Sadness

8.

Je remerciais Catherine de son compliment, et elle m'indiqua ou mettre mes souliers. Catherine avait une maison impeccable. Tout était propre; rien ne traînait. Elle avait placé des "gummy bears" dans un bol, il y avait des bouteilles d'alcool, un punch, des petites collations.
J'étais la première arrivée.
- Les autres devraient arriver bientôt, installe toi.
Elle me présenta le canapé de cuir, en s'asseyant. Je fis de même.
Catherine était une belle fille. Ses yeux bleus et ses cheveux noirs faisaient son charme.
Soudainement, quelqu'un cognait a la porte. Je me tournais, sentant la nervosité me gagner encore, pendant que Catherine se levait pour aller ouvrir la porte.

Mon coeur s'arrêta. Un magnifique jeune homme entra dans la maison. Il avait la peau foncée, les cheveux noirs et un sourire craquant.

- Bonjour, me dit-il avec un de ses regards envoutants.
- Bonjour...
Je me retournai parce que j'était trop gênée.
- Jacob, tu peut mettre tes chaussures ici et donne moi ta veste je vais aller la ranger, dit Catherine.
Jacob retira sa veste et accidentellement, son t-shirt leva et je vit tout ses muscles.
Catherine souriait, passant son doigt sur les abdominaux du beau Jacob.
Sentant Catherine le caresser, il la repoussa avec dégout, me faisant plaisir.

Il avança vers le canapé ou j'étais assise, et me demanda si il pouvait s'asseoir avec moi. Son chandail moulait ses muscles.
Je lui répondit oui, aux anges.

- Joli ton chandail, tu aimes Pink Floyd? me dit-il avec son sourire de dieu.
- Oui... C'est mon groupe favori.
J'étais éblouie.
- Comment tu t'appelles? m'avait-il dit.
-Gabrielle... Gabrielle Francoeur. Et toi; c'est Jacob, je ne me trompe pas?

Il souriait. Et il me confirmais qu'il s'appelait Jacob. Pourquoi si craquant?

Il ne regardait que moi. Les autres arrivaient, mais il me regardait tout le temps. Je pense que j'avais véritablement tapé dans l'oeil de ce garçon.
On se levais et il me tendit la main, et nous nous mélangions dans la foule en dansant. Il m'offrit un verre, c'était un vodka canneberge. Le temps passait, les verres s'enfilaient, et je commençais à sentir les effets. Jacob, toujours à mes côtés, me prit la main et me guida dans un couloir avant de tourner dans une chambre. Il avança deux fauteuils et s'assit, en me regardant faire de même. Il sortit alors un paquet de clopes, et m'en offris une.
- Jacob je ne veut pas te décevoir mais j'en ai jamais fumé... lui expliquais-je embarrassée.
Il m'apprit comment, j'aspirais de longues fois la misérable cigarette, c'était bon. J'en pris une autre, puis en la finissant Jacob me demanda si je voulais essayer la marijuana. J'en voyais aucun problème, donc j'acceptais. Il me demanda de le suivre et il alla parler a un grand gosse, qui lui donna deux semblant de cigarettes. Nous retournâmes dans la chambre et il me donna la chose.
- C'est un joint. T'en as déjà consommé?
Je lui dit que non, et il semblait étonné. Il m'expliqua que quand tu étais stoned, tu oubliais tes problèmes et riais tout le temps.
Alors, avec empressement, je prit le joint et le fumai. Cela n'avait pas de gout en particulier, je n'avais aucune sensation.
Nous sortîmes de ma chambre et nous dirigeâmes vers la table a alcool. Je prit plusieurs shooters et par la suite une Smirnoff. Et là l'effet commença.

Je voulais a tout prit déshabiller Jacob. Il me fallait observer son corps de dieu, licher ses abdominaux s'il le fallait.
Comme mon beau me l'avait dit, je n'allais pas arrêter de rire, et ce fut vrai.

La musique m'emportais, laissant mes hanches faire des mouvements que je n'avais jamais fait auparavant. Ma main tenait mon verre et l'autre était sur sa joue. Lui était occupé a tenir mes hanches tel un homme.

Toute la soirée nous avions dansé. L'alcool coulait a fond, et les joints que je fumais avec Jacob amplifiait mon sourire brisé.

A la fin de la soirée, saoule et en plus stoned, j'amenai Jacob chez moi. Je voulais sentir le corps de Jacob contre le mien. En tenant la main de Jacob, je le guidai dans le noir vers ma maison.
Je n'avais aucune idée si Jacob voulait me faire l'amour, me je l'emmenai pareil dormir avec moi.

Mon père dormait toujours comme un ours qui hiberne, donc je pouvais parler normalement, sans exagérer. Il descendit dans ma chambre; et il avait deviné que je voulais lui faire l'amour. J'étais vierge, et je voulait que ma première fois soit avec lui.

Il me prit par les hanches et me poussai contre le lit. Il me déshabillais et je sentais ses mains baladeuses ce faufiler sur tout mon corps.

Ce fut une soirée de sexe inoubliable et j'avais fait les pires cochonneries avec le gars de mes rêves. Ma première fois ne fut vraiment pas douloureuse. Nous faisions du rodéo, peau à peau.

Je conclut que; le sexe me plaisait énormément et que tout ce que j'avais fait était a recommencer.