The Ferryman

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J'étais assis, là, devant un thé fumant à regardé les gens passé dehors. On m'avais souvent parler de ce café, il se faisait appelé "le passeur"; j'ai toujours trouvé ce nom étrange et même parfois bête mais, à chaque fois que l'on me parlait de ce fameux café, je devenais de plus en plus curieux et je voulais toujours en savoir plus à propos de ses habitués, de son cadre même de la décoration présente en ses lieux. C'était devenu une obsession; j'ai bien vu que je les ennuyait tous avec se café, alors un jour, j'ai décidé de m'y rendre pour voir, juste pour voir...

OooooooooooO

Je marche, il fait froid, mes mains sont gelés, je souffle et un nuage se forme au plus près de mon visage. Autour de moi, le blanc est roi, le trottoir est couvert d'une épaisse couche de poudre blanche, toute les voitures que je rencontre sont à l'arrêt et elles aussi sont couverte de blanc.
Je progresse avec difficulté dans cet univers qui paraît irréelle dans le quel je fais tache comme un élément impure. Bientôt, le soleil se lèvera et fera briller toutes cette neige, elle sera plus belle que jamais mais, elle disparaîtra aussitôt; je trouve ça triste. J'ai l'impression que ça fait des heures que je marche. Je veux rentrer...

OoooooooooooO

J'arrive enfin, comme on me l'avait décrit le café est au bout d'une petite ruelle, il fait sombre, la seul source de lumière provient du lampadaire. La façade est décrépis, les vitres sont si sale que je ne parvient pas à voir au travers et l'enseigne semble avoir été peinte et repeinte de plusieurs couleur elles aussi abîmer par le temps.
Je pousse la grande porte du café non sans difficulté, soudain un sentiment de chaleur s'empare de mon être, la fatigue et le froid disparaissent pour laisser un sentiment de sérénités total, je me sens bien.

OoooooooooooO
Ce café me paraissait beaucoup plus petit à l'extérieur, c'es une assez grande salle et la lumière est légèrement tamiser, des fauteuils sont disposer ça et la de manière aléatoire chacun accompagné d'une table dépareillé, aucun meuble ne se ressemblait. j'entend des nuits de pas
- Bonjour monsieur, désirez vous prendre le thé?
C'est le serveur qui s'adresse à moi, il est très grand et me regarde de ses yeux jaunes insondables.
Sa peau, très blanche me rappelle la neige de dehors qui attend de disparaître, ses cheveux sont eux aussi extrêmement claires et portent des refflés doré ici et là.
- N'est il pas un peu tôt pour prendre le thé?
-Là d'où vous venez peut être pas, mais ici, il est toujours l'heure du thé.
Je n'ose pas le contredir

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⏰ Dernière mise à jour : Dec 23, 2014 ⏰

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