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𝐒𝐞𝐨𝐮𝐥, 𝐾𝑖𝑚'𝑠 𝐻𝑜𝑚𝑒
𝐃𝐢𝐦𝐚𝐧𝐜𝐡𝐞, 𝟐𝟒 𝑁𝑜𝑣𝑒𝑚𝑏𝑟𝑒
𝟏𝟎 : 𝟎𝟒
Ma main attrapant fortement la rambarde, mon cœur soulevait brusquement ma poitrine de terreur. Plus mes pieds arpentaient le bois clair ciré, plus mon cœur prenait de folle panique, si il n'y en avait pas dans ce couloir sur ces murs, sur ces meubles, je.. non !
C'était un rêve ? Ça devait être un rêve n'est-ce-pas ?
Je soupirais.
Oui ce n'était qu'un rêve, je ne devais pas trop m'inquiéter. J'allais me réveiller bientôt.
Descendant une à une les marches d'escaliers, ma main glissait cette fois-ci avec légèreté sur la rambarde avant que je ne me stoppe promptement. Je résidais bloquer au milieu des escaliers en ayant une poussée d'adrénaline qui ne voulait quitter l'ensemble de mes muscles.
Mes pupilles regardaient en bas des escaliers où je voyais une employée passer et disparaître dans la cuisine. Tout semblait normal, comme d'habitude...
En me réveillant une trentaine de minutes plus tôt, j'avais fais ma toilette et directement j'étais allé dans cette pièce qui était devenue mon quotidien matinal. La chambre de Maïa. J'avais pris soin de l'allaiter et lui faire prendre son bain. J'avais profité d'elle, de ce temps que j'estimais précieux, de ses douces pupilles qui m'avaient regardées si confirmé. Et là encore c'était normal.. mais non ! Non, non, non, non, non. Comment ?
La douleur que j'avais ressenti quand Maïa tirait le lait de mon sein aurait servit à me réveiller depuis longtemps. Si tout ceci était un rêve, Taehyung devait être encore allonger dans notre chambre et pas dans son bureau comme la plus part des dimanches. Alors pourquoi le commencement de cette journée ressemblait à un rêve.
Juste avec Maïa, juste ces murs mais pas Taehyung. L-Lui il était dans son bureau.
Il suffisait juste que je me pince.. mais non ! Encore une fois rien n'y changeait.
Faisant demi-tour, je remontais les marches en vitesse avant de follement m'arrêter devant ce mur aux couleurs chaudes. Je me rapprochais doucement, mon coeur battant insolitement pour élever ma main et effleurer ces endroits où il y avait clairement un énorme changement.
