Chapitre 9:C'est dur à expliquer.

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POINT DE VUE DU PROF:

Elle ouvrit la porte, le bras recouvert de sang,le visage découvert de larmes... Je ne sais pas ce qui lui a pris mais.... Ce n'etait sûrement pas la premier fois qu'elle faisait ça.... j'avais jamais vu autant de traces à vif que sur son bras.... elle doit terriblement souffrir pour s'infliger ça... il faut que je discute serieusement avec elle... et de toute urgence .

-Maya j'appelle les pompiers... Et tu n'as pas le choix. 

-Non.... S'il vous plaît.... Pas les pompiers! Me dit-elle d'un air encore plus désespéré 

POINT DE VUE MAYA:

Il  a appelleé les pompiers.... Qu'est-ce que je vais leur dire moi??? 

Le temps que les pompier arrivent, il m'avait redirigé vers sa salle de cours et j'attendais , le regard perdu dans le vide, en me repassant cette scène en boucle dans ma tête . 

J'entends toquer à la porte... C'etait les pompiers... Ils me désinfecterent le bras. Le prof n'avait pas de cours après la récré donc rien ne le pressait. Je priait interieurement pour que son téléphone sonne et qu'il parte... Le pompier qui s'occupait de moi me mit un bandage et moi, j'avais toujours le regard dans le vide . J'entendais le prof discuter avec un pompier.... Ils discutaient de ce qui s'etait passé , et le prof racontait tout Dans les moindres details. 

Soudain, il se dirige vers moi, s'accroupi et me demande:

-Maya, pourquoi tu fais ça,? Tout ça que ça t'aporte c'est de la souffrance... psychologique et physique.. 

-Vous ne savez pas ce que je ressens. Vous ne savez pas à quel point ça me fait du bien. Personne ne peut comprendre. Et personne ne pourra m'empêcher de continuer. C'est  omme une drogue, une fois qu'on a commencé on ne peut pas s'arrêter, c'est une addiction et il n'y a rien à faire. 

-Si, on peut t'accompagner et trouver et des solutions pour t'aider a t'en sortir. Tu peut nous faire confiance Maya, on va t'aider. 

Alors que le pompier avait fini mon bandage, je me suis exflamée:

-Non je ne peut pas vous faire confiance. Et je ne peut faire confiance à personne. J'ai déjà assez souffert et j'ai déjà entendu assez de mensonges dans ma vie pour savoir que la société  ne pense jamais aux autres! 

Je parti en larme , bandage au bras . Tout le monde avait les yeux fixés sur mon bandage dans les couloirs . 

Sentiments Et Isolement{{FINI}}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant