𝐒𝐞́𝐨𝐮𝐥, 𝐻𝑜̂𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙 𝐶𝑒𝑛𝑡𝑟𝑎𝑙
𝑑𝑒 𝑆𝑒́𝑜𝑢𝑙𝐕𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞𝐝𝐢, 26 𝑂𝑐𝑡𝑜𝑏𝑟𝑒
03 : 47 𝐏.𝐌
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Vous connaissez ce sentiment d'épanouissance ? Ce sentiment de totale entièreté ? Avoir l'impression d'avoir déjà accomplie toutes les choses dont vous vous torturiez l'esprit sans relâche ? D'être enfin serein ? Ce sentiment d'accomplissement et de joie ? Non, n'est-ce pas ? Parce que vous me l'aurez dit, personne ne le ressent jamais. On a toujours quelque chose qui nous tracasse l'esprit. Pourtant, j'eus l'impression de l'avoir ressenti quelques secondes avant l'horrible mal de tête qui prenait l'entièreté de mon cerveau.
J'avais un de ces mal de tête infernal et impossible à supporter. Putain ! Ça faisait un mal de chien, et par-dessus tout je sentais ma bouche extrêmement pâteuse. Il m'était difficile, voir totalement impossible d'ouvrir ne serait-ce que l'une de mes pauvres paupières, tellement elles étaient lourdes à souhait.
L'une de mes premières impressions fut que j'étais complètement paralysé du fait que malgré mon envie de bouger, je n'y arrivais pas. Je semblais allongé sur quelque chose de confortable, ce qui devait être un lit d'ailleurs, mais le plus étrange était que je ne pouvais me rappeler de rien avant de m'être endormi.
Étant consciente malgré mes yeux fermés, ma main vaine qui tentait de bouger se faisait recouvrir subitement par un poids plutôt léger. Ce poids léger, qui aux délicats touchés semblait être une main, se déplaçait doucereusement sur l'épiderme froide de ma main, pour venir l'ensevelir de celle-ci avant de la soulever lentement. Celle-ci n'eut le temps de faire qu'un petit trajet, qu'une autre matière plus douce que la première ne s'abatte sur l'épiderme.
Bien que je remarquais que le paysage qui n'en était d'ailleurs pas un autour de moi n'était que noir et obscurité, l'agréable sensation de brûlure qui s'éprenait de ma main au contacts de cet individu me poussait à vouloir ouvrir les yeux même si l'effort pour cela était monstrueux.
Quand la fine trace de lumière aveuglante traversait la petite et légère ouverture de mes paupières, ce ne fut pas une surprise de remarquer qu'à peine mes yeux entrouvert, je les refermais immédiatement. Cette lumière blanche m'avait directement agressée ma rétine fragilisée.
Assez curieuse comme je l'étais pour abandonner d'aussi tôt, mes pupilles s'ouvraient de manière plus naturelles mais avec toujours un peu de réticence face à ce néon blanchâtre. Mes yeux qui semblaient las et fatigués, parcouraient la pièce toute blanche, munie d'une seule pauvre et grande fenêtre coulissante. Les murs eux comme je l'avais dis, n'étant d'aucune originalité, étaient tous blancs avant que je ne remarque, un seul coin rempli de bleu cobalt.
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𝐑𝐞𝐦𝐞𝐦𝐛𝐞𝐫 ━❞ 𝐊.𝐓𝐡
Fiksi Penggemar𝐐𝐮𝐞 𝐬𝐞 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞-𝐭-𝐢𝐥 𝐪𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐥'𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧 𝐬𝐞 𝐫𝐞𝐧𝐝 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐞𝐫𝐟𝐢𝐝𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐪𝐮'𝐢𝐥 𝐜𝐫𝐨𝐢𝐭 𝐚𝐢𝐦𝐞𝐫 ? Qu'est-ce qu'était devenu l'Amour pour lui de toute façon ? Un...