Chapitre 2

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On m'a demandé de mettre des tw avant chaque épisode un peu gore afin de prévenir. Dans les moments de trigger warning, vous pouvez sauter l'épisode cela n'apporte pas grand chose pour la suite en général.
Ces passages seront marqués de "Attention tw// gore" par exemple.

Doyoung se trouvait en train de se marier à l'inconnu qu'il voyait tout le temps ses rêves. Il prenait conscience qu'il était dans un rêve mais il ne pouvait rien y faire, il se laissait guider par son esprit. Il se retrouva ensuite devant une maison dans laquelle il était censé emménager désormais. Il avait tout quitté pour se marier à cet homme fortuné. Celui-ci lui donna le double des clefs de la maison pour pouvoir aller et revenir à l'extérieur de la demeure comme bon lui semblait. L'homme avait qui il s'était marié le mis en garde le premier soir : il avait accès à toutes les pièces de la maison sauf une seule au premier étage qu'il ne devait ouvrir sous aucun prétexte. Le temps passait et Doyoung dépensait ses journées à nettoyer, donner à manger aux animaux ou à cuisiner, le lassa vite. Ce qu'il y avait derrière cette porte attisait beaucoup sa curiosité. Puis, lorsqu'il était au marché du village pendant que son mari devait surement faire affaire injustement auprès des plus démunis, il entendit la légende de Barbe-bleue, l'homme qu'il avait épousé, et ses antécédents amoureux. Les villageois lui dirent qu'il avait été marié plusieurs fois mais que ses anciennes compagnes et compagnons avaient tous été porté disparu. Ce qui accru la curiosité de Doyoung. Tout le monde à sa place aurait succombé à la tentation. Il avait les clefs, alors pourquoi ne pas en profiter ? on l'avait mis en garde mais était-ce vraiment justifié ?

Tw// Gore

Il fit ce que tout le monde attendait de lui, il ouvra la porte de la pièce du premier étage, glissant les clefs dans la serrure. Ayant ouvert la porte il laissa tomber les clefs de sa main pour l'apporter à sa bouche, choqué, écœuré. C'était une véritable boucherie. Il y avait du sang séché sur tous les murs de la petite pièce. Des corps par rangées étaient accrochés par de petits piquets comme l'on attache les animaux par les côtes paraissait être un spectacle inimaginable. Il fut surpris par l'ordre des objets et des corps qui étaient placés soigneusement. Doyoung commença à pleurer à chaudes larmes compatissant pour les victimes.

Lorsque tout à coup, une silhouette menaçante se dressait derrière lui et en dessinant une ombre sur le pas de la pièce interdite par la lueur des lumières du couloir car le manoir était constamment plongé dans la pénombre. Son mari n'aimait pas la lumière. Lorsque Doyoung l'aperçut, il sût que c'était trop tard, qu'il allait finir comme toutes ces victimes. Il se demanda alors ce qui l'avait poussé à épouser cet affreux personnage. Sans prononcer aucune parole, qui aurait été surement moins pire que ce silence pesant, il prit Doyoung par le torse, l'attacha par le cou et les chevilles qu'il attachait ensuite au mur. Doyoung se demandait où il trouvait toute cette force.

- Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans « il ne faut pas fouiner dans mes affaires » ? Dit l'inconnu d'une voix glaciale. Le ton ne suggérait aucune réponse.

C'est alors qu'il fit à Doyoung plusieurs grandes entailles sur tout le corps avec un couteau aiguisé qui se trouvait dans l'armoire en face de lui et à côté des corps, dans lequel se trouvait toute sorte d'instruments de torture. Pour être clair, il le plantait. Doyoung subissait la douleur en poussant des plaintes et se demandait quand-est-ce que ce cauchemar finirait. Chacun des coups en plus était insupportable, il avait des sueurs froides et il commençait à perdre la tête.

Enfin, lorsque son mari en avait marre de jouer avec lui, il prit Doyoung et le mettait sur le pique par la côte comme les autres compagnons de l'individu. L'ayant déjà éventré plusieurs fois, ses organes intestinaux commençaient à fuir leur place initiale. Ils se déployaient sous sur tee-shirt pour se retrouver au sol, pendant dans le vide arrosant le sol de son sang. Il s'était déjà évanouit à maintes reprises. Doyoung n'arrivait qu'à distinguer une grosse flaque rouge en dessous de lui parce que les larmes assaillaient ses yeux.

Read me/ DowooOù les histoires vivent. Découvrez maintenant