Chapitre 33

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Solène

Voilà un gros quinze jours, que j'ai repris le boulot. Après le départ de Charlotte, les pièces de l'appartement de Aaron mon paru bien vide. J'ai donc décidé de repartir travailler. Ce n'est pas en restant enfermé seul entre ses murs, que j'arriverais à oublier ce qu'il s'est passé. Avec Aaron, nous avons étais récupérer quelques affaires dans mon appartement. Pour le moment, je ne me vois pas habiter dedans. Et, pour tous vous dire, je ne me vois plus du tout y habiter. C'est pour cela, que j'ai annulé mon bail et redonner les clés de l'appartement avec tous ce qui étais dedans. Je recherche activement, un nouveau bien. Malgré, la proposition d'Aaron. Eh, oui accrocher vous bien. Mais Aaron, un beau matin ma offert ses clés d'appartement. Je ne vous dis pas le choc que cela m'a fait. Je lui ai souris et remercié, mais je lui ai aussi expliqué que tous cela aller trop vite. Il ne s'est pas vexer au contraire, il m'a juste dit « Cela sera déjà plu pratique pour toi rentrer, quand je ne suis pas avec toi. Je ne te demande pas de te décider de suite, mais réfléchis y avant ! »

Il est vrai, que nous entendons très bien. Plus que bien même. Il est très attentionné envers moi. J'aime, quand il est aux fourneaux pour me préparer de bon petit plat. Et cette façon de me porter pour me poser sur le plan de travail parce que j'ai était picoré dans les plats comme une enfant. J'aime cette façon de me faire rire. J'aime le regarder ce concentré sur un dossier délicat, et j'aime son petit froncement de sourcil. En fait, j'aime sa présence si rassurante, qu'il m'apporte. Et je ne vous parle, même pas de nos ébats torrides. Alors, qu'est-ce que tu attends, pour accepter ? Me dis ma saleté de conscience. Chaque chose ne son temps, je ne veux pas aller trop vite. La première fois ma servis de leçon. Nous apprenons seulement à nous connaître, donc ne mettons pas la charrue avant les bœufs.

Solène ?

Je me sors de ma rêverie en entendant, la voix de mon bellâtre.

Oui, monsieur ? Dis-je avec un petit sourire. Je sais, que ce petit jeu lui plaît. Quand, nous sommes au bureau, nous devons rester professionnels même si le plus souvent, je me retrouve sur son bureau à crier son nom. Il se racle la gorge et me regarde d'un air coquin. Il a compris mes penser.

Ce serait avec joie de te donner ce plaisir, mais Steven dois venir ce midi. Est-ce que tu te joins à nous pour le déjeuner ? Et peux être qu'à notre retour, je pourrais satisfaire ce que tu étais en train de penser !

Ce programme est très....Alléchant ! Dis-je en me mordant la lèvre inférieure. Son regard devient sombre et il ne me quitte pas des yeux. La tension devient palpable, mais je ne romps pas le contact. Sa respiration devient courte tous comme la mienne. J'ai soudainement très chaud, quand il desserre sa cravate et qu'il défait le premier bouton de sa chemise. Ok, il veut jouet. Je fais reculer ma chaise de bureau. Commence à soulever doucement ma jupe crayon, je le vois déglutir. J'attrape ma petite culotte et la fait descendre tous doucement, le long de mes jambes. Une fois enlevé, je me lève et avance vers lui, tous remettant ma jupe en place. Une fois devant lui, je me colle à son buste et me penche à son oreille, tous en glissant ma lingerie dans sa poche de veste.

Comme ça, je suis sûre que tu tiendras ta promesse... Je reviens encrer mon regard dans le sien. On pourrait presque voir les flammes de l'excitation danser dans ses yeux. Il s'apprête à répondre, quand Steven entre dans la pièce.

Oh, je dérange ?

Pas du tout...Dis-je fière de moi. Oui, je sais j'ai pris beaucoup d'assurance depuis, que je vis sous le même toit que Aaron. J'aime le rendre fou de désire.

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