The Last Forest [projet en reconstruction]

Préambule

Les dialogues fonctionnes avec « ... »
Les pensées avec -....
Les légendes ou citations : bla bla

CHAPITRE 1

« Tu es sur que c'est une bonne idée ? »
Vendetta observa la réaction de son amie.
« Mais oui ! »
Assura t'elle.
Il saisit donc la crevette qui traînait sur la table du buffet. Le jeune homme eut une tête des plus étonnée,en avalant l'aliment.
« Beurk !! Mais c'est dégoûtant ! »
Intex éclata de rire et lui tapa amicalement le dos. Il faillit vomir,se releva et ronfla légèrement sur elle.
« C'est absolument pas amusant ! »
Tout sourire aux lèvres,le jeune fille ricana de plus belle.
Vendetta compris que c'était perdu d'avance et décida d'aller voir ailleurs. Intex accouru à sa suite.
« Écoute,je fais une fête ce soir,ça te dit de venir ? »
Son ami tenta de comprendre le sens de ces paroles.
« Tu veux dire...une fête avec des gens ? De la musique ? Des lumières et tout et tout ? »
Elle lorgna le visage de Vendetta.
« Tu es assez bizarre aujourd'hui...bien sûr que oui ! Une fête quoi ! Tu sais quoi,je prends ça pour un oui,à ce soir ! »
Et elle s'éloigna aussi vite qu'elle était venu.
-Je suis dans un beau pétrin...comment je pourrais refuser cet te invitation ? Et portant...je n'ai aucune envie d'y aller. J'aime pas les gens et elle le sait très bien...pourquoi a t'elle fait ça ?
Vendetta observa la salle du buffet. C'était une grande salle pas très large,avec de nombreuses tables en bois. Les murs dorés étaient parsemés de fresques rouges. Le jeune homme aux chevaux bruns clairs avec toujours trouver cette pièce étrange,comme venant d'une époque révolue...il y avait un tableau au bout de la salle,un énorme tableau avec un cadre jaune foudroyant. Mais personne ne l'avait jamais vu. Un drap blanc cassé empêcher tout petit regard curieux d'observer l'œuvre. Plus il y penser,plus Vendetta commencer a imaginer que la salle de réception était une salle de trône d'un château. Il balaya ses pensées d'un revers de main.
-Arrête d'avoir la tête dans les nuages !
Songea t'il.
Il attrapa furtivement un coraya servit dans un saladier.
-Je suis sûr que ça lui plaira.
Vendetta cacha le petit aliment entre ses mains et avança,l'air fier. Il demanda au gardien s'il pouvait sortir du buffet. On lui ouvrit l'énorme porte en bois de l'entrée. Il prit le couloir à droite et se planta devant une autre porte bien plus loin.
-Cette maison a belle et bien l'air d'un château.
Pensa t'il.
-Raaa ! Tais toi V !
Il inspira profondément et toqua à la porte. Le jeune homme attendit quelques instants. On lui ouvrit. Quelqu'un passa un œil dans l'entrebâillement en grognant. Mais en le reconnaissant,le propriétaire lui adressa un sourire.
« Oh c'est toi V ! Entre je t'en prie. »
L'invité s'exécuta.
« Merci monsieur Chaspati,est-ce que Nayarit est la ? »
Le vieil homme aux chevaux blancs ricana.
« Toujours. »
Il désigna la chambre habituelle de la jeune fille.
Vendetta avala sa salive de peur de ne plus en avoir quand il lui parlerait. Nayarit c'est son ancienne voisine,belle,gentille,intentionnée et douce. Le contraire d'Intex...le jeune homme l'adorait,il passait même la voir tout les jours pour lui apporter des plats rien que pour elle.
« Nayarit ? Je peux entrer ? C'est V. »
Il patienta devant une porte blanche au fond de la petite pièce en bois. Cependant le loquet bougea et bientôt Vendetta posa un pied dans la chambre de Nayarit.
« J'ai ouvert,tu ne m'en veux pas ? »
Il l'a chercha des yeux. Ses cheveux d'une teinte roux vénitien,lui apparurent en bas d'un lit.
« Nayarit ? »
La jeune fille était ratatinée sur elle même.
-Par le grand Tamara,elle pleure ?
« Nayarit,je...je,je t'ai apporter ton,ton...ton plat préféré préféré... »
-Oh non je recommence à bafouiller.
Même en articulant et en visualisant le mot dans sa tête,du moment qu'une situation lui paraissait stressante,les mots n'écoutaient plus rien.
Nayarit pouffa.
« V...toujours aussi drôle n'est-ce pas ? Je suis là désoler je pensais à quelqu'un. »
La jeune fille avait perdue sa mère lors de leur fuite. Elle et sa famille avaient quitter la campagne,chasser par le gouvernement,ils ont finis leur route ici,dans le monastère de bienvenue. Nayarit était atteint d'une grave maladie inconnue et son père commencer a devenir vieux. Pour ne rien arranger,ils ne pouvaient pas rester ici indéfiniment. Seul V se préoccuper de leur situation. Sa famille a lui était une des plus riche du monde,mais il ne pouvait offrir que très peu,il n'avait pas atteint la majorité légale. Ses parents ne voudraient jamais aider de pauvres mendiants.
« Drôle ? »
Nayarit se leva.
« Non ne te lève pas ! Assieds toi sur le bord du lit,la,voilà. »
« Dis donc,tu es bien prévenant aujourd'hui. »
« Oh tu n'imagine pas ! La chose la plus horrible qui aurait put m'arriver,m'est arriver ! Intex m'a invitée à sa fête. »
Nayarit eu un pincement au cœur. Intex...cette fille d'ont il adorait parler et qu'il devait aimer...
« Oooooo... »
Un silence s'abattit dans la chambre. Puis les deux adolescents éclatèrent de rire.
« Dis moi,demain ça te fais quel âge ? »
Chuchota V.
« J'aurais enfin mes 15 ans ! L'âge de faire ma chaîne YouTube si ça exister encore ! »
Pouffa t'elle a voix basse.
C'est pour ça qu'il adorait Nayarit,elle était intelligente et parler de choses qu'il ne connaissait pas. YouTube machin chose par exemple,qu'est-ce que ça pouvait bien être ? Peu importe,il adorait l'écouter.
« Et toi ? »
Sa question le sortit de ses pensées.
« Oh euh moi...ça me fera...non je ne peux pas te dire. »
A chaque fois il refuser de lui avouer son âge,il était trop vieux selon lui,trop vieux veut dire qu'il ne pourrait pas être avec elle...
« Aller !!!! Rooo dit moi ! »
Elle prit de petits yeux mignons.
« Bon,bon...d'accord,ça marche. Je vais avoir 17 ans en fin d'année... »
-17 !?
Nayarit ferma les yeux.
« Mais c'est rien ça ! Tu va atteindre la majorité très bientôt. »
La majorité est maintenant appeler Purgatoire,car les jeunes de 18 ans doivent se rendre dans un purgatoire,personne ne sait ce qui s'y passe mais ça ne pose pas de problèmes aux yeux de qui que ce soit paraît il. En réalité V avait très peur de devenir « adulte ».