Arrivée prés de la baie dans une sombre ambiance, le questionnement en vain de choix de sens, c'est à ce moment que l'on peut distinguer, les courageux qui ne reculent jamais. Intrépide certes mais dépourvut de sens, les chemins que l'on prend sans connaissance.
On y voit qu'un paysage humide, sûrement submergé par l'orage et le vent, à flot de la pluie et du mauvais temps, mais humide par les larmes des jours passés, où les chagrins et les regrets nous ont noyés.
Prés du rivage je voudrais te dire, te montrer, toute la douleur que je ne veux plus porter, toutes les peines que j'aimerais oublier, tous ces souvenirs que je veux effacer, mais l'eau qui arrive et m'effleure les pieds, ne fais qu'une fois de plus me blesser, et ces vagues qui avancent dans la brume, qui me paraissent aussi fragiles qu'une plume, ne font que reculer dans l'horizon.
Alors le courant peut-il bien emporter, une âme avec le seul désir de vibrer.
VOUS LISEZ
Au bord du ruisseau, les émotions coulent et divaguent.
PoezieQuelquefois, les larmes coulent comme des fleuves, et avec elles emportent un peu de nous. Ces larmes arrosent la fleur grandissant dans nos coeurs, mais à force de pleurs, la mienne s'est noyée. Je n'ai alors plus qu'une question à poser, est-il en...