LA DOULEUR DES LARMES
Aurélie n'a que 25 ans lorsqu'elle fait la rencontre de Marc, un jeune entrepreneur de la capitale. Fraichement sortie d'une école supérieure de littérature, elle est né dans une famille modeste où les coutumes sont mises en valeur.
Aurélie est Gabonaise, d'ethnie Punu. Son teint ébène et sa silhouette, sont le symbole même de la femme africaine, si belle et gracieuse. Marc quant à lui, appartient au groupe ethnique Myènè. À l'opposé de la belle Aurélie, Marc n'a jamais connu que le plaisir du luxe depuis sa tendre enfance.
Fils aîné et héritier d'une grande famille, il est un bel homme charismatique et sur de lui. Marc est donc pour ainsi dire, le Don Juan de la contrée. Ainsi, le charme de la jeune fille était un atout majeur à cette rencontre. Il la désirait. Il la voulait. Alors, des années étaient passées et une idylle avait su naître entre eux.
Il avait donc fait d'elle son épouse, son joyaux, sa précieuse. Elle l'avait à son tour comblé, comblé d'une grâce infini. Elle avait fait de lui un père. Père de deux magnifiques êtres, père de Christian et Demicka plus connu sur le nom de Pitchoune et La pupuce. Leur amour était alors à un niveau élevé. Un niveau où aucune personne ne pouvait le détruire.
Seulement, le jour où ce drame était arrivé au sein de cette union, la destruction de cette famille était imminente. Des masques étaient alors tombées et des secrets du passé dévoilés. Aurélie n'avait eu d'autre choix que de protéger les siens mais avant tout, elle devait se confronter aux exigences des traditions et à la rancoeur de sa belle famille.
<< - Dans quelle souffrance m'as-tu laissé Marc, dans quelle misère ! Qu'ai je donc fait de mal pour mériter tout celà, qu'ai je fait à ta mère ? Était ce mal de t'aimer, Était ce un crime? Marc regardes moi, écoutes mes supplications. Je te jure que je n'ai jamais voulu être veuve, je ne voulais pas être ta veuve. >>
A suivre...
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LA DOULEUR DES LARMES
Teen FictionNous vivons dans une société où la justice n'est pas toujours faite. Où les faibles et les opprimés sont pointés du doigt et malmenés. Ici, nous sommes un grand symbole de pauvreté, de fragilité et de pitié. Nos droits sont transgressées et nos mœur...