Os • Teenwolf

OS

PDV Elisabeth

Je suis prête à taper ce petit diable à côté de moi ! Il me casse littéralement les pieds ! Il ne cesse pas de manger la bouche ouverte, il le fait exprès et me nargue de son éternelle sourire. J'attrape ma fourchette et je la plante dans la table juste à côté de sa main le faisant sursauter.

— Tu es une sorcière !

— Rectification, un loup-garou que tu commences à réellement énerver ! Criais-je à mon tour.

— Eli ça suffit et mange. Désespère mon père. Fab mange la bouche fermer.

Comme à son habitude mon frère boude faussement. Mes parents ont prit l'habitude de nos engueulades, il faut dire que sa dure depuis 17ans, mon frère en a 19. 19 ans et pourtant c'est un grand enfant, j'avoue que dès qu'il y a quelque chose de sérieux il sait être raisonnable et mature, mais le reste du temps c'est un gamin.

— Vous êtes sur que c'est une bonne idée d'être venu ici ? Demande Fabien, mon frère.

— Le nemeton ce trouve ici. Justifie ma mère.

— Il y a déjà une meute ici !

— D'après ce que j'ai entendu, la meute d'ici est composer de gamin de ton âge. Annonce mon père en me désignant. C'est un vrai alpha, mais peut-être que ce jeune est con ou bien, nous verrons. Fab, tu es notre alpha si le gamin veut te parler ne soit pas sur la défensive et soit passif.

— S'il s'en prend à Eli, vrai alpha ou non je le tue. Prévient-il.

— Me prendrais-tu pas pour une incapable ?!

— Bien sur que non, mais si l'un d'eux t'attaque je le tue.

Demain c'est la rentrée ou du moins ma rentrer. Mes parents ont trouver du boulot ici et mon frère aussi, ce dernier travaillera avec le shérif ou du moins avec ses coéquipiers pendants que j'irais en cours. Mes parents eux travaillent ensemble, ma mère est esthéticienne et mon père gère, dans le même établissement, un peu tout je ne comprends pas ce que c'est et d'ailleurs je m'en fiche pas mal. Quand on me demande je dis « chef d'atelier » ça évite trop de questions.

— De toute façon, un vrai Alpha est bien plus fort qu'un simple alpha d'autant plus qu'on ne connaît pas le nombre de bêta qu'il a dans sa meute, nous nous sommes que trois dans la tienne endouille. Riais-je. Il te mettrait capoute.

— Ce n'est pas toujours là force qui compte, mais aussi la ruse. Se défend-il.

— Ton frère a raison, mais la force compte beaucoup qu'en même. Défend ma mère.

— Bon je vais y aller, je me lève demain. Bonne nuit.

Je me lève et je leur fais un bisous chacun. Je monte dans ma chambre, fermant de suite les rideaux. Je suis là depuis trois jours, je suis sortie aujourd'hui en ville, les deux autres jours je ne suis pas sortie j'ai ranger les cartons. J'aime beaucoup le petit cocon que j'ai fais de ma chambre.

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Vêtu de noir je gare ma voiture sur le parking du lycée. Une jeep est présente à côté de la mienne, elle est très belle ce qui fait que mes yeux s'attardent dessus. Je détourne le regard pour le poser sur une feuille que je tiens.