CHAPITRE 6

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× CHAPITRE 6 / Fin Alternative ×

" Fin Alternative " ?

Hum, c'est bien curieux, tout cela.
Ne trouvez-vous pas ?

Si vous vous demandez pourquoi est-ce qu'il y a écrit cela, et bien, c'est pour la simple et bonne raison que cette fin n'est tout simplement pas la vraie.

Et pour cause.
Mon amie, @AngelxWayne , authentique auteure d" Un Marichat Révélé ", n'a pas continuée son récit, et donc n'a pas rédigée de fin.

Alors, " Alternative " est parce que je n'ai tout bonnement aucune idée de la véritable fin qu'aurait dû avoir cette Fanfiction.

J'en ai donc écris une nouvelle, en espérant qu'elle vous plaise.

Sur ce, Bonne Lecture !♡

Neewy_2006

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" - Marinette : Hum, et b-bien... C-C'est Ladybug qui m'en a parlé.

- Chat Noir : Tu mens toujours aussi mal, à ce que je vois. De nous deux, c'est elle la plus stricte, concernant les miraculous et tout ce qui s'ensuit.

- Marinette : Hum, j-je-...

- Chat Noir : Marinette. Je te l'ai déjà dis : Je ne supporte pas les mensonges. Je préfère de loin une triste vérité qu'à un mensonge sortit tout droit d'un conte de fées. Alors, je t'en pris, explique moi avant que mon calme ne décide de se barrer.

- Marinette : O-Ok... C'est... Assez compliqué à décrire. Alors, je préfère te le montrer, afin que tu comprennes de toi-même. Tikky... ? Peux-tu venir, s'il te plaît ? "

À ces mots, une petite créature de couleur rougeâtre, semblable à une coccinelle venant d'un autre monde, fit son entrée.

Le petit être vint se déposer avec délicatesse sur l'épaule de la bleutée, et adressa un sourire des plus chaleureux au matou, qui restait sans voix jusqu'à présent.

" - Tikky : Bonsoir. Il me semble qu'on ne se connaît pas encore. Du moins, pas personnellement. Alors laisses moi me présenter : Je me nomme " Tikky ", et je suis le fidèle kwami de ta Princesse, comme tu aimes l'appeler. Pour faire court, si Marinette connaît l'existence de mon espèce, et est l'une des amies de Ladybug, c'est parce qu'elle est elle-même la super-héros qui t'accompagne lors de vos affrontements.

- Marinette : En effet, oui. H-hum, tu... Ne m'en veux pas, de t'avoir menti... ? Tu sais, je ne l'ai pas fait de mon plein gré ! J'y étais obligée, si je ne souhaitais pa-...

- Chat Noir : Mari' ? Embrasses moi, dit soudainement le félin, regardant avec sérieux sa dénommée " Princesse ".

- Marinette : Q-Que... Pardon ?

- Chat Noir : J'ai dis : Embrasses moi. " , se répéta le héros, s'approchant de la jeune fille, et venant l'embrasser à pleine bouche tout en la serrant contre lui de ses griffes.

Celui-ci profita du baiser pour venir retirer dans la plus grande discrétion sa bague qu'il portait à l'annulaire.

Ses mains étant dans le dos de sa chérie, celle-ci ne pût comprendre ce qui se déroulait sous ses yeux, qui étaient dorénavant fermés afin de profiter du baiser.

Une fois la bague enlevée, la combinaison du matou fût retirée, dévoilant un Adrien aux joues rougies d'envie, et aux yeux luxuriants, demandant plus qu'une simple embrassade.

Le blond vint casser le baiser, et regarda avec attention, ainsi qu'appréhension la réaction de l'adolescente.

Lorsque celle-ci rouvrit les yeux, et tomba sur le visage du jeune mannequin, et non de son Chaton, la jeune fille ne pût s'empêcher de pousser un vulgaire cri de surprise, se libérant des bras du garçon.

" - Marinette : T-Tu... Qu'est-ce que... ?

- Adrien : Déçue que cela soit moi, ton Minou... ? questionna le jeune homme, baissant la tête de gêne, pensant avoir attristé sa bleutée.

- Marinette : D-Déçue ? Non. Seulement... Surprise, répondit l'adolescente, les yeux toujours dans l'incompréhension, cherchant sûrement une explication, dû à toute cette scène.

- Adrien : Surprise... Dans le bon sens ? s'inquiéta le mannequin.

- Marinette : Oui. " , dit celle-ci, souriant de tout son coeur à son amant.

Le matou releva soudainement la tête, surpris à son tour par la réponse de sa Princesse.

Il s'avança avec élan vers la fille, et la saisit par la taille, venant l'embrasser une nouvelle fois, sans pour autant le faire de manière moins brusque qu'il y avait quelques minutes.

Prit de pulsions, celui-ci lâcha les lèvres de la bleutée, pour venir déposer de doux baisers mouillés le long de ses traits.

Il s'attaqua ensuite à son cou, marquant la peau si blanche de la jeune fille, y laissant quelques filets de bave au passage.

Seulement, celui-ci se fit stopper par son amante, qui lui releva la tête avec douceur, avant de lui chuchoter à son oreille :

" - Marinette : On ne peut pas, Chaton. Puisque si on le fait, les draps ne seront non seulement tachés de sperme, mais également de sang. Et Dieu sait que c'est difficile à enlever.

- Adrien : Puis-je au moins dormir ici pour la nuit ?

- Marinette : Bien sûr que tu le peux. Mais je t'interdis de te plaindre pour mes allers et venus aux toilettes !

- Adrien : Ha ha. Très bien, ma Princesse. T'en que je peux te serrer dans mes bras !

- Marinette : Oui. Mais, pourquoi ce soudain élan d'affection ?

- Adrien : Et bien, j'étais déjà excité, avec le premier baiser qu'on a eu, donc cela en a joué. Et puis, aussi, j'ai pensé que tu me rejetterais en sachant quelle était mon identité... Alors, lorsque j'ai vu que ce n'était pas le cas, j'ai voulu te chérir bien plus que d'habitude.

- Marinette : Tu as réellement pensé que je te délaisserais simplement pour cela ? Alors qu'au contraire, j'en suis ravie d'apprendre que c'est toi sous ce masque ? Chaton, voyons... Je t'aime sous toutes tes formes !

- Adrien : Même celle du mec relou qui ne fait que draguer ton alter ego lorsqu'on est en mission ?

- Marinette : Oui, même celle-là. "

À cette parole, le blond vint une nouvelle fois coller ses lèvres à celles de la bleutée, la serrant contre son torse, et venant enlacer leurs mains.

Il allait falloir attendre, pour que le jeune homme puisse une nouvelle fois faire l'amour à sa compagne.

Mais, tant que celui-ci pouvait bénéficier de câlins, ainsi que de doux baisers de la part de son amante, attendre ne serait pas vraiment un problème.

Il, tout comme elle, espérait de tout cœur que leur couple ne soit pas que passager, et qu'ils soient l'un pour l'autre le bon, la bonne.

Jamais Adrien n'avait autant aimé.

Et il était heureux, à présent, de recevoir cette affection qu'il n'avait malheureusement jamais, du moins pratiquement pas eu durant son enfance.

À présent, il était sûr :

Jamais il ne se lassera de sa Princesse.
Et jamais il ne cessera de l'aimer.

Elle lui était sienne, et il lui était sien.

Aux grands regrets de la Demoiselle Bourgeois, qui n'avait donc plus de proie à conquérir.

Un Marichat RévéléOù les histoires vivent. Découvrez maintenant