Ciel x Reader (one-shot) Fanfiction Black Butler

Sous la pluie.

Vous vous êtes réveillé sur des draps doux et la douce lumière matinale a pénétré à travers les stores. Vous laissant oublier les aperçus restants d'un rêve, vos yeux étaient toujours fermés alors que vous vous délectiez de la chaleur de vos couvertures avant de laisser vos yeux e / c s'ouvrir.

Dans l'obscurité de votre chambre partagée, vos paupières se sont ouvertes et votre première pensée a été de connaître l'heure.

Ce n'est pas tôt comme je le soupçonnais.

Essayant de faire disparaître la fatigue voilant vos yeux, vous vous êtes retourné pour enrouler vos bras autour de votre partenaire, mais en vous roulant, vous vous êtes senti étendu à plat contre les draps. Après avoir tapoté l'endroit plusieurs fois, vous avez dû lever la tête pour réaliser que votre fiancé était parti.

Vous ne pouviez pas vous empêcher de froncer les sourcils de déception alors que la réalisation vous frappait.

Bien sûr, il est déjà levé. Sebastian l'a probablement réveillé il y a plusieurs heures.

Avec un soupir frustré, vous vous êtes assis et avez balancé vos jambes hors du lit, laissant vos pieds entrer en contact avec le sol frais. Vos épaules se relâchant face à la sensation de fraîcheur. Et après avoir pris une profonde inspiration, vous vous êtes levé et avez traîné votre corps engourdi par la nuit vers votre garde-robe.

Habituellement, May-Linn venait et essayait de vous habiller. Elle réussissait généralement, mais vous préfériez vraiment le faire vous-même. Parce que contrairement à toute autre partenaire d'un comte, vous n'avez pas grandi dans la noblesse. Il y a eu un moment où tu l'as servi comme bonne, parce que ta mère en était une.

Vous vous demandiez toujours comment vous avez fini par devenir sa future épouse, alors même que vous ouvriez les portes de l'armoire et que vous y cherchiez une robe de jour, Le bruit de faibles coups contre la porte vous fit quitter vos rêveries.

*Toc Toc*

"My Lady ? Êtes-vous déjà réveillée ?"

Vos mains se sont figées lorsque vous avez retiré du cintre la robe choisie.

"Euh non."

Vous avez gémi mentalement quand May-Linn a ouvert la porte, et une fois qu'elle a vu ce que vous faisiez, ses yeux se sont écarquillés derrière ses lunettes fissurées et elle s'est précipitée à vos côtés.

"Lady Y / N, vous devriez m'appeler quand vous vous réveillez!"

Vos épaules se sont affaissées alors qu'elle vous a arraché la robe de votre choix et vous a demandé poliment de lever les bras.

Étant la gentille personne que vous étiez, vous vous êtes conformé a sa requête. Et après 20 bonnes minutes de douleur inconfortable, tu étais habillée, aussi belle qu'une Comtesse était censée être.

"Là. Est-ce que ce sera tout, My Lady?

Vous vous êtes arrêté à mi-chemin et lui avez jeté un coup d'œil.

«May-Linn, tu fais quelque chose? Connaissant Ciel, il sera probablement dans son bureau toute la journée. J'aimerais un peu de compagnie. »

Elle eut un sourire poli et hésitant.

«Je suis vraiment désolée, My Lady. Je dois encore accomplir mes tâches, sinon Sebastian sera de nouveau contrarié. »

Souriant pour cacher vos sentiments, vous avez hoché la tête.

"Je comprends. Alors oui, ce sera tout. »

Avec une inclinaison rapide de la tête, elle se précipita hors de la pièce et ton sourire tomba.

...

"Hé, Bard."

Tirant avec un lance-flammes à la main, sa tête se tourna vers l'endroit où vous vous teniez dans la porte, levant un sourcil curieux alors que ses lunettes tombaient sur ses yeux. Il maudit en les repoussant.

"Oh, bonjour My Lady."

"Um, qu'est-ce que tu faisais tout à l'heure?"

Il se gratta la tête et baissa les yeux vers le sol.

"Eh bien, euh ..."

"Oui, je voudrais aussi savoir."

Vous avez sursauté en entendant la voix et vous êtes retourné, réalisant que Sebastian se tenait maintenant à côté de vous avec un regard dur à l'intention de Bard. Qui est devenu blanc à sa vue.

«S-Sebastian! Je ne faisais rien! "

Ses yeux se plissèrent avant de se tourner vers toi et de sourire doucement.

«My Lady, mes excuses, mais Baldroy et moi devons avoir une conversation privée. Si vous voulez bien m'attendre dans la salle de billard, je vous apporterai du thé pour la gêne occasionnée. »

Vous avez senti vos entrailles se tordre.

"Oh. D'accord."