une histoire innatendu- pnl [ademo]

chapitre 28

Manon était partis depuis un petit moment.
J'avais pus passer le bonjour à sa sœur grâce à mon balcon.
J'en avais profiter pour regarder la cité devant moi.
Depuis que j'étais partis rien n'avais changé enfin, en apparence parce qu'en vrai en 4 mois tout pouvais se passe ici.
Encore accrochée à mon balcon et décidée à y rester, je regarda le temps pour savoir comment m'habiller pour faire les courses.
On ne voyait plus le ciel qui était caché par des nuages gris menaçants à chaque instant de lâcher une pluie violente.
Ce qui était étonnant c'est qu'il ne faisait pas si froid que l'ont pourrait penser.

Je jeta un dernier regard avant de partir me préparer et regarda en bas du bâtiment.
Une ombre que je reconnaissais me regardais lui aussi.
Il détourna le regard quelque seconde après que je l'ai griller.
Son join à le bouche, il l'alluma comme si de rien n'était et continua de regarder devant lui.

Je souriais narquoisement à la situation et partis de mon balcon.

Par contre je ne savais toujours pas ce qui c'était passé durant cette soirée
Et je doit bien l'admettre que cela m'intriguait beaucoup, surtout quand elle avait mentionné le nom de Tarik dans notre dernière conversation.

Bref, elle m'expliquera tout dans les moindre détail plus tard car j'ai plus important à m'occuper.
Mon frigo vide n'allais pas se remplir seule et mon mal de tête s'évaporer.
Je sentais déjà la journée de merde arriver .

Une fois arriver en bat des escaliers, je repris mon souffle avant de passer la porte du hall qui me séparais du dehors.

Je scruta les alentours pour voir si il était encore là.
Rien à l'horizon.
Tant mieux.
Une fois dehors, une brise de vent frais souffla sur la côte gauche.
Mon choix d'un jean bleu a trou me paraissait moin évident que tout a l'heure.
Tant pis, j'avais pas le temps enfin pas l'énergie pour me changer.
Le froid me faisais beaucoup de bien à ma tête qui surchauffée sans arrêt.
Les mains dans la poche de mon sweat beige. J'avançais tranquillement tout en restant sur mes gardes.
Je m'était déjà fait agresser 2 3 fois avant d'être partit en prison, depuis je me trimballe toujours avec un couteau suisse au cas où.

Je pris le chemin qui menait directement à la pharmacie.
Personne. Yes!

Moi: bonjour, vous auriez...

Pharmacienne: bonjour.

Son ton désagréable m'invita à lui lâcher un regard froid pour lui faire comprendre que je n'était pas de bonne humeur.
Un sourire forcé apparu sur mon visage.

Moi: Vous auriez du doliprane 1000 ou de l'aspirine. Je suis pressé.

La pharmacienne compris vite mon petit jeu et partis elle aussi avec un sourire encore plus hypocrite.

Elle prit plus de 5 minutes pour trouver des produits qui était derrière elle.

Soudain je me sentis observer avec insistance. Je me mis sur mes gardes car personne n'était d'autres n'était là.
Une éternuement d'homme se fit entendre derrière moi.
Je me retourna et aperçu un gars qui devait avoir dans les 30 ans me mater le cul.
Je l'avais pas entendu entrée. Merde.
Un sentiment de mal aise s'empara de moi et de peur.
Mes muscles se tendaient et mon sang ne fit qu'un tour
J'etait a deux doigt de lui en collé une car la sa devenu bizarre et ses intentions n'était pas des plus catholiques.
Et surtout je détestais ce type de mec.

La pharmacienne arriva au bon moment.
Elle me regarda et vit un regard plus sombre.
Elle me tendit simplement ma commande et me demanda de payer.
Ce que je fit en sortant ma carte bancaire.