envole de mes mains par un expelliarmus.

- Désolé Drago mais je pense que tu peux comprendre que nous avons besoin de prendre certaines précautions pour notre sécurité. Dit Ginny tout en créant un lumos de sa baguette afin que je puisse la voir.

- Sécurité ? N'est ce pas moi qui devrait dire ça ? Je suis je ne sais où, désarmé, avec un membre de l'ordre. De nous deux celui qui n'est pas en sécurité c'est moi !

- Calme toi s'il te plaît. Je t'assure que l'on te fera absolument rien.

- Quel garantie j'ai hein !? Finalement t'es bien comme tout les autres on ne peut pas te faire confiance! Hurlait je en m'approchant d'elle avant d'être repoussé et de tombé à terre.

- Touche à un cheveux de ma sœur et tu aura raison la fouine.

- Tiens tiens Weasmoche. On a peur pour sa petite sœur ? Répliquai je en me redressant et leurs jetant des regards noir à tout deux maintenant visible dans le halo de lumière de la baguette.

- Tu nous crois quand même pas assez stupide tout te laissé seul avec elle ?!

- Si j'avais voulu lui faire quoi que ce soit je l'aurais fait bien avant ! Je te rappelle que la première fois que l'on c'est vu elle était seule avec moi dans ma chambre ! Et elle est venue de son plein gré !

Je vis le garçon essayer de se lancer sur moi mais sa sœur le retient de justesse tout en me faisant un regard de reproche.

- Cela suffit Ron. Ne vois tu pas qu'il essaye de te faire enragé. Dit une voix sur ma gauche.

Une autre baguette s'alluma et je vis Potter apparaître. Il rejoint les deux autre pour retenir de sa main droite son amis qui voulait toujours me foutre un coup au vu de la rage que je lisait dans ces yeux.

- Saint Potter et Weasmoche. Je suis étonné que votre copine la sang de bourbe ne soit pas avec vous.

-Ne t'inquiète pas elle n'est pas loin. Répliqua une voix dans mon dos.

Je mis quelques secondes à faire le lien entre sa voix et celle qui m'a chuchoté à l'oreille plutôt mais je compris que c'était elle qui nous avait amené ici. Ainsi elle était derrière moi tout se temps. Je la senti ce déplacer de derrière vers ma droite puis rejoindre le groupe à la gauche de Potter. Je me trouvais donc devant les trois personnes que je déteste le plus. Et j'allais sûrement mourir de leurs mains.