Chapitre 8

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*Dédié au victimes du tremblement de terre*

*Mardi 12 Janvier 2010*

Le lendemain matin, je me réveille par une douleur atroce dans le dos menant jusqu'à ma nuque (causer par l'inconfort du canapé(> et la voix enragé de Théo.

Aux premiers abords je ne comprenais pas ce qu'il disait vut que je venais à peine d'être tirer de mon sommeil. Donc, je reste encore allongée pendant un moment pour me rappeler la veille et réalisé que j'avais rien sur le corps sauf un fin drap que sans doute Théo m'a rapporté de la chambre.

Un sourire se dessine sur mes lèvres mais s'evade presque aussitôt, la voix de Théo vient une fois de plus me claquer aux oreilles.

Je me lève du canapé pour mieux entendre ce qu'il disait et ce qui le mettais dans un tel excès de colère. Sa voix provenait de la chambre donc je m'enroule le drap sur le corps pour aller voir, mais je m'arrête nettement devant la porte.

Il a mon téléphone!

il est entrain de parler avec je-ne-sais-qui... il ne m'entend pas arrivé parcequ'il avait le dos tourné. il porte qu'un jeans et a le dos nu, les pieds nu et sa face vers la porte fenêtre, sûrement pour pas que je l'entends du salon mais, il vient d'échouer!

Théo :"... je t'avais pourtant gentiment demander d'arrêter de la regarder comme si elle était une proie à prendre. Elle n'est pas disponible, bro, ou du moins plus maintenant! Et aussi, hermano, ne me fais pas la morale c'est vraiment pas ton rôle. Ce que je fais ne te donne aucun droit de tourner autour de ma femme. Les autres, comme Tamara, n'ont jamais vraiment compter, elle oui. Elle est ma femme et j'ai une réputation à protéger donc sache que je ne me gênerai pas à te casser la gueule ni même à t'ôter ton souffle de vie, bro."

A ces mots je comprends qu'il est peut-être entrain de parler à Jonathan. Et aussi parce qu'il a dit le prénom Tamara, la copine à Jonathan.

"Alors comme ça il l'a demandé d'arrêter de me regarder! Ça explique pourquoi il était si... comme il était l'autre jour." Me dis-je écoutant toujours ce qu'il lui disait.

Théo :" ... arrête de l'appeler, je m'en bats les couilles que vous vous connaissez depuis qu'elle était enfant ni même que vous soyez cousins!"

Sur ce il raccroche avant d'envoyer le téléphone valser contre le mur. Je ne pus m'empêcher de pousser un cri et courir vers mon téléphone qui est maintenant en milles morceaux.

Théo :" Alors comme ça on déjeune avec cousin Jo tous les matins ?"

Fit-il d'une voix explosive sans attendre que je finisse d'assembler mon téléphone.

Nikisha :" Je ne te comprends pas, qu'est-ce qui te prends..."

Que je lui questionne dans un murmurre. Je n'arrive pas à croire qu'il vient de casser mon téléphone et qu'en plus de ça il ose me crier dessus comme si j'étais celle à blâmer 😐.

Théo :" Je t'ai posé une putain de question, Niki. Depuis quand Jonathan et toi déjeunez ensemble tous les matins ?"

Insiste t-il d'une voix plus menaçante que la première fois.

Nikisha :" Ce n'est pas toi qui me l'a envoyé l'autre jour ? Tu voulais qu'il me dépose à la maison pour pas que je rencontre d'autre mecs ? Jonathan ne pense pas comme toi ! Et puis de toute façon je le connaissais avant toi, si ce n'était pas pour lui on ne se retrouverait pas ici aujourd'hui alors calme-toi, je t'en prie, sois reconnaissant. S'il me voulait dans son lit, il m'aurait déjà!"

Lui criai-je dans un excès de colère me faisant passer pour l'avocat du diable. Si son ami pense qu'il est qu'un gros pervers pourquoi suis-je entrain de le défendre ? Il ne m'a peut-être pas montrer son vrai visage mais Théo le connais sous cet aspect vut qu'il cherche des victimes ensemble. Ha! Je regrette avoir dis ces mots à la minute qu'ils ont sortis de ma bouche.

Coincée Entre L'Enfer et Le ParadisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant