MINE (FeitanxOC)

Chapitre 9

*le lendemain*

Je me réveille en douceur en sentant une présence, feitan me regardait dormir.

Moi: hm? Tu peux plus te passer de moi c'est ça? Dis-je sarcastiquement.
Feitan: non. Je me disais juste que t'étais moins moche quand tu te la fermais.
Je fis la moue en guise de réponse et me lève.
Moi: alors on va où aujourd'hui?
Feitan: tu verras. Va te préparer.

Toujours aussi froid. M'enfin.
Feitan pris son foulard et partit en bas, moi je me dirige vers la salle de bain. Je me demande bien ou ce nain à l'intention de m'emmener.
Une fois douchée, je me fit une couette et opta pour un col roulé avec un trou au niveau du colleté , une minijupe patineuse et des chausettes hautes.

Une fois en bas.. plus personne n'était a table.

Moi: VOUS AVEZ DEJEUNER SANS MOI ?!
Pakunoda: je t'ai gardé des restes, nari.
Moi: merci paku, au moins une qui s'occupe de moi ici.
Phinks: nan y'a feitan aussi non?
Feitan lui fit un regard noir.
Feitan: la ferme phinks.
Phinks: REPETE UN PEU POUR VOIR ?!
Machi: arrêtez de vous disputer.
Moi: surtout qu'il y a plus grave, vous avez dejeuner sans moi !
Shizuku: c'était pas contre toi nari c'est juste qu'on avait faim et feitan nous a defendu de te réveiller.
Moi: ahhh bon il a fait ça~?
Feitan: Shizuku a tendance à exagérer les choses.
Phinks: mais elle a rien exa-
Avant qu'il ne puisse finir sa phrase feitan lui lance un regard qui voulait dire "parle et tu verras" , phinks se tut.
Moi: mhhh, m'enfin. Dis-je en commençant a manger.
•
Une fois mon repas terminé je fixe feitan, lui qui est plongé dans son livre.
Feitan: hm? Un problème?!
Moi: bah on y va non ?
Feitan: on a le temps.
Moi: non j'veux y aller maintenant jai trop attendue je veux savoir ! Dis-je en boudant.
Feitan: hm. Tu me déranges.
Moi: steplaiii feifei.
Feitan: Bon on y va. Mais c'est uniquement car j'avais fini mon chapitre.
Moi: OUIII. Dis-je en lui fesant un calin.
Suite a ce rapprochement, il était tout rouge mais tentait de le cacher avec son foulard.
Uvoguine: bah dis donc feitan je tavais jamais vu comme ça.
Feitan: la ferme. Viens blondasse.
Je le suivi et après avoir saluer tout le monde, nous finissons par sortir.

Moi: alooors on va ou ?
Feitan: chez moi.
Moi: hm.. hein attends quoi ?
Feitan: t'a bien entendu.
Moi: comment ça chez toi ?
Feitan: le repère de la brigade c'est notre maison a tous, mais on a chacun des maisons indépendantes au caou il y aurait plus aucune mission pendant un gros bout de temps ou qu'on se fasse dégager de la brigade.
Moi: hmmm. Ah mais moi j'en ai pas.
Feitan: comment ça? T'habitais ou avant d'intégrer la brigade ?!
Moi: mon chef m'avait loué un petit studio mais vu que je travaille plus pour lui bah je l'ai plus hihi.
Feitan: je vois. Tavais pas d'endroit ou vivre avant detre stripteaseuse ?
Moi: cest de la danse pas du striptease idiot. Ensuite non aucun, mes parents sont morts quand j'étais très jeune jai vite du me débrouiller, d'ou ma conaissance pour le nen. Jai aussi développer un talent pour la danse afin de gagner un salaire sans trop d'expérience.
Feitan: je comprends. Et ne m'appelle plus idiot. Bon on y va.
Dit-il froidement.

