Le ciel pleurait ce jour là
Car la vague revenait,
Une houle qui empiétait
Sur les terrains pris pas à pas.Sombre étoile qui renaît,
Brillant astre qui s'efface,
La chaleur dont on se lasse
Éclipsée par ce qu'on tait.Le froid était préféré
À ses semblables bruyants,
Ces joyaux pourtant brillants
Mais alors si abhorrés.C'était souvent plus intense.
Ou bien dénué de sens ?
Car quand guettent ardeur ou transes*,
C'est le vide qu'on encense.———————————————————
*transes : angoisses, inquiétude ou appréhension extrêmement vive.
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Haïkus et poèmes, pensées
PoesiePoèmes touchés par le vent. Recueil de mes Haïkus sortis de nulle part. Publications aléatoires. Ici, harceleurs et autres personnes adeptes de la violence gratuite, passez votre chemin. Je ne veux aucun propos violent, insultant, agressif, haineux...