Et seul il se promène
Aidé de son bâton
Étrange énergumène
Semblant d'un air bougon.Personne ne le sait
Mais au fond il essaie
De porter un regard
Libre à tous les égards.La ligne est apparue
Un matin dégagé
Il s'est levé perclus
Sûr de son arrivée.Alors il a tenté
Une dernière fois
De bien tout observer
Sans jugement ni loi.Et c'est là qu'il la vit
Toute habillée de noir
Celle qui lui sourit
Lui tendant un miroir.Enfin il sut le vrai,
Qu'elle n'était pas crainte
Des sages esprits prêts
Acceptant son étreinte.
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Haïkus et poèmes, pensées
PoesíaPoèmes touchés par le vent. Recueil de mes Haïkus sortis de nulle part. Publications aléatoires. Ici, harceleurs et autres personnes adeptes de la violence gratuite, passez votre chemin. Je ne veux aucun propos violent, insultant, agressif, haineux...