Bizzarement on avait pris le bus, car la maison de Feitan n'était pas très loin du repère. Le trajet ne dure même pas 30 minutes.
•
Une fois arrivée je vis une petite maison mais très luxueuse. En même temps pour un voleur c'est pas étonnant que le chef a voulu offrir les meilleures maisons a ses membres.

Moi: woow.
Feitan: oui c'est pas mal.

J'étais contente que Feitan m'emmène dans l'espace le plus personnel qu'il ai. Sa prouve qu'il m'aime plus qu'il ne le dit.

Moi: c'est super grand. Tu te perds pas avec ta petite taille ?!
Il me regarde en fronçantes sourcils avant de me porter en sac a patate sur son épaule.

Moi: FEITAN JE SUIS EN JUPE FAIT MOI DESCENDRE !
Feitan: toi je te trouve bien insolente avec moi en ce moment.

Il ouvre une porte cachée derrière un meuble et y descend. Où est-ce qu'il m'emmène?

Une fois en bas je fût surprise d'apercevoir.. une salle avec des lumières rouges, un grand lit au centre et pleins d'instruments de torture aux alentours. Mon dieu j'ai peur mais je tremble d'excitation en même temps.

Il me pose violemment sur le lit avant de m'attacher les poignets avec des menottes.

Il sortit son livre, sous mon regards surpris.
Feitan: je lis souvent des histoires gores mais aussi des histoires pour adultes qui parle de bdsm.
Moi: b-bdsm ?
Feitan: mais tu comprends, j'aimerais bien essayer sur quelqu'un. Et puisque tu m'appartient, tu n'y verras aucun inconvénient. Tu comprends... c'est difficile de faire ça tout seul. Dit il en caressant ma joue.

Moi: f-feitan. Dis-je toute rouge et surprise.
Il me lance un regard plein de désir avant de me mettre une sorte de chiffon dans la bouche , il ecarte mes cuisses dun geste violent et se déshabille. Il était en pantalon à présent.
Il mis sa main sur mon cou pour m'étrangler avant d'embrasser celui ci, descendant sur ma poitrine et relevant mon haut, il voyais mon soutien-gorge a present.
Il glisse sa main non chalante a l'intérieur avant de presser ma poitrine, ce qui me fit gémir.
Il pressait mes petits bouts de chaire rose et les mordait. Il descendit sa bouche vers entre jambe en passant par mon ventre. Il se mit a me toucher a travers ma culotte , j'étais toute rouge, chaude et j'haletait.

Feitan: demande le moi. Dis il en resserant son enteinte sur mon cou.
Moi: hmm??
Feitan: demande moi de te baiser si fort qu'on t'entendra jusqu'au repère.
Moi: hmm.. b-baise moi.. feitan. Dis-je difficilement a cause du chiffon.
Vu le sourire sadique qu'il affichait j'imagine qu'il était satisfait de ma réponse.

Feitan: j'aime quand tu m'obéit.
Il retire ma culotte d'un coup de main et commence a rentrer ses doigts, j'étais déjà trempée. Il affiche un sourire sadique et heureux au visage. Sans prévenir il me retourne d'un coup de main et me mis des fessées violentes.
Au bout d'une bonne dizaine il s'arrête et pris un sextoy qui vibre. Il l'installe dans mon entre jambes et l'active grace a la télécommande, il mit directement le niveau maximum.
Je jouissait vraiment fort et même si sa me gênait, lui sa avait l'air de lui plaire.
Une fois qu'il eu marre, il ouvre ss bragette, me laissant entrevoir son engin. Il le place a l'intérieur de mon entrejambe et sans prévenir rentre dedans super fort. Je criais.
Il me mis des coups de reins tellement bon mais tellement violent a la fois, si violent que le lit tappait contre le mur et résonnait. Jamais j'ai ressenti autant de plaisir durant ma vie que maintenant.
Il me retourne de l'autre côté, remis sa main sur mon cou en continuant ses vas et viens. Il ressere de plus en plus son étreinte jusqu'à ce que je ne puisse plus respirer et me dis d'une voix froide mais terriblement sensuelle

Feitan: jouis si tu veux respirer.