Un an, ça se fête !

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Je m'appelle Anna et aujourd'hui, c'est mon anniversaire.
J'ai 24 ans, je suis encore dans la fleur de l'âge mais cela n'est qu'un détail.
Je me suis mariée à Maxime il y a 6 ans et je pense, non j'en suis sûr il est 'homme de ma vie.

Je regrette tellement cette pensée.

Je l'ai rencontré quand j'avais 17 ans, luivenait d'en avoir 21. Il était plus vieux que moi mais cela ne m'a jamais posé de problèmes. Mais pour mes parents c'était différents.
Quand je leurs aie présenté Maxime, il ne l'ont pas apprécié du tout. C'est pour cela qu'ils m'avaient interdit de le revoir, ils disaient qu'il était mauvais pour moi. Mais ils ne savaient pas à quelle point je l'aimais.
Quelque mois après mes dix-huit ans je me suis violemment disputé avec mes parents, étant majeurs je voulait revoir Maxime mais ils n'étaient pas d'accord alors, j'ai fait mon sac que j'avais remplis de quelques t-shirts et pantalons et je suis partit en pleine nuit.
Je me suis précipité chez Maxime, je lui ais expliqué pourquoi il n'avait plus de pes nouvelles et il m'a pardonné.

Connard.

Nous nous sommes marié un ans plus tard. J'avais invité mes parents au mariage mais ils ne sont jamais venu.
Je nageais en plein bonheur avec l'homme de ma vie, j'étais heureuse et rien au monde n'aurait put détruire ce qu'on partageait.
Un soir, Maxime est rentré plus tôt du boulot,  il avait un carton dans les mains, il venait de se faire virer.Il ne m'a jamais dit pourquoi, peut-être par honte ou par orgeuil.

Je ne le saurait jamais.

Il me rassurait, me disant qu'il allait retrouver un travail et que tout retournerait dans l'ordre.

Je l'ai crue.

Le temps passait et rien ne se passait, il passait ses journées dans le canapé à regarder la télé et le soir il partait faire la tournée des bars.

Alcoolique.

Les factures commençait à s'accumuler et avec seulement mon salaire, ce n'était qu'une question de temps avant de devoir hypothéquer la maison.
Ce soir là, il est rentré soû, comme a son habitude depuis les derniers mois et ce soir là je lui ais crié dessus, je ne supportait plus ce qui ce passait. On s'est disputés. Il m'a frappé. Une giffle sur la joue gauche.

Ce n'était que le début.

Le lendemain il s'est excusé, je lui ai pardonné.

erreur.

Ces coups devenaient de plus en plus récurent, mais je lui pardonnais toujours.

Je l'aimais.

Plus il me faisait du mal, plus mon amour pour lui se transformait en dégoût.

Il me dégoûtait.
Ces mains calleuses me dégoûtait.
Sa voix grave ne me procurait plus que des frissons de peur.

Maintenant je n'ai plus peur, je ne ressent plus rien, je suis en paix pour l'éternité, loin de lui.

Aujourd'hui je fête les un an de ma mort.


Happy Birthday !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant