Mes yeux se posent sur toi comme un soleil,
Mais je vois ta peau, tes sentiments, qui brûlent.
J'aurais voulu, j'aurais voulu,
Qu'on se retienne, qu'on se souvienne,
Mais ta mémoire et si soudaine.
Pourquoi pas nous, pourquoi pas, je ne sais pas.
Mes mots ont formé l'écho de ma peine mais tu ne l'as pas entendue.
Je rends les armes, je suis vaincu
Et mes yeux remplis de larmes, éteignent peu à peu nos joies passées à deux.
Pourquoi pas nous, pourquoi pas, je ne sais pas.
Effacer ton sourire, ton visage, ta silhouette, tes cheveux au vent.
Effacer ton souvenir et plier bagage,
Tourner la page pour d'autres rivages charmants,
Pour pallier au chagrin, aux tourments.
Pourquoi pas nous, pourquoi pas, je ne sais pas.
La raison revient sans cesse pour dénouer l'allégresse d'un temps devenu tristesse et mélancolie.
Autant d'émotions qui poussent au conscient d'un temps qui ne sera plus, qui est perdu mais nullement regretté
A jamais, mes paupières se sont refermées.
Pourquoi pas nous, pourquoi pas, je ne sais pas.
