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Ils se saluaient brièvement avant de continuer tout deux leur chemin. En sortant, Mark demandait à l'une des domestique de lui changer toutes ses couvertures car se soir. Maria rentrait de l'hôpital.

-- toute de suite monsieur.

-- oh monsieur...

-- oui...

-- Loïse voulait lui offrir un petit présent.

-- qu'es ce s'est ?

-- du yaourt.

-- très bien... Apportez les moi.

Il patientait dans la cour jusqu'à ce que la domestique lui apporte le paquet. Mark se précipitait ensuite au garage faire sortir une autre voiture.

Une fois arrivé à l'hôpital, il s'assurait qu'il n'y avait aucun paparazzi camoufler dans le décor du monde avant de sortir de sa voiture. Il se hâtait de se trouver à l'intérieur pour être plus en sécurité. L'une des réceptionniste avait déjà apprêter son badge de visite. Il signait rapidement la fiche d'entrée puis s'en allait à pas pressé.

Lorsqu'il vit les policiers devant la porte de sa bien aimé, il eut le coeur légèrement rassurer, puis d'un pas rapide, il s'approchait de la porte sans leur accorder une salutation. Il entrait puis renfermait la porte avec précaution pour ne surtout pas la déranger.

-- coucou...ma chérie. Formula t-il lourdement.

Maria eut un saut de joie intérieurement car c'était pour elle, la toute première fois qu'il l'appelait ainsi. Elle feint de dormir alors il déposait le sachet qu'il tenait sur la table puis s'asseyait au bord du lit.

-- tu dors ?... C'est bien dommage ton yaourt va déglacé à ton réveil.

Elle lâcha un sourire qui trahissait sa comédie.

-- je t'ai eut...

-- comment es ce que tu te sent ce matin?

-- humm je veux rentrer. Répond t-elle

-- ne t'en fait pas. Ce soir , tu rentrera en plus tu seras avec ton papa.

-- c'est vrai?

-- oui on à aménager là-bas.

-- avec Alvi et Nathan?

-- malheureusement avec Nathan aussi

-- pourquoi es ce que tu... Enfin je ne comprends toujours pas pourquoi es ce que...

-- ne t'en mêle pas s'il te plaît. Fit t-il en deballant une boîte de yaourt.

Evexé de savoir qu'il l'a considérait encore comme une étrangère, Maria gardait le silence avant de reprendre qu'elle était désolé

-- je comprends c'est une histoire de famille.

-- Maria... Mais non.

-- ne t'en fais pas j'ai compris le message.

-- je ne veux juste pas te causer du tort avec cette histoire et je te promet que ce n'est pas ce que tu crois. C'est juste une histoire que j'ai envie de régler à ma façon.

-- hum... Je vois.

-- aller ouvre la bouche.

Elle obéit sans rechigner. Même si elle était frustré, elle préférait ne rien ajouter pour ne pas l'énerver. Il faisait suffisamment d'effort pour être bon alors il ne fallait pas tout gâcher avec un esprit de curiosité.
Alors qu'il lui donnait à boire, la porte de la chambre s'ouvrait brusquement. Mark serrait la mine furieux que son garde soit rentrer sans frapper.

MA MALÉDICTION ( Tome II)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant