CHÉRUB 01

Une disparition mystérieuse

§ Le lendemain, je me suis réveillée à 9h45, Chloé dormait encore comme un bébé quant à Kaylie elle avait disparue ! Je ne me sentais pas bien et j'avais besoin de parler à mon frère ou ma sœur et comme cette dernière dort encore j'ai décidé d'aller voir si Christian dormait encore. Je sortis donc de la chambre à pas de loup. En arrivant devant la chambre des gars j'ai toqué doucement pour ne pas les réveillés s'il dormait encore.

Une voix endormie : C'est qui ?

Moi : C'est Camille, c'est toi Christian ? Si oui, est-ce que je peux entrer ?

La voix : Oui c'est moi ptite sœur, entre !

Moi : Merci grand frère ! ( Si vous vous demander pourquoi on s'appelle comme ça c'est que notre « ordre de naissance est : Chloé, Christian et moi je suis la dernière...)

J'ouvris la porte sans faire de bruit, si bien que lorsque je m'assieds sur le lit de mon frère, ce dernier sursauta.

Christian : A c'est toi ! Tu m'as foutu une de ces frousses ! Je t'ai pas entendu ouvrir la porte !

Moi : Désoler je voulais pas te faire peur ! C'était pas mon intention !

Christian : T'inquiète je sais, enfin bon qu'est-ce qui t'amène aussi tôt ?

Moi : Christian il est 10h c'est pas si tôt que ça et j'avais besoin de te parler...

Christian : Il est déjà 10h ?! C'est pas possible !!

Moi : Si si je t'assure t'as pas dû te coucher bien tôt toi !

Christian : En effet... Mais bref c'est pas le sujet tu voulais me parler tu dis ?

Moi : Oui... j'ai pas réussi à dormir cette nuit... Je les voyais partout à chaque fois que je fermais les yeux c'était horrible !! Je peux pas Christian... C'est trop dure !

C'est alors que je fondis en larmes. Je suis pas le genre de fille à pleuré devant tout le monde tout le temps, je suis plus du genre à tout enfermé en moi et pleuré seule. Mais là je ne pouvais plus ça avait été trop brutal et inattendu et j'avais besoin d'en parler à quelqu'un et je ne pouvais le faire qu'avec mon frère et/ou ma sœur.

Christian me pris dans ses bras en me chuchotant : Tout va bien Camille, avec Chloé on est avec toi, tu n'es pas seule à devoir faire front ! On va le faire tous les trois ! Je te promets que je vais veiller sur toi jusqu'au bout. D'accord petite sœur ? Regarde-moi.

Je lève les yeux dans sa direction.

Christian : J'aime pas te voir comme ça ! Allez retourne dans ta chambre pour réveiller Chloé et pour t'habillé, on va aller déjeuner.

Je retourne donc dans ma chambre, et réveille Chloé, qui râle bien entendu, puis je lui dis de s'habillé pour aller déjeuner et tout de suite ça va beaucoup mieux, on se demande pourquoi... Une fois que nous nous sommes toutes les deux habillées, Chloé me dit :

Chloé : Camille... ? Je sais que quelque chose te tracasse et que tu as pleuré, tu veux m'en parler ?

Moi : T'as raison... Je peux rien te cacher !

Les larmes recommencent à me monter aux yeux.

Moi : Je vois papa et maman partout, c'est horrible Chloé ! Je vais pas y arrivé...

Et... quelle surprise... je me remis à... pleuré pour changer !

Chloé : Viens là.

Chloé me pris dans ses bras, et c'est à se moment là que Christian a décidé de débarquer !

Christian : Salut mes gonzs préférées ! Comment que vous allez ?

Il nous vit et vint se joindre à notre câlin.

Chloé : On est tous les trois dans la même galère, alors on comprend ce que tu ressens et on va le surmonter ensemble ! On te le dit pas souvent mais on t'aime petite sœur !

Moi : Moi aussi je vous aime ! Plus que tout au monde !

Après ces larmes et ce gros câlin nous sommes allé manger (et bah vous savez quoi ? C'était pas si dégueu que ça). §

§ Nous somme ensuite remonter dans nos chambres pour préparer nos affaires, car nous devons aller voir le directeur du lycée, où nous allions nous rendre ensuite, afin de finaliser notre inscription.

Une fois arrivé au lycée, notre directrice d'orphelinat nous dit de rester en dehors du bureau pour l'instant et qu'elle viendrait nous chercher ensuite. Nous nous sommes donc assis sur un banc dans la cour sous le ciel bleu sans nuage.

Christian : Je m'attendais à un lycée tout miteux mais en réalité ça va il ne craint pas trop !

Chloé et moi (en chœur) : Il ne craint pas trop ?!

Moi : Sérieux ! Je préférais notre ancien lycée ! Avec tous nos amis et tous nos profs ! Il était chaleureux, grand et presque moderne.

Chloé : Je suis d'accord avec toi mais je suis sûr que celui là aussi le sera quand on se sera fait des amis et qu'on connaitra un peu de monde !

Christian : J'en suis sûr et certain !

C'est à ce moment-là que la directrice de l'orphelinat sortit du bureau du proviseur.

Directrice d'orphelinat : C'est bon les enfants ! Lundi vous commencerez les cours tous trois dans cet établissement. A présent, allons vous chercher des uniformes ! §

§ Et nous sommes partis vers le centre commercial le plus proche afin d'effectuer nos achats.

Directrice d'orphelinat : Nous devons aller dans cette boutique-là, à Uniforme's contry, mais je vous laisserai le temps d'aller faire un tour si vous voulez. Ensuite nous rentrerons et vous vous préparerez pour lundi.

Christian : Comment allons-nous allez en cours ?

Directrice d'orphelinat : Vous prendrez le bus qui passe devant l'orphelinat.

Nous sommes ensuite aller chercher nos uniformes. Il est bleu marine et le logo est jaune, ce sont les couleurs du lycée. Je suis plutôt contente car se sont de belles couleurs et que l'uniforme est beau et taille bien contrairement à certain uniforme qui ne ressemble à rien... Nous avons ensuite acheté cahier, stylo... tout le petit bazar dont a besoin un écolier quoi ! §

§ Une fois rentré, j'ai été lire pour m'évader un peu. Puis, après le dîner, Kaylie et Antoine on réapparus comme si de rien n'était. Quand Kaylie entra dans la chambre je lui ai demandé pourquoi on ne l'avait pas vue de la journée et elle dit qu'avec Antoine ils étaient partis faire du bénévolat dans un refuge pour animaux. J'étais fatiguée, donc je ne lui ai pas poser de question, et quand ma sœur sortit enfin de la salle de bain je partis me laver les dents pour pouvoir me coucher ensuite. Ce soir-là je m'endormis tôt, après avoir fait une casi nuit blanche la veille en même temps c'est compréhensible. §