Dirty Boys [EN PAUSE]

[Prologue]

[[ Hey tout le monde ! Alors j'ai commencé à écrire une nouvelle fiction et j'aimerai la partager avec vous ! Surtout s'il y a des fautes, signalez-les moi et je corrigerai plus tard mais normalement je le suis relue alors il ne devrait pas y en avoir ! En tout cas j'espère que ce chapitre vous plaira autant que je me suis amusée à ecrire ce chapitre ^^
Sinon ne vous inquiétez pas, je ne vais pas tout le temps écrire de roman en début de chapitre. Comme c'est la première fois je veux faire une entrée prestigieuse ! Je vus invite à laisser autant de commentaires que vous voulez ça fait toujours plaisir ! Bon sur ce BONNE LECTURE !!
- WhiteMelancholy ~~ ]]

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Salut, moi c'est Evan Roberts. J'ai seize ans, je suis fils unique et je vis à New York depuis que mes parents et moi avons déménagé du Missouri. Je suis au lycée et je suis ce que bon nombre d'entre vous pourrait qualifier comme "un adolescent instable qui ne fait que des conneries" - même si quand on me voit je n'en ai pas l'air.

Et aussi je n'ai jamais eu de petite amie. Non pas parce que j'en ai pas trouvé - j'ai au moins une demande tous les deux jours alors j'ai l'embarras du choix ! - mais parce que je suis gay et ça personne à part moi ne le sais et puis de toute façon je vois pas pourquoi je devrait le dire à tout le monde !

Ma couleur préférée est le noir, le noir comme la couleur des ténèbres. Car j'aime la couleur de la nuit. Il y a pleins de mystères qui se tapissent en dessous et ça me fascine de tous les découvrir... Nan en vrai - excusez-moi vous le mot qui va suivre - je m'en bat les couilles, c'est juste que c'est beau le noir !

Quand il y a du soleil et que tout le monde à la joie de vivre, je n'aime pas ça parce que pour moi il fait pas beau du tout. En revanche quand il pleut et que tout le monde est déprimé, j'adore ça. J'aime la pluie. Je l'aime tellement que je pourrais passer des journées entières à la fenêtre à regarder les gouttes tomber.

Certaines personnes me trouvent étrange, bizarre ou ont peur de moi parce que je suis une peu comme la brute du lycée. Vous savez genre dans les films américains, le quaterback qui traîne avec ses espèces de larbins habillés du sweet à l'effigie de l'équipe de foot, qui se tapent pleins de fille - ou de mecs - et qui jettent du soda sur le visage des gens qu'ils détestent. Mais bien sûr je suis pas comme ça car je n'ai pas de larbins de un, de deux je ne fais pas partie de l'équipe de foot donc je ne porte pas ces sweets horrible, de trois je ne me tape pas pleins de mecs et encore moins de filles et enfin je ne jette pas de soda à la figure des gens mais je frappe tout simplement ceux qui me font chier grave.

C'est d'ailleurs pour ça que je n'ai pas d'amis et puis c'est pas comme si j'en avais besoin. J'aime être libre. Libre comme les oiseaux. D'ailleurs je les envie parce qu'ils peuvent s'en aller dès qu'ils en ont envie alors que moi, bah moi je peux pas.

Je vis avec mes parents, Andrew et Tessa Roberts dans un appartement sympa en plein centre.

Mes parents et moi c'est pas vraiment le grand amour si vous voyez ce que je veux dire... En fait pour être plus précis, je les déteste autant que eux me détestent. Là vous devez vous dire "Oh le gosse en pleine crise d'adolescence qui veut se la jouer rebel et puis des parents qui détestent leurs enfants c'est impossible !" Et bah vous vous trompez sur toute la ligne. Bon je vous donne un exemple. Imaginez votre pire ennemi, la personne que dès que vous la voyez vous avez envie de l'attraper par les cheveux et de lui éclater la face contre un arbre - le bitume peut très bien aussi faire l'affaire - jusqu'à ce que même son chien ne le reconnaisse plus. Et bien voila, c'est le genre de relation que mes parents et moi entretenons mais il n'y a rien de physique - du moins pour ma mère et moi - c'est juste verbal et quand je dis verbal, c'est super violent ! Il y a des mots que même dans vos rêves les plus fous, vous ne les entendrez jamais ou n'oserez les prononcer.

Sinon la plupart du temps on s'ignore, ce qui est mieux pour le tout le monde. Mais voilà j'en ai vraiment assez. C'est pour ça que j'ai pris la décision de partir ce soir et ne plus jamais revenir....

Bref, voilà j'ai une vie - presque - normale pour un ados. En tout cas c'est ce que je pensais il y a encore quelques heures....

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Quelque part en Amérique...

Dans un endroit isolé du monde, un endroit que seules quelques personnes "spéciales" connaissent. Le Ministère. Ce sanctuaire froid et immense.

Des pas résonnent dans le couloir, où à chaque mètres parcourus, des lumières s'allument automatiquement. Une porte détectant les mouvement s'ouvre et une femme plutôt jeune, la peau aussi pâle que le lait, des lèvres rouges et pulpeuses, un regard glacial, des cheveux ébène qui descendent jusqu'à ses omoplates et une cape de velours qui traîne par terre, entre dans une pièce où quatre autres personnes vêtues elle aussis de la même cape de velours l'attendent déjà.

- Bonjour mes très chers frères.

Ils se lèvent, se mettent face à la jeune femme puis portent leur main droit sur leur épaule gauche et se courbent légèrement et se rassoient sur leur fauteuil en hauteur sur lequel ils étaient assis un peu plus tôt. La femme prend le fauteuil du milieu.

- J'ai une nouvelle pour le moins... inattendue. Cela fait maintenant quelques jours que des victimes ne cessent d'être retrouvées, vidées de leur sang et sérieusement mutilées.

- C'est horrible ! Qui a bien pu faire une chose pareille ?!

- Nous avons trouvé une victime qui avant de mourir nous a fait part de son précieux témoignage.

- Qu'en est-il ?!

- Apparemment une créature étrange comme venue des enfers les a attaqué. Elle ressemblaient à des humains mais sans chaire et le crâne à moitié défoncé.

- Non ! Ce serait... ?!

- J'ai bien peur que ce soit cela...

- S'il cette personne est capable d'envoyer de telles créatures, elle doit être puissante.

Dans la salle, c'était l'effervescence. Pourquoi maintenant alors que cela faisait des siècles que le calme régnait ?

- Malgré tout, il faut le retrouver et vite car il peut toujours recommencer et faire de nouvelles victimes.

- Et bien envoyons les meilleurs Hunter à sa rencontre !

- Oui faisons cela !

- Malheureusement je crains que nous n'ayons pas assez d'effectifs pour cette mission. Il nous en faut de nouveaux.

- Qu'allons-nous faire alors ?!

- Ne vous en faites pas, j'ai tout prevu. Je sais où trouver de nouveaux Hunter et croyez-moi, il seront capable à eux seuls de vaincre celui qui tire les ficelles dans l'ombre...

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[[ Alors vous en avez pensé quoi de Evan ? Vous l'aimez bien ? Et oui je commence un peu saignant et a point (mdrrr pardon vous allez devoir supporter mon humour mouahahahaha...) mais là c'est rien et j'espère que vous avez l'estomac bien accroché ! Merci de m'avoir lue et à bientôt !
- WhiteMelancholy ~~ ]]